Hannah Arendt Qu Est Ce Que La Liberté

aspiratio commune à conservation et au bien-être du tout et de chacun. Celle ci est tjr bonne car tt le monde veut tjr son propre bien. En obéissant à la loi on obéit à sois même et on reste libre. "L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté". Cette voction du legicentrisme est le refut de déléguer le pouvoir à quelque chose d'autre qu'au peuple. La démocratie selon lui ne peut-être conçue que comme directe. Cpdt il admet que le peuple est incapable de se diriger seul, il lui faut des

désobéissant ? Une manifestation est une preuve que la liberté existe, à travers le droit d’expression, d’opinion et de pensée. Mais une manifestation peut dépasser la limite de l’obéissance. D’autres exemples le démontrent bien, comme la grève. C’est en cela que nous allons nous demander si la désobéissance est un accès direct à la liberté. Quel sens faut-il donner à la désobéissance ? S’imposer grâce à la désobéissance peut mener jusqu’à la liberté ? Peut-on être libre si on obéit ? Est-il possible

similarités fortes, des divergences sont sensibles au sein de ces régimes. Dans quelles mesures ces trois régimes peuvent-ils être qualifiés de totalitaires ? I- Qu'est-ce que le totalitarisme ? a) Le concept du totalitarisme En 1954, Hannah Arendt définie le totalitarisme comme un phénomène nouveau dont le fondement et l'idéologie avec comme instrument principal : la terreur. Ceci doit entraîner une domination permanente des individus dans toutes les sphères de leur vie. Karl Friedrich

retrouver un certain pouvoir décisionnel, au sein de notre profession ? Pourquoi travailler moins en quête de bonheur alors que cette plénitude peut être trouvée sur le lieu de travail-même ? Le travail vu comme accomplissement du moi réaffirme la liberté de l'homme et lui permet de se réaliser en tant qu'individu, plus que comme travailleur. Finalement, concrétiser ses désirs, ou expectatives dans le travail, c'est aussi se surpasser. Selon Kant, la production animale est avant tout régie par la

souligne Rousseau dans le contrat social, l’Autorité se doit de forcer toute individu à être libre dès lors qu’il ne respecte plus les lois auxquelles il a adhéré. Malgré l’usage de la Force, l’Autorité étatique, qui a pour but la garantie de la liberté de chacun, ne perd pas pour autant sa légitimité puisque l’usage de cette force fait partie du pouvoir qu’on lui a transmis. Nous venons donc de montrer pourquoi il n’est pas possible du point de vue de la légitimité de lutter contre l’autorité

occupation allemande, régime de Vichy et collaboration avec l'Allemagne, participation à la politique génocidaire des nazis (génocide : Soah=anéantissement / Holocauste=catastrophe). C'est aussi une période où des Français ont combattu pour les valeurs de liberté et de démocratie : le général de Gaulle et tous les combattants français au côté des Alliés et dans la Résistance. Pour nous Français se sont des crises majeures de l'unité et de l'identité nationale qui ont longtemps été occultées (Affaire Papont)

constitue une première différence qui interdit d’identifier ces deux {text:soft-page-break} réalités. On voit que l'État ne peut se passer de la violence mais une violence qui est endiguée. L’ordre politique s’oppose par la force à LA violence de libertés débridées. L'État doit donc exercer une violence afin de l’endiguer. Pourtant cette exercice de la violence par le pouvoir politique, même s’il est légal semble parfois plus complexe à légitimer. Comment ne pas qualifier de violentes certaines actions

catégorie de gouvernés, elle n’a pas permis au système politique de fonctionner au profit de la société politique globale. D’où la question suivante : quel peut être dès lors le meilleur système permettant de combiner les notions de souveraineté et de liberté, et d’éviter ainsi toute tyrannie qu’elle soit l’œuvre d’un seul ou d’une multitude ? 8. Le pouvoir en exercice 8.1. La démocratie comme régime politique 8.1.1. Étymologie Dans son sens originel, la démocratie provient du grec ancien  dèmokratia «

sujet, c’est à dire comme une personne apte à affirmer son libre arbitre, son autonomie, en bénéficiant des libertés politiques et des droits sociaux. La notion de citoyenneté est étroitement liée à celle de démocratie.  En effet, comme le souligne Patrice CANIVEZ in Eduquer le citoyen ?, c’est la démocratie qui donne un statut précis au citoyen en lui garantissant la jouissance des libertés fondamentales. Pour le philosophe, la citoyenneté définit l’appartenance à un Etat. Elle donne à l’individu

française et le fait d’être musulmane). Succès et mode de plusieurs d’auteurs (Hannah Arendt, Léo Strauss, Hans Jonas, Michel Serres) qui ont tous comme point commun de remettre en question la modernité = remise en question du sujet à cause du rapport au monde que cela implique. De manière plus subtile, toutes ces pensées militent pour une logique du ré enracinement de l’homme (dans la nature => Serres, dans le monde => Arendt). Il est intéressant de voir comment chacune de ces pensées joue sur le ré