Gervaise Lassomoir

qu’elles jouent un rôle essentiel. En vous appuyant sur les textes du corpus, les œuvres étudiées en classe et vos lectures personnelles, explicitez et justifiez ces deux points de vue. OU Sujet d'invention (14 points) Lantier, attendu par Gervaise, revient d’une nuit de festivités qui le conduit à porter un regard sur la ville tout à fait opposé à celui de sa compagne. Décrivez de son point de vue le spectacle de la ville et du mouvement de la foule au petit matin, en vous efforçant

unpiège destiné à assommer renards, blaireaux et autres bêtes. L'assommoir a donc une valeur métaphorique. C'est un piège qui va se refermer sur Gervaise et la tuer. Dès son titre, le livre inscrit la mortau programme. L'assommoir est redoublé à la fin du chapitre par la présence de l'abattoir (qui forme, avec l'hôpital, les limites du quartier où Gervaise sent que son destin va s'inscrire). Le déchéance de cette famille, il frappeinstantanément le lecteur par la violence sèche de ses trois syllabes

effectuer sur le naturalisme + l'hérédité ). -Présentation générale de l'œuvre: 7eme vol des R-M publication en 1877 qui provoqua un scandale, gros succes néanmoins -présentation du passage: une des 1ere rencontres entre les pers. principaux du roman: Gervaise et CoupeauTs 2 discutent autour d'un prune à l'Assommoir du père colombe. Evoquent leur dégout de l'alcool & leur rêve d'une vie paisible. Ms présence inquiètante de l'alambic. Lecture du texte Pb: Comment ce texte met il en évidence le phénomène

L'Assommoir est un roman d'Émile Zola publié en 1877, septième volume de la série Les Rougon-Macquart. C'est un ouvrage totalement consacré au monde ouvrier et, selon Zola, « le premier roman sur le peuple, qui ne mente pas et qui ait l'odeur du peuple ».1 L'écrivain y restitue la langue et les mœurs des ouvriers, tout en décrivant les ravages causés par la misère et l'alcoolisme. À sa parution, l'ouvrage suscite de vives polémiques car il est jugé trop cru. Mais c'est ce réalisme qui, cependant

Rougon-Macquart, il traite le thème de la prostitution féminine à travers le parcours d'une courtisane dont les charmes ont affolé les plus hauts dignitaires du Second Empire. L'histoire commence en 1868. Née dans la misère, Nana est la fille de Gervaise et de Coupeau (voir L'Assommoir). Le début du roman nous la montre dans la gêne, manquant d'argent pour élever son fils Louiset qu'elle a eu à l'âge de seize ans, faisant des passes pour arrondir ses fins de journées. Ce qui ne l'empêche pas d'habiter

Gervaise dura ainsi pendant des mois. Elle dégringolait plus bas encore, acceptait les dernières avanies, mourait un peu de faim tous les jours. Dès qu’elle possédait quatre sous, elle buvait et battait les murs. On la chargeait des sales commissions du quartier. Un soir, on avait parié qu’elle ne mangerait pas quelque chose de dégoûtant ; et elle l’avait mangé, pour gagner dix sous. M. Marescot s’était décidé à l’expulser de la chambre du sixième. Mais, comme on venait de trouver le père Bru mort

Anna Coupeau, surnommé Nana, est la fille de Gervaise Lantier (personnage principal de l'Assommoir) et de Coupeau. L'histoire commence lors de la première représentation de la "Vénus Blonde" en avril 1867. Ayant obtenu le rôle principal, non grâce à son talent, mais grâce à sa beauté et son audace. Elle ne sait ni jouer, ni chanter mais elle connaîtra un succès immédiat. Au début du roman, Nana manque d'argent pour élever son fils Louiset, qu'elle a eu à seize ans. Elle vit au-dessus de ses moyens

leur lecteur avec de nombreuses et riches descriptions leur permettant de visualiser les scènes, de se les représenter mentalement aussi précises soient-elles. Ainsi, dans « L'Assommoir » de Zola, trouve-t-on cette phrase extrêmement réaliste : « Gervaise, que la lanterne gênait, se haussait, son mouchoir sur les lèvre. Elle regardait à droite, du côté du boulevard du Rochechouart, où des groupes de bouchers, devant les abattoirs, stationnaient en tabliers sanglant ; et le vent frais apportait une

retrace la vie de Gervaise Macquart, de sa rupture avec Lantier à sa mort. Abandonnée à Paris avec deux enfants, elle lutte contre la misère en tant que blanchisseuse, s'éprend de Coupeau, un zingueur. Elle parvient à ouvrir sa propre boutique, a une fille de Coupeau, Nana (qui donnera nom à un autre roman de Zola). Mais à la suite d'un accident, Coupeau prend l'habitude de l'oisiveté, fait société avec un Lantier revenu. Ce dernier s'installe dans le ménage, et ruine la boutique de Gervaise en buvant régulièrement

Gervaise avait attendu Lantier jusqu’à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d’être restée en camisole à l’air vif de la fenêtre, elle s’était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées de larmes. Depuis huit jours, au sortir du Veau à deux têtes, où ils mangeaient, il l’envoyait se coucher avec les enfants et ne reparaissait que tard dans la nuit, en racontant qu’il cherchait du travail. Ce soir-là, pendant qu’elle guettait son retour, elle croyait l’avoir vu entrer