Flexisécurité

nécessaire adaptation de la règlementation vers plus de «flexisécurité», concept en vogue parmi les gouvernements européens dans le sillage du modèle danois, mais qui reste trop flou et trop vague s’il n’est pas associé à l’énoncé clair de mesures techniques en faveur de plus de flexibilité pour les employeurs et de plus de sécurité pour les employés. Le Maroc n’est ni le Royaume-Uni (paradis de la flexibilité), ni le Danemark (paradis de la flexisécurité). Le défi, pour les acteurs du dialogue social marocain

difficultés.- Donner à la Banque Centrale Européenne la responsabilité explicite de la gestion extérieure de l’UE. * Donner bcq plus de flexibilité aux entreprises pour mettre fin aux contrats mais aussi pour prendre en charge les formations. Flexisécurité.- Accroitre la durée moyenne de travail.- Baisser de façon sensible la fiscalité du travail par rapport à celle du capital. Reforme fiscale essentielle qui doit s’adapter aux besoins de la croissance française. Favoriser l’épargne à long terme

grand. Ca profiterai aux « insiders » personne qualifié, mais la baisse de fluidité du marché du travail nuirai aux « outsiders » personnes peu qualifié, surtout les jeunes. Il a donc un risque de chômage long duré accrue. EX du Danemark : la flexisécurité : Grande flexibilité à l’embauche et au licenciement, indemnisation généreuse, formation et politique de l’emploi très actives. 2) En France il y a de gros problème dans la formation. De fortes inégalités à la formation entre les cadres et personnes

également fixée une date limite à ces contrats qui est de 18 mois, renouvellement compris. En cas de non respect des conditions du contrat, le salarié, comme l'employeur, pourra faire appel au conseil des Prud'Hommes. Ce sujet illustre le concept de flexisécurité (flexibilité pour l'employeur et sécurité pour le salarié) puisque l'employeur peut augmenter ou diminuer ses charges salariales en fonction des besoins, en résulte donc une plus grande fléxibilité pour ceux-ci, de plus en cas de rupture anticipée

répondre à cette problématique, nous aborderons dans un premier temps la flexibilité du temps de travail, un concept favorisant l'économie. Puis, nous étudierons en quoi celle-ci comporte des risques sociaux et économiques. Enfin, nous verrons que la flexisecurité peut être un compromis envisageable (exemple Danemark). 1) La flexibilité du temps de travail se divise en plusieurs en plusieurs catégories qui ont toutes pour buts d’améliorer la compétitive française et de réduire le chômage. Un récent

motivation, l’investissement, lé dévouement de ces salariés de passage ne saurait être égal à des travailleurs permanant pour des raisons psychologiques évidentes. Pour répondre à ces effets pervers, on montre en exemple le modèle danois de « flexisécurité » ou « flexicurité ». Ce dernier associe une politique de protection sociale généreuse et une offre de formation abondante et gratuite. Entre deux « missions », le salarié est ainsi assuré de bénéficier à 90% de ses revenus du travail en attendant

compétitivité-emploi vont être mit en place les partenaires sociaux veulent négocier des mécanismes temporaires et négocier la flexibilité, la sécurité des parcours professionnels et l’amélioration des conditions de travail va être remit en cause, la « flexisécurité » qui se situe dans les recommandations du Conseil de l’Union Européenne. Conclusion : Les politiques de l'emploi renvoient à l'ensemble des mesures visant à agir sur l'emploi. Leur objectif le plus courant est la réduction du chômage et la recherche

Paul Laurence a établi un lien entre la structure de l’entreprise et son environnement. L’environnement complexe, mondial, instable,…l’entreprise doit s’adapté et être réactive. Cette réactivité et flexibilité nécessite des restructurations. La flexisécurité qualifie l’adaptabilité de l’entreprise par rapport à son environnement, il faut qu’elle soit flexible, qu’elle s’adapte et qu’elle intègre la notion de sécurité. On ne touche pas à l’effectif mais les postes peuvent être changés et répartis différemment

loisirs, l’éducation quant à eux augmente peu : + 1,8% et 0,3% Les solutions : L'accord interprofessionnel du 13 janvier 2013, tout d'abord. Parce qu'il ouvre la voie à des accords compétitivité-emploi dans les entreprises et à une flexisécurité à la française en rationalisant les procédures de licenciements collectifs en échange de garanties de formation et de mobilité pour les salariés et les chômeurs. Le CICE, crédit d'impôt compétitivité emploi, est aussi une très bonne chose, même

D’autre part, il peut y avoir une incitation à l’activité telle que le RSA (revenu de solidarité active) ou un accroissement de la flexibilité du marché du travail notamment au niveau des salaires, ce qui faciliterait les licenciements (comme la flexisécurité au Danemark). Cependant, une baisse du coût du travail peut conduire à une précarisation de l’emploi. Keynes pose donc une limite à ce raisonnement, la réduction du coût du travail est-elle compatible avec le maintien du pouvoir d’acaht du ménage