Grotesque

cette bête. Le monstre est un être qui a une conformation contre nature et insolite, il est une figure singulière imaginée par la mythologie et les légendes. Dans la mythologie grecque, les monstres sont souvent des êtres terrifiants et grotesques qui avaient pour vocation d’être victime pour valoriser les héros. Il faut croire que l’homme a été marqué par la symbolique qui se cache derrière ces créatures mythiques, puissantes et dangereuses tels que chimère et phénix puisque aujourd’hui

des photomontages et des collages pour des publications satiriques qu'il anime. Après 1924, on a qualifié aussi sa peinture de «vériste» dans le sens de la Nouvelle Objectivité. Ses représentations des milieux urbains les plus divers, à la fois grotesques et effrayantes, les déformations de l'expressionnisme et la simplification du dessin d'enfant et populaire, ainsi que la superposition des plans et des effets visuels, héritages du cubisme et du futurisme, renforcent, dans l'analyse minutieuse des

La mort chez Baudelaire est représentée par de nombreuses allégories, évoquant pour la plus part des traditions médiéval et ewst associé à des visages changeants. La mort est d'abord présente, de manière grotesque, sous la forme du cadavre grouillant de vers et exhibant l'atrocité de sa décrépitude ou sous l'apparence de squelettes hideux. En effet Le cadavre est une des figures les plus caractéristiques et récurrentes des Fleurs du Mal. On le retrouve dans de nombreux poème (et pas seulement dans

personnages. ( Bilan d’axe : un récit comique, vivant mettant en scène deux personnages qui se disputent de façon puérile pour un motif dérisoire, une Huître. Axe II. La visée satirique de la fable. 1. Le personnage du Juge : un personnage grotesque. -son nom : sonorités rimes [in] + la signification de son nom « dandin » fait penser à « se dandiner », c’est-à-dire se déplacer en se balançant de façon gauche, maladroite ( un personnage ridicule. + dans le nom « dandin », la sonorité

Situation du passage : Ce texte qui ouvre le conte de Voltaire, décrit la société du château de T.T.T. dans  laquelle vit Candide. Elle se présente comme un paradis terrestre digne des contes de fée. Cependant, des  failles apparaissent dans ce monde, et cette société se révèle bientôt grotesque et factice, notamment ce qui  relève  de  son  pouvoir  et  de  ses  justifications.  En  quoi  cet  extrait  constitue‐t‐il  un  incipit  de  conte  philosophique ? (ou : Comment Voltaire parodie‐t‐il les codes de l’incipit du conte pour proposer une satire 

1848. Celui-ci se nourrissait d'une foi en l'homme et d'un optimisme revolutionnaire etrangers a Flaubert. Le realisme de Madame Bovary s'inspire au contraire d'un pessimisme radical a l'egard de l'humanite, dont l'ecrivain traque le derisoire, le grotesque et le neant. Partageant le desenchantement d'une generation impregnee d'ideaux romantiques et brisee par l'Histoire, Flaubert redige d'abord un livre rageur et ironique sur la betise. Mais le mot ici designe bien davantage qu'un banal defaut d'intelligence

C'est en effet un thème majeur de la comédie et comme Perdican vient d'atteindre à sa majorité que l’ éducation de Camille est terminée, on peut supposer qu'on ne va pas tarder à les marier. 4 – le genre : une comédie ? - Le comique, le grotesque : avec les personnages de maître Blazius et Dame Pluche, tous deux caricaturés. L’objectif est bien de faire rire le spectateur par le ridicule de la situation. - La présentation des deux jeunes est trop élogieuse et trop idéalisée. L’effet de

être sujet et dit dans le vers romantique, le beau comme le laid. Qu'est-ce que Victor Hugo appelle le «grotesque» et le «sublime»? → Le beau et le laid au théâtre. En quoi son discours sur le «sublime et le grotesque» est-il une nouvelle façon de considérer l'art, et en particulier le théâtre? → Il considère que la littérature doit représenter le sublime ET le grotesque, alors que ces deux aspects étaient séparés avant. Comment justifie-t-il ce point de vue? → Pour lui

Avec ses scènes étranges et grotesques, James Ensor est un pionnier de l’art moderne. L’intrigue est l’une des plus belles mascarades de son œuvre. Alors que le masque est censé cacher le véritable visage de celui qui le porte, chez Ensor, il a l’effet contraire. À partir de 1880, le “peintre des masques” masquera ses personnages pour mettre en évidence leur méchanceté foncière. Ici, une femme a mis le grappin sur un homme. Elle tient en main un petit bouquet de fleurs. Le couple vient de se marier

la peau de tout le monde « Le fou et la Vénus » (7) : indifférence de la déesse devant un bouffon ridicule (sublime et grotesque) « Déjà ! » (34) : mépris pour les voyageurs qui veulent quitter la mer « La femme sauvage et la petite-maîtresse » (11) : délicatesse blasée de la maîtresse et nature « sauvage » d’une femme mariée qui passe Le laid et le beau/Le sublime et le grotesque/ Le contraste (2) « Le thyrse » (32) : contraste entre la ligne droite et le sinueux Les êtres solitaires/La solitude