Hannah Arendt Qu Est Ce Que La Liberté

pour désigner le régime qu’ils cherchent à instaurer ; dans leur bouche, ce terme est valorisé, il met en avant l'unité du peuple. - Par la suite, le mot « totalitarisme » a été utilisé par les philosophes et théoriciens de la politique comme Hannah Arendt pour désigner les régimes d’un type nouveau nés en Europe au lendemain de la 1ere guerre mondiale en Italie, en Allemagne et en U.R.S.S, bien que l’on soit en présence de trois idéologies différentes : communiste pour l’URSS, fasciste pour l’Italie

une Grande-Bretagne trente ans après une guerre nucléaire entre l'Est et l'Ouest censée avoir eu lieu dans les années 1950 et où s'est instauré un régime de type totalitaire fortement inspiré à la fois du stalinisme et de certains éléments du nazismeModèle:. La liberté d'expression n’existe plus. Toutes les pensées sont minutieusement surveillées, et d’immenses affiches sont placardées dans les rues, indiquant à tous que « Big Brother vous regarde » (Big Brother is watching you). L’histoire se passe à Londres en

les philosophes comme une caractéristique individuelle purement psychologique et morale, la liberté fut d’abord un statut, c’est-à-dire une condition sociale et politique garantie par un ensemble de droits et de devoirs. Nous ne pouvons faire ce que nous voulons, c’est-à-dire exercer notre liberté que si nous savons ce que nous voulons, autrement dit que si nous sommes conscients. Les notions de la liberté, ou la capacité d’agir indépendamment des causes ou des contraintes externes et d’échapper à

consommables et périssables, les œuvres d’art, écrit Hannah Arendt, parce qu’elles sont symboliques, échappent à l’usure du temps. Elles assurent ainsi la permanence et la consistance du monde humain. (Condition de l’homme moderne, Agora, Pocket, pp.222-223) L’art serait par là même une activité gratuite qui viserait la création en s’affranchissant de l’utile, et d’une fin déterminée à l’avance. L’esthétique kantienne insiste à la fois sur la liberté de l’artiste et sur l’impossibilité d’expliquer la

de l’information décuple les moyens d’action des organisations criminelles : le WEB permet l’accès à nombre de sites pornographiques, racistes ou violents (exemple : sites permettant d’apprendre à construire des bombes ou à se suicider). Or, si la liberté d’expression constitue un principe fondamental de toute société démocratique, elle ne doit pas pour autant porter atteinte au respect des droits d’autrui, à la dignité humaine et + largement à l’OP. Notons d’ailleurs que les moyens permettant de sanctionner

citoyenneté, cette sagesse sociale? cette sagesse vient de la peur qu’on les hommes d’un Etat sans lois et sans règles → en effet: dans les premiers Etats la liberté naturelle de chacun entravait celle des autres, c’est-à-dire que ces libertés mutuelles entraient en conflit, de fait que personne n’en profitait vraiment → l’insécurité rendait la liberté insupportable! théorie de Hobbes (vision très pessimiste de l’homme, renforcé par la guerre en Angleterre): les hommes sont gouvernés par le seul instinct

». Ainsi, le sens même d'autorité ne semble pas faire consensus au sein de l'école et de la société. Les propos des auteurs précédemment cités sont à nuancer. Différentes interprétations du terme « autorité » sont possibles. Selon Hannah Arendt, il existe trois formes d'autorités:l'autorité statutaire (le pouvoir dont sont investis certains par leur fonction), l'autorité personnelle (d’auteur, fondée sur le prestige de la personne indépendamment de son statut), et la capacité personnelle

La liberté Introduction I. La liberté extérieure A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) B. La liberté et la loi 1. Etat de nature et Etat social 2. Liberté négative et liberté positive 3. L’esclave et l’enfant 4. La liberté d’expression C. Travail et liberté 1. La libération par le salaire 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 3. La libération par la technique (Marx) 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) II. La liberté intérieure

qu’au sein de la société les préjugés sont bien Présents car ils s’imposent à nous dès l’enfance et sont réactivés tout au long de la vie. On ne peut pas les nier. Ils apparaissent comme naturels et déterministes dans la mesure où ils limitent la liberté de choix des individus. En ce sens, ils représentent déjà une influence négative sur l’homme. Ce qui nous rapproche d’une vision péjorative de ce concept, qui peut être parfois synonyme de soumission. Cette dernière peut prendre la forme de tyrannie

domestique n’est pas considéré comme un travail à part entier car il n’est pas rémunéré. D’autre part, une distinction est à établir entre travail et action selon Hannah Arendt dans La Condition de l’Homme Moderne. Alors que le travail est lié à une nécessité économique, qu’il est routinier et asservissant, l’action renvoie à une certaine liberté et créativité. Le lien social désigne l’ensemble des relations qui unissent des individus faisant partie d’un même groupe social et/ou qui établissent des règles