Frère Giroflée

travaillé. Il n'est plus utile et continue a parlé sans rien dire mais est intérrompu. Il reste optimiste "si.. si.. " hypothèses -Vieille: pas de malheurs (implicite) = elle travaille -Frère Giroflée: devenu honnête (le travaille la fait devenir honnete) : excellent (voc valorisant) menusier -Martin: travaille Travail est valorisé et est valorisant = bénéfique. Chacun est utile

accrocher au cou de sa jument. Le royaume de Grandgousier est envahi par Picrochole. Grandgousier ne parvenant pas à ramener Picrochole à la raison, il appelle son fils Gargantua à la rescousse. Ce dernier prend la tête des combats. Il est aidé par Frère Jean des Entommeures, dont le courage est exemplaire. Le fils de Grandgousier est victorieux et Picrochole doit s’enfuir. Gargantua  fait un discours de morale politique. Il indique également que le royaume du vaincu reviendra à son fils dont l’éducation

louable dessein ; chacun se mit à exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup. Cunégonde était à la vérité bien laide ; mais elle devint une excellente pâtissière ; Paquette broda ; la vieille eut soin du linge. Il n'y eut pas jusqu'à frère Giroflée qui ne rendît service ; il fut un très bon menuisier, et même devint honnête homme ; et Pangloss disait quelquefois à Candide : « Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin, si vous n'aviez pas été chassé

dans Candide est fréquente. Cela est dû au fait que Voltaire avait été élevé par les jésuites, envers qui il a développé à la fois reconnaissance et hargne. C’est ainsi qu’on retrouve des épisodes tels que celui au cours duquel le héros transperce le frère de Cunégonde, devenu Jésuite. Personnages • Candide, le personnage principal, bâtard supposé de la sœur de monsieur le baron Thunder-ten-tronckh, « l’esprit le plus simple » dont la « physionomie annonçait son âme ». Il est le seul personnage

ébats de Candide et de Cunégonde. La réaction du baron est brutale, Candide est banni et chassé de cet Eden. Il se retrouve dans "le vaste monde. Candide achète avec ses derniers diamants une modeste métairie où viennent se réfugier Paquette , le frère Giroflée, Pangloss, Martin, Cunégonde et Candide. Un sage vieillard leur conseille le travail qui "éloigne de nous trois grand maux, l'ennui , le vice et le besoin".Candide en arrive à cette conclusion qui recueille l'assentiment de tous ses compagnons

travail collectif, auquel chacun participe selon ses capacités, est profitable à l’ensemble du groupe. Néanmoins, l’enrichissement que procure le travail est aussi personnel, chacun pouvant s’épanouir individuellement dans son ouvrage, à l’instar de frère Giroflée qui « fut un très bon menuisier et même devint honnête homme ». Si bien que, face aux vices de notre monde, Voltaire vante les mérites du travail, car l’homme, contrairement à ce qu’en dit Martin, n’est pas fait pour vivre dans « la léthargie

hommes et s'enfuit avec Cunégonde et sa vieille servante. Il embarque avec son valet Cacambo, Cunégonde et sa vieille servante pour le Paraguay. Contraint d'abandonner Cunégonde à Buenos-Aires, il s'enfuit avec Cacambo au Paraguay. Ils y retrouvent le frère de Cunégonde que Candide transperce d'un coup d'épée, s'échappent, évitent de peu d'être mangés par les sauvages Oreillons et découvrent le pays d'Eldorado. Ils y sont heureux mais préfèrent le quitter avec toutes leurs richesses pour retrouver Cunégonde

particulier » il ne leur vient pas à l’esprit qu’il vient de faire un énorme geste de bonté et qu’il faut le remercier. Comme à la page 140, ligne 168 : « (…) et Candide était si abîmé dans sa douleur qu’il ne fit pas même réflexion que Paquette et frère Giroflée n’étaient pas venus seulement le remercier. » (Dans le chapitre XXIV, Candide leur donne deux milles piastres). Candide retrouve espoir en retrouvant Cacambo qu’il cherchait désespérément à retrouver tout comme Cunégonde. Il peut ainsi espérer

louable dessein ; chacun se mit à exercer ses talents. La petite terre rapporta beaucoup. Cunégonde était à la vérité bien laide ; mais elle devint une excellente pâtissière ; Paquette broda ; la vieille eut soin du linge. Il n'y eut pas jusqu'à frère Giroflée qui ne rendît service ; il fut un très bon menuisier, et même devint honnête homme ; et Pangloss disait quelquefois à Candide : « Tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin, si vous n'aviez pas été chassé

: le baptême aurait été retardé du fait du peu d'espoir de survie de l'enfant. Ses parents sont François Arouet, notaire puis receveur des épices à la Cour des Comptes et Marie Marguerite d'Aumart, d'une famille proche de la noblesse de robe. Son frère ainé sera un sympathisant janséniste. Du fait de son esprit frondeur, de ses relations libertines et surtout de sa vocation de poète, il aura des relations difficiles avec son père. Cause ou conséquence de cette inimitié, Voltaire s'est à plusieurs