Hannah Arendt Qu Est Ce Que La Liberté

politique : - l’ordre politique est distinct et organisateur de l’ordre social, « monopole de la force légitime » - l’ordre politique est subordonné à l’ordre social, un état du rapport de force entre groupes sociaux. La société civile est selon Hannah Arendt : « Ce curieux hybride dans lequel les intérêts privés prennent une importance publique ». La société est formée groupes constitués de façon organique, sur la base de caractères partagés déjà là qu’ils soient familiaux, ethniques, linguistiques

que Nietzsche a appelé dans son ouvrage Ainsi parlait Zarathoustra : un livre pour tous et pour personne « le dernier homme ». Sachant que la modernité se caractérise par la position centrale de l’individu dans la société et par conséquent par la liberté politique, économique et l’égalité, il convient de savoir si l’avènement d’un homme dont la fin est de satisfaire ses plaisirs est un caractère inéluctable de la civilisation moderne. En effet, si nous sommes en voie d’être le « dernier homme » voire

de l’employé, de l’ouvrier ou de l’écolier harassés- il apparaît comme une contrainte s’opposant à une liberté que nous posons au-delà de lui, dans les loisirs, le jeu, les vacances. Tantôt – dans le jugement de l’éducateur, de l’artisan qui aime son travail, de l’artiste qui peine sur ses notes ou sur sa pâte colorée- il apparaît comme un moyen de « réalisation », l’exercice même d’une liberté dont nous concevons bien qu’en dehors d’une cette confrontation formatrice à la résistance d’une matière

La liberté Introduction 2 I. La liberté extérieure 3 A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) 3 B. La liberté et la loi 3 1. Etat de nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin

problématique aujourd’hui. Mais le travail était perçut comme ce qui rattache l’homme à l’animalité et dont on doit chercher à se libérer par tous moyens, si besoin est en le réservant à une certaine catégorie d’ « hommes », dont on sacrifiera la liberté pour mieux l’assurer pour d’autres. Ce qui explique l’institution de l’esclavage, l’esclave n’est donc plus considérer comme un homme, il peut donc travailler. A contrario, celui qui est considérer comme homme, doit faire des activités dans lesquelles

arrive à transcrire son projet imaginaire et abstrait en une réalité tangible. En outre, l’esclavage étant aboli, l’Homme doit par lui-même remplir les tâches serviles et incontournables qui, autrefois, étaient déléguées, comme l’éclaircit Hannah Arendt, dans sa critique de la conception que Marx se faisait des rapport sociaux de production dans le monde Antique dans son ouvrage La condition de l’homme moderne, aux servants pour que le maître puisse, à son aise, remplir ses « activités ». L’Homme

their money was used and they chased tyrants from power. After this secret was discovered, there was a reinterpretation of the history of England. They were proud to be English and brought freedom to the rest of the world. Le système totalitaire: Hannah Arendt, 1-a) l’homme de masse : nazisme- système politique totalitaire, pas de distinction entre le privé et le publique. Triomphe d’une race, pas de nation, même contre les allemands, utilise les symboles de l’Allemagne. Comment c’est arrivé? L’homme

temps des Droits de l’Homme. Selon Hannah Arendt, analyste du totalitarisme, le premier des droits est le droit d’appartenir à une communauté politique. Ce doit rejoint celui d’avoir une place significative dans le monde. En somme, on aurait selon elle « le droit d’avoir des droits » et évoque un « droit de l’humanité ». Ce retour du droit fait partie des facteurs d’une émancipation des individus, puisqu’il permet aux individus d’avoir plus de liberté et une meilleure stabilité. En effet, c’est

de répression qui ne laisse pas aux individus être libres ? Au contraire, on peut penser que si il n´y avait pas d´État la loi du plus fort règnerait sur la terre, c´est l´État de nature dont parle Thomas Hobbes dans le Léviathan. Ceci attaque la liberté puisque les intérêts particuliers se choqueraient entre eux et il y aurait toujours quelqu´un de plus fort qui nous contraindrait d´agir en bénéfice de notre volonté. L ´homme est un loup pour l´homme et il vaut mieux qu´il y ait un ordre aux mains

suffisante ? Est-ce que dans les faits, il faut être conscient pour être responsable ? Est-ce que l'inconscience est l'irresponsabilité ? I/ Définitions II/ Sans la conscience, on ne peut pas parler de responsabilité III/ Les autres conditions ( liberté volonté ) Public/privé, va-et-vient La responsabilité n’est pas seulement un fait, mais aussi une valeur. En tant que valeur sociale, suivant la perspective adoptée, elle peut prendre des significations diverses : elle renvoie donc inévitablement