John Locke La Souveraineté

de la souveraineté s’appuyant sur une bureaucratie et une forte spécialisation du gouvernement-> « compétence de la compétence », le souverain ne peut déléguer ou transférer des compétences sans que cela ne touche à sa souveraineté. Les fonctions régaliennes sont elles, susceptibles d’aucun transfert de compétences (compétences minimales de tout souverain). - Qu’est-ce que la souveraineté ? du latin superus (« supérieur »), et du concept grec Basileus. Au sens initial, la souveraineté d’un Etat

possible. - Etat-Nation = est un État qui coïncide avec une nation, c'est-à-dire la coïncidence entre une notion d'ordre identitaire, le sentiment d'appartenance à un groupe, la nation, et une notion d'ordre juridique, l'existence d'une forme de souveraineté et d'institutions politiques et administratives qui l'exercent, l'État. - Etal Multinational = définit le concept d’État multinational comme un État étant formé « de deux ou plusieurs nations existant en tant que communautés différentes, chacune

passions la « vile multitude » comme pensait Adolphe Thiers ou empêcher la « tyrannie de la majorité » pour John Stuart Mill. Dans quelle mesure le peuple peut-il, dans le sens de sa capacité mais aussi de sa légitimité, brider ses instincts naturels au profit de la gouvernance d’un Etat ? S’il est vrai, dans un premier temps, que le peuple semble en mesure d’exercer pleinement sa souveraineté de façon contractuelle ; une approche plus approfondie révèle, dans un deuxième temps, que les exigences

dépend de la conception constitutionnelle que l'on a (ainsi, si la Constitution française aborde en premier le pouvoir exécutif, la Constitution américaine débute par le législatif). La séparation des pouvoirs a été, pour l'essentiel, théorisée par Locke et Montesquieu, mais de manière bien différente de ce que l'on conceptualise aujourd'hui. En effet, les philosophes des Lumières ne concevaient qu'un simple aménagement entre différentes puissances équilibrées, qui se partageraient les différentes

constituant une nation souveraine. L’article 3 de la constitution du 4 octobre 1958 dans son alinéa premier dispose que « La souveraineté national appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum ». Il est inscrit dans le titre premier de la souveraineté, c’est ce qui souligne son importance, et il traite de l’exercice de la souveraineté national. Les trois premiers alinéas de l’article 3 de la constitution de 1958 reprennent les quarts alinéas de l’article 3 de

sa conservation. Toutes les autres passions viennent de l’histoire et de la société. « Chez Rousseau, la nature ne peut jamais être invoquée pour fonder l’autorité : « nature » et « domination » sont des termes contradictoires. ». A l’inverse de John Locke, Rousseau affirme que la famille n’est pas naturelle : c’est une idée prise dans la société, le besoin sexuel étant « un penchant aveugle dépourvu de tout sentiment du coeur, [qui] ne produisait qu’un acte purement animal ». L’état de nature équivaut

« droit à la liberté individuelle ». Carl Schmitt (1888-1985) : dignitaire nazi, juriste allemand, déforme la théorie de Hobbes et conçoit l’Etat moderne comme une démocratie autoritaire, sociale et centralisée Italie de Mussolini Libérales. John Locke (1632-1704), Traités du gouvernement civil (1690) : pacte entre le peuple et le futur monarque, la violation du contrat autorise la révolution et la légitimité du pouvoir doit provenir du consentement populaire. Charles de Montesquieu (1689-1755) :

se constituer progressivement sur la base d’une tentative de théorie rationnelle de l’Etat, fondée sur le Droit. C’est l’idée de Contrat (engagement mutuel), base de l’Etat de Droit et fondée sur la raison. . Selon Thomas Hobbes (le fondateur), Locke ou Rousseau, la légitimité de l’Etat se fonde sur l’idée d’un contrat, d’une association volontaire, d’un consentement et engagement mutuel et réciproque : en constatant en société les conflits et les guerres, il faut donc admettre, (en opposition

celui-ci: n’a pas besoin de prouver sa légitimité, elle est déjà garantie par la loi, la constitution. La puissance publique s’impose d'abord via ce monopole du droit positif du Prince, du roi et se légitime. la légitimité d'une souveraineté engendre la légalité de cette souveraineté via sa légitimité antérieure. Cependant, la légalité et la légitimité née sont pas en accord sur tous les points, et s’opposent sur plusieurs points (II). B. Les différences entres légalité et légitimité

comme extérieur au contrat passé entre ses sujets. En contre partie de la sécurité de la personne et des biens, les individus renoncent à leurs individuels au profit du seul souverain qui dispose d'un pouvoir absolu. B) John Locke Deux traités du gouvernement civil. Locke considère que l'homme est un être naturellement bon, raisonnable et libre. Son coût de la liberté le pousse à confier son pouvoir à l'état parce que cette liberté sera alors mieux assurée, mieux garantie. Les citoyens auraient