John Locke Liberalisme

catholicismes, du protestantisme, du judaisme et de l'islam unissent ils régulièrement leurs voix à l'occasion d'évènements qui mettentt en péril cette valeur fondamentale qu'est la tolérance, lui reconnaissant ainsi la vertu civile que lui conférait John Locke L'AVENIR DES RELIGIONS ET DU SENTIMENT RELIGIEUX Le philosophe allemand Nietzsche écrivait « Le plus important des évènements récents – le fait que « Dieu soit mort », que la croyance au Dieu chrétien a été ébranlée – commence déjà à projeter

l’exécutoire). Pour cela on devra s’adresser au Tribunal de grande instance pour qu’il mette la mention : c’est l’exequatur. Chapitre 2 : la justice et la séparation des pouvoirs La séparation des pouvoirs est apparue au XVII eme siècle avec John Locke Essai sur le gouvernement civil. Reprise et approfondie au XVIII par Montesquieu dans l’Esprit des lois : désir d’un équilibre des pouvoirs. Cette idée a été forgée face à la théorie de l’absolutisme royal. Selon Montesquieu ces trois fonctions

INTRODUCTION : Autrui c’est l’autre. C’est donc celui qui est différent de moi. Mais inversement autrui n’est pas différent de moi à la manière de la table, du banc ou de l’arbre : je ne confonds pas autrui avec la table, la chaise ou le jardin qui nous fait face. D’autre part, autrui est dans le monde ; il appartient au monde mais il n’y est pas comme une quelconque chose du monde. Entre autrui et moi il y a une ressemblance extérieure évidente qui me conduit à conclure qu’autrui est

était distribuée à différents individus, organes, la puissance d'État serait mieux répartie, freinée, on éviterait alors l’autocratie. On veillera en conséquence  que les trois grandes fonctions étatiques distinguées par Montesquieu (et avant lui par Locke notamment) ne soient jamais confiées à un même titulaire. Nous porterons donc notre attention, dans un premier temps, sur les dangers de l’abus de pouvoir, puis, dans un second temps, sur le principe et les modalités de la séparation des pouvoirs.

règne de la raison, de la lumière naturelle qui accumule| | |des connaissances. | |Contexte historique |La philosophie de John Locke (1632- 1704) se répand progressivement en France. Pour lui, le peuple demeure le| | |seul souverain véritable, et tous les hommes possèdent des droits naturels inaliénables. Or, Louis XIV meurt | |

L´humanisme est le mouvement intellectuel qui á permis la transition du Moyen Age á la Renaissance, grâce a différentes doctrines comme : l´étude des textes et de la civilisation antiques, le culte de l´Homme, l´éloge de la connaissance et des voyages, la curiosité linguistique et la question religieuse. Les écrits humanistes recouvrent globalement trois thèmes principaux tels que le désir de gloire, l´idée de nature et l´amour. C´est dans les années 1830-1840 que le terme ¨humanisme¨

raison et la science. Ils critiquent l’absolutisme et l’Eglise Catholique qui s’appuient, selon eux sur l’ignorance et ne respectent pas les droits de l’homme. Ces philosophes admirent le modèle anglais et des penseur anglais comme John Locke (1632-1704). Pour Locke , il est important de comprendre que la connaissance vient de la réflexion. Il défend les libertés et l’idée qu’aucun gouvernement ne peut exister sans avoir passé un contrat avec le peuple. b) Leurs idées Les philosophes pensent

John Locke IDENTITÉ ET DIFFÉRENCE Essai sur l’entendement humain, Livre II, Chapitre xxvii [Trad. Étienne Balibar, revue par G. Brykman, Seuil, 1998] § 1. En quoi consiste l’identité. Une autre occasion pour l’esprit de faire des comparaisons lui est offerte par l’être même des choses, lorsque, considérant qu’une chose existe à un certain moment et à une certaine place, nous la comparons avec elle-même existant à un autre moment, et formons de là les idées de l’identique et du différent

région du cerveau, également liées du point de vue développemental (théorie phrénologique) 1.2. L’empirisme anglo-saxon : - Son développement est marqué en Angleterre : Thomas Hobbes (1588-1679), John Locke (1632-1704), David Hume (1771-1776), Etienne de Condillac (1711-1780), James Mill (1773-1836) et John Stuart Mill (1806-1873) - Selon eux, l’esprit est une table rase sur laquelle viennent s’inscrire les sensations. - La théorie associationiste explique comment les sens donnent naissance aux idées

chasses, des automobiles, un compte bancaire florissant, etc.). C'est en effet la propriété qui est la marque du « moi », du « self», pour parler comme John Locke dans les Essais sur l'entendement humain. Ce qui est du ressort du «moi », c'est toujours quelque chose dont je suis le propriétaire. Rousseau ne dit rien d’autre, en citant le « sage Locke », dans la première partie du Discours sur l’Origine et les Fondements de l'Inégalité parmi les Hommes : « là où il n'y a pas de propriété, il n'y