Grotesque

présente deux personnages grotesques, deux fantoches, Maître Blazius et Dame Pluche. Mais des ombres planent : les portraits des protagonistes semblent trop parfaits et l’éducation de chacun d’eux semble les éloigner l’un de l’autre. En outre, quelques détails pourraient être considérés comme annonciateurs du retournement de la pièce et du glissement progressif dans le tragique. Donc, la scène d’exposition de cette œuvre mélange à la fois le sublime et le grotesque. Le grotesque étant illustré par les

évoque un sujet de conversation banal, convenu, et l'énumération qui suit est une sorte de carte postale sans originalité. Une splendeur ridicule : - Réification, animalisation : l'hypotypose et ses détails crée une confusion inattendue et grotesque : les personnages deviennent le prolongement de leurs vêtements : « Leur cou tournait à l’aise sur des cravates basses », etc.... - « L’un se plaignait de ses coureurs qui engraissaient ; un autre, des fautes d’impression qui avaient dénaturé le

infime que je ne sais quelle idée-ambition m'avait fait déserter. Anéanti quant à la hauteur, quant à l'estime. Perdu en un endroit lointain (ou même pas), sans nom, sans identité. CLOWN, abattant dans la risée, dans l'esclaffement, dans le grotesque, le sens que toute lumière je m'étais fait de mon importance. Je plongerai. Sans bourse dans l'infini-esprit sous-jacent ouvert à tous, ouvert moi-même à une nouvelle et incroyable rosée. A force d'être nul Et ras Et risible... Clown.

quotidienne. Ne pas confondre avec le merveilleux, où le public est introduit dans un monde magique fait de conventions, dont il sait qu'il est conventionnel. Le fantastique produit l'angoisse, car il est à la lisière du naturel et du surnaturel. Grotesque : ridicule avec quelque chose de bizarre, voire de monstrueux ; comique, laid, horrible. Lyrique : ton de l’expression des sentiments personnels ; évocation exaltée de sentiments communs à tous les hommes. Pathétique : ce registre cherche à provoquer

une caricature de la politique expansionniste qui est tout simplement grotesque. Enfin, le corpus est constitué de registre variés, le texte 1, registre didactique, nous enseigne comment être un bon roi en dénonçant les mauvaises pratiques, les problèmes de la société sous forme de moral qui dans ce cas là n’a pas l’air d’être écouté. Le deuxième texte traite d’un sujet très sérieux d’une façon tout a fait grotesque en opposant le bon et le mauvais roi, nous sommes donc dans un registre

du rapport à l’origine de ses personnages. Contre la tradition, Balzac assume la modernité en montrant ce qu’elle a d’hybride. En témoigne le personnage de Joséphine, physiquement infirme mais d’une générosité grandiose, mélange de sublime et de grotesque. Mais quoiqu’il l’endosse, Balzac n’est pas moins critique de cette modernité et de la quête d’une rationalité scientifique fondatrice du sujet et du monde qui la caractérise. Si la recherche obsédée de l’absolu est le moteur de la narration, la

nature mais avec un état naturel prometteur nature gâtée par une mauvaise formation l’éducation de Ponocrates l’épreuve du feu Cependant Rabelais procède à un détournement du modèle canonique, qui est traité sur le mode grotesque. On peut faire ici référence en particulier avec l’épisode du torchecul pour l’épreuve de son esprit, tandis que l’épreuve du réel se fait aux côtés de la figure fantaisiste de Frère Jean, pris dans une guerre dantesque pour des raisons ridicules

invraisemblables, mais il conserve l’unité d’action tout en l’assouplissant. Il l’appelle unité d’ensemble. Il refuse la distinction entre comédie et tragédie pour une peinture totale de la réalité. Le drame romantique est une alliance du sublime et du grotesque. Ses héros sont des passionnés comme les romantiques (la première caractéristique du romantisme est l’exaltation du moi). Victor Hugo privilégie les drames en vers mais sans les contraintes de la prosodie classique (ex : l’ouverture d’Hernani qui

et appartenant à un autre temps. Mais ce n'est pas pour autant que les romantiques dénigrent le passé puisqu'ils se réclament de Shakespeare, lequel mélangeait les genres (tragédie, comédie, farce…) et les registres (tragique, lyrique, sublime, grotesque…). Cette nouvelle revendication est celle de la totalité.          Définition :    Qu’est que le romantisme ? qui dit Romantisme dit art –moderne – c’est-à-dire intimité, spiritualité, couleur, aspiration vers l’infini, exprimées par

l’égard de l’ensemble des morts. Son seul souci c’est de manger. Mise en valeur de l’autorité, de la brutalité du narrateur. ← Le texte devient parodique du registre épique, au service de la parodie. Parodie au service de la satire : burlesque, grotesque et la parodie. ← Projet de Céline : faire voir l’atrocité de la guerre Conclusion : Céline assume complètement sa subjectivité, il s’est réclamé de Zola pour son intérêt des classes populaires. C voulait mettre en avant l’écrasement