Gervaise Et Les Hommes

lui donnera trois enfants, Lisa, que la directrice des postes prit en affection et qui l’amena avec elle à Paris, à la mort de son mari, Gervaise, que Macquart sucera jusqu’à la moelle, petite fille fluette, buvant de l’anisette avec sa mère, et Jean, peu intelligent, mais décidé à se faire une situation et à partir de chez lui au plus vite.             Gervaise, blanchisseuse, tombe enceinte dès l’âge de quatorze ans, d’un ouvrier tanneur, Lantier. Mais Antoine, trop désireux de garder les revenus

? -Le naturalisme est un mouvement littéraire de la fin du Second Empire, né de l'influence des sciences et de la médecine expérimentale et des débuts de la psychiatrie. Il s'agit d'une théorie suivant laquelle la littérature doit peindre les hommes et la société en s'inspirant des méthodes utilisées dans les sciences naturelles : observation sur le terrain, exactitude, refus de l'interprétation hâtive non fondée. -Ces romans montrent également la Société tel qu'elle était. -Cela a été en

de la science. Dans cet extrait du dernier chapitre de son ouvrage, Zola met en scène plusieurs personnages qui se trouvent être dans un milieu hospitalier, au chevet d’un mourant, Coupeau, complètement noyer par l’alcool. On retrouve ainsi Gervaise, une femme de bon cœur, qui visite Coupeau sur son lit de mort. Les médecins qui examinent et l’interne qui veille sur le patient sont des personnages secondaires, mais restent tout de même très importants dans cet extrait. Dans un premier

exerçait sur nous et on pouvait voir ses rayons qui pénétraient entre les bâtiments de la ville. Je me sentais comme bercé par le mouvement de la foule. Plus j’avançais plus elle devenait moins concentrée. Les coins sombres, humides et sales dont Gervaise parlaient avec peur sont en réalité ni dangereux ni mal fréquentés, je les aie même trouvés paisible car personne n’y venait se promener. Enfin sortit de la foule, je pouvais mieux admirer les beautés de la ville. Le mouvement de la troupe était

personnage principal de ce livre. Il est né en 1846. Etienne Lantier est le troisième fils de Gervaise Macquart et d’Auguste Lantier qui est ouvrier taneur à Plassans, dans le Midi. Etienne est recueilli par sa grand-mère paternelle. Quand sa grand-mère paternelle meurt, les parents d’Etienne l’emmènent à Paris. A huit ans, il est mis dans une pension. Après avoir été abandonné par Lantier, Gervaise épouse Coupeau qui est un ouvrier zingueur qui maltraite l’enfant. Quand Etienne a douze ans

ayant pour sous-titre : Histoires naturelles et sociales d'un famille sous le Second Empire (de 1851 à 1893). Dans cette oeuvre, Zola se propose de montrer l'évolution des personnages d'une même famille dans différents milieux. Observateur des hommes et des faits de son temps dans ses romans, Zola n'a cessé de s'engager dans des causes sociales, artistiques ou littéraires qui lui semblent justes, sans jamais faire de politique. Le personnel politique lui semble suspect et avant l'affaire Dreyfus

meurtriers et artistes. Dans ce roman , l’honnête Goujet, le paresseux Coupeau, l’avare et fier Lorilleux, le bruyant Mes-Bottes en illustrent chacun un aspect. • Le récit d’une déchéance Celle d’une femme. Quelles sont les causes qui poussent Gervaise à la ruine ? Quel est le rôle de la malchance, du tempérament de l’héroïne, du milieu où elle évolue ; Le tempérament est l’ensemble des traits physiologiques qui déterminent la nature d’un être. Intérêt de Zola plus pour le tempérament que pour

Le thème de la machine dans les romans d’Emile ZOLA « L’alambic » - Gervaise, future alcoolique, est installée au bar de « L’Assommoir », et examine la machine à distiller… Elle eut la curiosité d'aller regarder, au fond, derrière la barrière de chêne, le grand alambic de cuivre rouge, qui fonctionnait sous le vitrage clair de la petite cour ; et le zingueur, qui l'avait suivie, lui expliqua comment ça marchait, indiquant du doigt les différentes pièces de l'appareil, montrant l'énorme cornue d'où

invitée à cette partie de pêche, se réveilla, et tournant la tête vers son mari :     "Eh bien,... eh bien,... Jérôme !" Le bonhomme, furieux, répondit :     "Ça ne mord plus du tout. Depuis midi je n'ai rien pris. On ne devrait jamais pêcher qu'entre hommes ; les femmes vous font embarquer toujours trop tard." Ses deux fils, Pierre et Jean, qui tenaient, l'un à bâbord, l'autre à tribord, chacun une ligne enroulée à l'index, se mirent à rire en même temps et Jean répondit :     "Tu n'es pas galant pour

petit la trame de l’œuvre. Mais chez Hugo comme chez Cohen, la mort est esthétisée : la vie de Jean Valjean, l’amour d’Ariane et Solal sont nimbés d’un halo sacré. En revanche, c’est la déchéance de l’homme qui est figurée par Zola et Beckett : Gervaise meurt seule et déshumanisée, quand Malone termine sa vie dans le délire et la folie. ! ! ! /!8 2 Séquence I, DST n°1 Ébauche de commentaire littéraire - éléments de corrigé Vous commenterez l’extrait de L’Assommoir (texte B). Vous