Gervaise Et Les Hommes

des Rougon est le commencement de l’histoire et Le docteur Pascal est la fin de son œuvre. Chacun de ses romans met en scène l’histoire d’un personnage en particulier, ainsi dans L’Assommoir, Zola nous présente les « aventures » de son personnage Gervaise. On peut donc dire que l’œuvre romanesque commence avec le personnage principal car sans le personnage l’œuvre n’existerait pas. Sans le personnage de Nana, le roman Nana ne pourrait exister. Or, dans la vie, il n’y a pas de personnages principaux

leur famille. THEMES SECONDAIRES : L’amour, la trahison, la débauche, la solidarité, la violence, la souffrance. Etienne Lantier : C’est avec lui que s’ouvre et se ferme le roman. Né en 1846, il est le fils de Gervaise Macquart et de son amant, Auguste Lantier. Mais Gervaise, abandonnée par Lantier, épouse Coupeau, un ouvrier zingueur qui maltraite souvent l’enfant. Etienne dès l’âge de 12 ans, travaille comme apprenti dans une fabrique de boulons. Par le suite, il est envoyé à Lille et devient

ne peut être qu’un miroir sans quoi il se ne distinguerait pas alors du simple documentaire. Il peut tout simplement refléter ce que la société pense d'elle-même. C'est ce qui sera examiné dans une troisième partie. Les hommes sont dans l’Histoire, presque prisonniers de la société à laquelle ils appartiennent, qu’ils y occupent des fonctions privilégiées, qu’ils la contestent ou qu’ils s’y adaptent. Le romancier n’échappe pas à la règle. Le roman est donc comme le disait

Par exemple dans « Les liaisons dangereuses » de Laclos, la protagoniste Mme de Merteuil, possède des caractère non commun, elle est intelligente et cultivée, et possède une supériorité physique et intellectuelle qui était d'habitude réservée aux hommes à cette époque. Elle possède aussi l’atout de savoir contrôler les autres, c’est ce qui va lui permettre d’arriver a ses fins dans le lute avec son opposant Valmont. On peut aussi retrouver de tels caractères dans les romans policier, par exemple

spatio-temporel spécifique qui renvoie a une société donnée comme par exemple dans l’œuvre de Zola « L’assommoir » ou nous sommes plongés dans le milieu ouvrier et notamment une illustration du métier de blanchisseuse qu’exerce le personnage principal Gervaise, La blanchisserie est décrit en détail ainsi que la rue où elle se trouve, nous sommes situé à l’époque de l’auteur c'est-à-dire au XIVème siècle dans Paris avec des lieus réels. C’est une société où il est difficile de gagner en notoriété lorsque

l'homme durant l'époque de l'auteur. Ce qui peut quelque fois développer la dimension de la misère humaine, de sa véritable mentalité, tel que nous le montre …. . En effet le soldat présent dans ce livre amène la notion de la lâcheté naturelle des hommes. Ainsi, de nombreux romans, majoritairement nouveaux, possèdent des personnages ne faisant pas preuve d'héroïsme. Leurs actes, leur personne et leur vie sont banale. Toutes fois, il est important de nuancer la notion de figures héroïques. Il

liens d’amitié déjà existant, mais aussi de se réconcilier en cas de conflit et de faire la paix autour d’un dîner. 1.2. Le deuxième document est un extrait du roman L’assommoir d’Emile Zola, réédité en 1978. Cet extrait s’intitule « La fête de Gervaise », il s’agit d’un texte narratif. L’histoire se situe à la fin du XIXème siècle, dans le milieu ouvrier donc un milieu pauvre. Malgré la pauvreté, le repas est très généreux puisqu’on compte cinq plats copieux et du vin en grande quantité. D’autre

pour des causes? Dissertation :  Au XVIIIe siècle, de nombreux auteurs ont mis leur art au service de la pensée des Lumières. Ainsi, Condorcet, dans son essai intitulé Réflexion sur l'esclavage des nègres (1781), lutte pour l'égalité de tous les hommes et pour la cause abolitionniste. Cette visée argumentative de l'oeuvre littéraire est aussi défendue par Voltaire qui affirme : “J'écris pour agir”. La littérature aurait donc pour but, selon le philosophe,de porter les idées de l'auteur pour les

la rélativité du temps. Le temps répresent la fugacité, inconstance, attravers le temps beaucoup des changements se passent. Cela on voit quand après des anées pasées dans la maison de la santé, le narrateur revient à Paris. Le temps a changé les hommes qu´ il connaissait. Il s´en va à une matinée chez la nouvelle princesse Guermantes, qui n´est autre que Mme Verdurin qui jadis était declaré comme celle qui méprisait l´aristocratie. Elle est accepté dans la societé aristocratique à cause de sa fortune

mort. De même Zola, qui ne manque pas dans nombres de ces romans de placer la médiocrité de ses héros au service de sa thèse sur l’incidence de l’hérédité et du milieu sur le destin de ses personnages. Ainsi, dans L’Assommoir, l’alcool précipite Gervaise dans la déchéance, et sa fille Nana ne connaîtra pas un meilleur sort. Ses personnages subissent leur destin plus qu’ils ne le maîtrisent, comme ils subissent le poids de la société et de la condition humaine. Les antihéros sont également nombreux