John Locke Liberalisme

d'avoir des institutions étatiques qui respectent au mieux les libertés fondamentales des individus. La séparation des pouvoirs est ainsi devenue un élément essentiel des démocraties représentatives. La séparation des pouvoirs a été théorisée par John Locke et Charles-Louis de Montesquieu. On retient en France le plus souvent la classification de Montesquieu définie dans son ouvrage célébre «L'Esprit des Lois» : * le pouvoir législatif, confié à un Parlement (ou Législateur), à savoir, en France

par la force et le système pénal ne pourrait pas être lui-même vertueux. C’est l’un des premiers arguments qu’avance John Locke dans la Lettre sur la tolérance, contre les mesures prises par l’Eglise contre les « hérétiques » et autres vicieux. On pourrait dire que l’Eglise avait posé comme norme certaines conduites, mœurs ou vertus, et que tout manquement à cela était puni. Locke écrit « Mais il n'y a personne, je m'assure, qui puisse croire qu'une telle conduite parte d'un fond de charité, d'amour

de la notion de « séparation des pouvoirs ». Mais s’est surtout les auteurs britannique et français John LOCKE et MONTESQUIEU qui ont à chacun leur tour, apporter leurs idéologies et analyses sur cette théorie. Car aucune autre théorie n’a autant marqué l’histoire constitutionnelle; on peut trouver ses « traces écrites » dés la fin du XIIe siècle dans l’essai : Le Gouvernement Civil de John LOCKE. Mais c’est évidemment à MONTESQUIEU avec L’Esprit des Lois, paru à la moitié du XVIIIe siècle, avec

I dont tous les H ont comme une divinat° et dont le sentiment leur est naturel et commun, mm quant-il existe entre eux aucune communauté ni contrat". --> naturellement les H ne portent pas atteinte à la vie, à la liberté et au bien d'autrui. John Locke ( 1637-1704 ) opposé à Hobbes. La raison gouverne tant bien que mal les H. Ce n'est pas pck les H sont cruels qu'ils n'ont pas en eux ce sentiment d'injustice, d'intuit° positive envers l'autre. Antigone --> tt le monde à le droit au respect

Fiche de lecture : Intimité 1. Identifier : Ce document est un article intitulé « intimité » publié dans la revue « Gérontologie et Société » numéro 122 dans l’édition de Septembre 2007 de la page 8 à la page 22. L’article a été rédigé par Jérôme Pélissier chercheur et formateur en psycho-gérontologie et auteur du roman « Les Insensés » aux éditions Joëlle Losfeld et de nombreux article comme Ethique et Gérontechnologies, « Quelques réflexions... » qui traite de l’éthique par rapport au

des Stuart qui cherchent à asseoir leur pouvoir. L'État assure la paix mais l'homme est désarmé contre l'État. John Locke appartient au parti contraire, celui des bourgeois, hostiles à l'absolutisme du souverain. Il expose un état naturel dans lequel les hommes ne sont pas en conflit mais au contraire sont soumis à une loi commune qui commande le respect de la propriété. L'homme, selon Locke, détient la propriété de lui-même mais encore de ce qu'il produit grâce à son travail, avant tout contrat social

et peuvent être retenus9 : la primauté de l’esprit scientifique sur la Providence dont la révolution newtonienne est l’illustration la plus marquante ; la réflexion politique marquée par la théorie contractuelle, influencée par les travaux de John Locke les progrès de l’esprit critique à l’œuvre, pour exemple, dans le Dictionnaire historique et critique (1697) de Pierre Bayle et la critique lockienne des idées innées ; une première désacralisation de la monarchie dont les Dialogues du baron Louis

naturellement abuser du pouvoir donc il est logique que nos monarchies soit des monarchies absolues. - optimiste : avec 2 auteurs John Locke (17e) et JJ Rousseau (18e). Ils ont 2 visions différentes des choses parce qu’ils sont dans des contextes différents. Locke essaie d’expliquer par un ouvrage qu’il publie en 1690, une révolution qui a chassé le monarque au pouvoir. Locke dit oui l’homme est à l’état de nature initialement mais les individus ont voulu conclure un Etat social pour assurer un bonheur

Philosophie : Résumé Locke. Introduction (p.6-12) : John Locke (XVII è siècle) aurait écrit « De la conduite de l'entendement » en 1697. La première fois vraiment de la publication est dans un volume d’œuvres posthumes en 1706. L'éditeur de Locke est son cousin. Il a donné des instructions très précises sur la publication de ses textes. Tout porte à croire que ses textes on été retranscrit fidèlement comme Locke le souhaitait. Locke n'a jamais fini « De la conduite de l'entendement », car il

le pouvoir royal. John Locke (philosophe anglais) 1690 « Essai sur le gouvernement civil » : analyse les missions de l'état : Faire la loi = pouvoir législatif appartenant au Parlement (représentant de la société) Exécuter la loi = pouvoir exécutif appartenant au roi (représentant du pays) Mener des relations internationales Montesquieu (parlementaire noble bordelais politiquement impliqué) : 1748 « L'esprit des lois » : observe l régime britannique et reprend l'idée de Locke. Le pouvoir est l'ennemi