Forces Faiblesses Mexique Hong Kong

zone de départ est avec les africains de l’ouest et l’Afrique du nord (ils partent car les voisins sont riches), les africains partent vers l’Espagne (détroit de Gibraltar). 1 La troisième zone de départ est l’Amérique avec les Caraïbes, le Mexique, l’Amérique centrale, la Colombie et le Pérou. Ces pays alimentent les flux de migration. Beaucoup de ces espaces envoient des travailleurs relativement peu qualifiés, d’autres exportent au contraire des savoirs-faires comme les indiens (informatique)

Margaret Thatcher mobilise un corps expéditionnaire composé de 28 000 soldats. Pendant que ce dernier fait route vers l’Atlantique Sud, le gouvernement argentin organise la défense des îles en rassemblant une force de 10 000 hommes. Le 25 avril, les forces britanniques reprennent la Géorgie du Sud et instaurent un blocus maritime et aérien des Malouines. Après plusieurs semaines de combats — essentiellement aériens et maritimes —, les Britanniques débarquent, le 21 mai, dans la baie de San Carlos.

spécificité chinoise, quelles sont les menaces de crise et quelles sont lesréponses (Chapitre III) ? Et comment interviennent les composantes culturelles dans ce développement (Chapitre IV) ? Quoiqu'on dise la Banque Mondiale (fiche 27), les « forces du marché » en Asie sont sérieusement contrôlées par les Etats (fiche 28). Les investissement directs étrangers sont certes autorisés, mais pas à n'importe quelles conditions (notamment en Chine : fiches 30 et 31). Après une période de liens privilégiés

| | |Hongrie : Budapest |Xiamen | | | | | |Mexique : Mexico |Slovaquie : Bratislava |Taïwan : Taipei | | | | | |El Salvador : San Salvador

la consommation dans les pays « relais » de croissance et de la poussée des circuits de distribution moderne.Le deuxième enjeu est de poursuivre les conquêtes géographiques, en investissant à la fois dans les pays du BRIMC (Brésil, Russie, Inde, Mexique, Chine) et en soutenant le développement au bon niveau en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord. Le troisième enjeu est de déployer la Division sur des catégories à fort potentiel de croissance et à forte valeur ajoutée, comme le soin de la peau

se procurer des dollars, puis les échanger contre des roupies. Sauf en Europe où on passe de la couronne suédoise au lev bulgare par l’euro. De rares monnaies restent liées par des taux de change fixes au dollar : le yuan chinois et le dollar de Hong Kong. De micro états, le Salvador et l’Équateur, utilisent le dollar comme monnaie nationale ou émettent leur base monétaire en contrepartie de leurs réserves en dollar. Les Émirats arabes ancrent leur monnaie sur les DTS 8 (Doits de tirage spéciaux

on n'investit plus et la croissance baisse. Ils peuvent également chercher à indexer leur monnaie sur une monnaie étrangère plus stable. C'est ce qu'ont fait de nombreux pays en créant ce que l'on appelle des « Currency Boards ». C'est le cas de Hong-Kong, mais aussi celui de beaucoup de pays qui étaient auparavant derrière le rideau de fer : la Bulgarie, la Bosnie, l'Estonie, la Lituanie… beaucoup de ces pays ont d'ailleurs choisi d'indexer leur monnaie sur le Deutsch mark. La dollarisation n'est

la consommation dans les pays « relais » de croissance et de la poussée des circuits de distribution moderne. Le deuxième enjeu est de poursuivre les conquêtes géographiques, en investissant à la fois dans les pays du BRIMC (Brésil, Russie, Inde, Mexique, Chine) et en soutenant le développement au bon niveau en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord. Le troisième enjeu est de déployer la Division sur des catégories à fort potentiel de croissance et à forte valeur ajoutée, comme le soin de la peau

se procurer des dollars, puis les échanger contre des roupies. Sauf en Europe où on passe de la couronne suédoise au lev bulgare par l’euro. De rares monnaies restent liées par des taux de change fixes au dollar : le yuan chinois et le dollar de Hong Kong. De micro états, le Salvador et l’Équateur, utilisent le dollar comme monnaie nationale ou émettent leur base monétaire en contrepartie de leurs réserves en dollar. Les Émirats arabes ancrent leur monnaie sur les DTS 8 (Doits de tirage spéciaux

c'est l'année noire de Nike, qui est accusé de faire fabriquer ses produits par des sous-traitants employant des enfants. Nike est critiquée pour les conditions de travail des ouvriers dans les usines des sous-traitants de la marque en Asie et au Mexique, souvent employés dans des zones franches de taxe, alors que la plupart des autres marques sportives et naissantes pratiquent le même type de délocalisation afin de rentabiliser au maximum leurs produits. Parmi les sources de ces critiques se trouvent