Existence

l’enchainement des phénomènes donc lorsque l’action est prise dans le monde des phénomènes, elle n’est pas libre. Cependant, l’homme échappe à ce déterminisme parce qu’il possède un moi nouménal. Ainsi, je dois regarder toute la succession de mon existence sensible uniquement comme la conséquence de ma causalité en tant que noumen ce qui veut dire que mon caractère sensible est pris dans l’enchainement des phénomènes mais il dérive de mon caractère intelligible que j’ai librement choisi donc la volonté

c’est choisir. Même quand il ne choisit pas, il choisit tout de même de ne pas choisir. Il croit que l’existence précède l’essence, ce qui signifie qu’il n’y a pas de déterminisme existant. L’homme naît et ensuite crée sa propre essence, sa propre existence. Il n’est que la somme de ses actes, de ses projets. Ses actes donne un sens à sa vie et ainsi il crée ses propres valeurs. Il choisit d’être ce qu’il est. L’homme engage toute l’humanité en faisant un choix. Mais le choix individuel de l’homme doit

(Voir comment ils utilisent la chaussure et le chapeau, ils les inspectent comme s’ils y cherchaient des réponses, car seuls les objets du quotidien semblent avoir un sens, tel l’arbre qui vit, ils sont concrets et palpables, ils ont une réelle existence, plus que les personnages eux-mêmes.) - Des solutions dérisoires ou la pendaison manquée : Les réponses apportées à leurs angoisses semblent donc dérisoires. Lorsqu’Estragon demande : « Si on le laissait tomber ? », son interrogation familière exprime

Heidegger lorsqu’il écrit ; « des qu’un homme nait, il est assez vieux pour mourir ». III/ La puissance de l’homme sur l’espace L’homme peut agir sur l’espace quand bien même il n’a pas prise sur le temps. Le temps se confond a mon existence/ L’espace apparait comme de l’extériorité. Pour Gabriel Marcel (existentialiste) : « je suis le temps et j’ai l’espace ». Le temps est un mystère existentiel, alors que l’espace est donnée objective. L’espace est ce qui est devant nous sinon devant

de me rendre compte de mon existence, de savoir que j'existe, je me connais ,je sais ce que je suis, je sais quelles sont mes réactions dans telle ou telle situation... moi seule dispose d’information sur ma vie, moi seule l’ai vécue. ce vécu caractérise ma manière unique d’être au monde. pour descartes la conscience de l'existence des autres est ma premiere certitude, mais me rendre compte de l'existence des autres c'est dabord me rendre compte de ma propre existence. Faire la connaissance dautrui

personnel et de la spiritualité. N’oublions pas, cependant, que le simple fait de se poser cette question est l’apanage des riches, ou du moins de ceux qui n’ont plus à lutter pour leur survie. Les pauvres ne s’interrogent pas sur le sens de leur existence. Ils tentent simplement de survivre au jour le jour. Mais ce qui les aide à vivre, autant que la nourriture qu’ils cherchent quotidiennement, ce sont les liens familiaux, amicaux, tribaux, communautaires. L’homme ne peut pas vivre sans "liens

population a 'tre sans cesse en d'placement, stress'e et 'nerv'e'; puis, au fil du temps et de la fatigue accumul'e, les gens se font in'luctablement ' ce mode de vie, astreignant mais pas moins lassant et en oublient leur s'r'nit' pass'e. Leur existence court et le lieu qui les entoure les opprime, en allant jusqu'' ronger peu ' peu ce qui les emplissait, ne laissant qu'un grand vide, nu. Leur espace vital, o' ils aimaient tant se laisser vivre se voit rong'; tout est tr's pris' et la libert' a

réalité des choses. D’abord, on ne peut nier que l’amour malgré toutes ses rêveries et ses fantaisies joue un rôle important dans la vie de l’individu en la rendant plus riche, plus agréable voire plus saine car une existence sans sentiments pour la réchauffer est une existence maigre, sèche et froide et comme le dit Alfred de Musset : « Il y a de la malchance à ne pas être aimé, mais il y a du malheur à ne point aimer ». En plus, et contrairement au proverbe allemand déjà cité, l’amour nous

voyons que l’instant est suspendu entre deux néant il y a donc un néant passé et un néant futur donc ce néant inconsciemment ou consciemment nous lui baptisons donc une existence. Si l’espace ne contenait aucunes étoiles et planètes le tps n’existerai donc pas et donc la réalité non plus. Une fois ce temps marqué il aura donc son existence et cet instant passé sera donc pour nous un souvenir et il sera donc dans nos pensées un témoignage de la réalité ce qui nous fait basculer sur le fait que la réalité

jugeons qu'elle est bonne parce que nous la désirons. Spinoza récuse par cette analyse l'indépendance de la faculté de juger (l'entendement) par rapport au désir et la liberté de la volonté. L'homme est désir, conatus, effort pour déployer son existence. Son essence est de désirer c'est-à-dire de vouloir et de juger bon ce qu'il désire. Chaque essence ou nature est singulière. Il n'y a pas de désirable en soi, il n'y a que du désirable pour chacun de nous. L'éthique spinoziste disqualifie les notions