Ignorance Bonheur

des ouragans dévastateurs, la nature nous a plus d’une fois repris la vie. Nature, créature imprévisible. Changeant d’humeur à chaque saison, elle est le fruit de l’émerveillement : Pouvons-nous imaginer un hiver sans neige ? N’est-ce pas un bonheur de se lever le matin, de voir la rue vêtue de son épais manteau blanc, alors qu’elle était encore grise la veille ? Pouvons-nous imaginer un printemps sans pousses vertes ? Ne serions-nous pas malheureux de constater que les fleurs que nous avons

pour celui qui souhaite cheminer vers l’amitié avec lui-même, les autres, et finalement vers la sagesse. Par ailleurs, notre monde contemporain fait souvent de la connaissance de soi une sorte de sésame sensée ouvrir toutes les portes, sinon du bonheur, du moins du bien-être ou de la réussite sociale et professionnelle : les nombreux tests, « bilan de compétence » et autres questionnaires en témoignent. ! Mais sur quel fondement cette obligation de chercher à se connaître soi-même est-elle

obligé pour celui qui souhaite cheminer vers l’amitié avec lui-même, les autres, et finalement vers la sagesse. Par ailleurs, notre monde contemporain fait souvent de la connaissance de soi une sorte de sésame sensée ouvrir toutes les portes, sinon du bonheur, du moins du bien-être ou de la réussite sociale et professionnelle : les nombreux tests, « bilan de compétence » et autres questionnaires en témoignent. Mais sur quel fondement cette obligation de chercher à se connaître soi-même est-elle établie 

voudrait posséder. Une promesse est une sorte de contrat auquel on s’engage seul ou non. Le désir peut-il tenir ses promesses? _Qu’attendons nous de cet objet? De quel type de satisfaction le désir est-il capable? Attendons nous la promesse du bonheur en désirant? Cette promesse serait-elle d’obtenir la satisfaction en ayant l’objet? L’imagination est le mécanisme du désir. Est-elle parfois trompeuse? Pourquoi est-il si fascinant et si attrayant a tel point que l’objet peut exclure toutes les autres

et est créateur des moments intenses de notre vie, il est le moteur de la raison qui nous pousse à agir. puis, le désir a une passivité non soupçonné le désir est aveuglant et s ‘oppose à la raison nous poussant vers l’erreur ut savoir est une ignorance qui s'ignore disait Socrate C'est pourquoi il ne faut point s'endormir sur ses acquis et toujours se dire que c'est comme si on ne sait toujours rien.Aussi,mille fois, mieux vaut le désir du savoir que le savoir du désir. Une fois consommé le désir

constitue la 1ère partie (l.1-41) montre la montée du désir (l' « ivresse » qui « devient plus forte que [lui] » est à prendre au sens propre : il est excité, le désir ne cesse de croitre) et la 2ème partie (l.42-64) reflète le sentiment de la perte du bonheur (le désir est retombé. Valmont s'est dépensé donc il est fatigué). Analyse : 1ère partie Ecrire le trouble (avant l’amour). Valmont cherche à impliquer la destinataire de la lettre : - Omniprésence d’un « je » à un « vous ». - Les apostrophes

Thèmes du programme : le désir, le bonheur, la liberté… PETIT RESUME DE LA PHILOSOPHIE STOICIENNE Les stoïciens recherchent ce qu'ils appellent, comme tous les philosophes de l'Antiquité, le "Souverain Bien", i.e. ce qui est capable de nous donner la plus grande satisfaction, le plus grand contentement, le vrai bonheur, dirions-nous. Or, si nous plaçons le Souverain Bien dans des objets qui ne dépendent pas absolument de nous (plaisir, santé, richesse, pouvoir, honneur, amour, etc

définition du bonheur Pour définir le bonheur, nous pouvons partir de la définition qu’en donne Aristote dans Ethique à Nicomaque, I, 5 (cf. cours Etat) : le bonheur est le Souverain Bien, ce en vue de quoi nous faisons tout ce que nous faisons. Il est le but ultime de toutes nos actions, qui ne sert de moyen pour aucune fin ou bien ultérieur(e). Il est donc encore une fin parfaite, qui n'est jamais moyen pour autre chose. On ne veut pas être heureux pour autre chose que le bonheur lui-même.

ce jugement envers cette personne, je pourrai aller vers elle. Celle-ci m'apporterait surement beaucoup de choses. Elle me rendrait surement même meilleur. Mais ayant des préjugés sur cette personne je n'irai pas la voir, et je resterai dans mon ignorance. Ainsi, il vaudrait mieux pour l'Homme ne pas posséder de conscience, ce qui lui permettrait de faire moins de mal, tout en s'apportant de nouvelles choses. Mais éviter de blesser autrui ne serait pas le seul avantage à ne pas posséder de conscience

: opposition entre les sauvages «heureux» / les Européens «malheureux» ; «tout est à tous» / «je ne sais quelle distinction du tien et du mien» ; «le pur instinct de la nature» / «effacer de nos âmes son caractère» ; «libre» / «esclavage» ; «ignorance» / «lumières», etc. Le chiasme «elles sont devenues folles dans tes bras ; tu es devenu féroce entre les leurs» renforce cette opposition entre les deux mondes. - Une vie qui correspond aux lois de la nature : «Nous suivons le pur instinct de la