Frère Giroflée

d’une des marchandes. Alors, Marjolin trouva qu’elle sentait bon des pieds à la tête. Elle vivait dans les roses, dans les lilas, dans les giroflées, dans les muguets. Lui, flairant sa jupe, longuement, en manière de jeu, semblait chercher, finissait par dire : « Ça sent le muguet. » Il montait à la taille, au corsage, reniflait plus fort : « Ça sent la giroflée. » Et aux manches, à la jointure des poignets : « Ça sent le lilas. » Et à la nuque, tout autour du cou, sur les joues, sur les lèvres : «

actualité de la pensée du XVIII°, dont les combats, les idéaux, restent aujourd’hui (malheureusement…) tout aussi valables. * Passionné de la raison, le Philosophe est, parallèlement, l’ami du genre humain, reconnaissant en chacun de ses semblables un frère. Il est donc un homme sensible, vibrant à l’unisson avec les autres hommes. Cette sensibilité est toujours sous-jacente, même quand elle tend à se cacher derrière la lucidité ou les traits d’esprit (Voltaire) ; elle se traduit par de violents mouvements

société ≠ à la société du chapitre 1. En effet, le château de Thunder-ten-tronckh → était le lieu de la hiérarchie, lieu de l'exclusion . Dans la métairie → inverse → ≠ hiérarchie → chacun travaille et le seul qui n'arrive pas → Candide. Même frère giroflée → pointe d'humour et devint même honnête homme. Métairie → lieu où tous sont égaux, lieu de la tolérance ou tous sont acceptés sauf le baron à la fin du chapitre 29 car il est lui même intolérant et jusqu'au bout la seule chose qui est intolérable

en possédant ce que l’homme a quitté ; Et pareil à l’oubli, sur ces murs qu’il enlace, Monte de siècle en siècle aux sommets qu’il efface. Le buis, l’if immobile, et l’arbre des tombeaux, Dressent en frissonnant leurs funèbres rameaux, Et l’humble giroflée, aux lambris suspendue, Attachant ses pieds d’or dans la pierre fendue, Et balançant dans l’air ses longs rameaux flétris, Comme un doux souvenir fleurit sur des débris. Aux sommets escarpés du fronton solitaire, L’aigle à la frise étroite a suspendu

l'hôpital de Castres, qii'il a pu quit- mew), Ma-Fortune (Kaiser), Investiture Toulouse-Espagne-Maroc : quotidien à 6 h. crime, M. Matras aperçut le mystéFontainebleau, 16 septembre. ter peu après. grands fonds, est extrêmement rare. (Bêche), Giroflée (Reinette). Toulouse-Amérique du Sud : le 21 septemrieux ieune homme blonc, à la veste Par les soins de M. I.escapullo, recebre h 6 heures. La Traversée da Pacifique de "lustrine noire, coiffé d'une cas- veur des domaines, a eu lieu hier la

Bulgares. Il est alors amené à tuer le grand Inquisiteur et un Juif, qui se partageaient Cunégonde comme prostituée, et s’enfuit en Amérique. Il doit abandonner Cunégonde et se réfugie auprès des Jésuites du Paraguay dont le colonel n’est autre que le frère de Cunégonde, lui aussi survivant. Pourtant, une dispute s’élève entre lui et Candide, qui pour la troisième fois meurtrier, pourfend son adversaire. • Il échappe de justesse aux sauvages Oreillons et séjourne au merveilleux pays d’Eldorado où les

fleurs ont été abîmées et rapportées par Antonio ? Ce sont des giroflées. Ce détail est amusant car lorsque Chérubin se précipite de la fenêtre de la Comtesse dans le jardin d’Antonio, il craint d’abîmer les melons. Or ce sont des pots de giroflée qui ont été brisés par l’échappée belle du jeune page. Si l’on s’interroge de manière plus précise sur la présence de ces fleurs dans la pièce, on peut aussi constater que la giroflée symbolise la beauté. 7 Qu’est-ce qu’une « séguedille » ? Une séguedille

fleurs ont été abîmées et rapportées par Antonio ? Ce sont des giroflées. Ce détail est amusant car lorsque Chérubin se précipite de la fenêtre de la Comtesse dans le jardin d’Antonio, il craint d’abîmer les melons. Or ce sont des pots de giroflée qui ont été brisés par l’échappée belle du jeune page. Si l’on s’interroge de manière plus précise sur la présence de ces fleurs dans la pièce, on peut aussi constater que la giroflée symbolise la beauté. ᕧ Qu’est-ce qu’une « séguedille » ? Une

contexte temporel est indéfini contrairement au contexte spatial | | |le lieu de l’action  |Candide, Pangloss, Cunégonde et son frère, le baron, la baronne. | | |Le temps |Le ton ironique jalonne le texte tout entier.

les privilèges liés à la naissance. Il permet de rendre les gens meilleurs : « frère Giroflée [...] devint honnête homme » alors qu’il était proxénète et escroc -> la métamorphose s’appuie sur la construction de la phrase. Le travail compense aussi la laideur de Cunégonde -> « mais » : compensation grâce au travail. Il est ici associé à l’idée d’égalité : ne voulant pas renoncer à ses prétentions aristocratiques, le frère de Cunégonde a été exclu. L’idée de travail est omniprésente dans tout le passage