Existence

pas à nous contacter pour nous faire part de vos difficultés et de l'évolution de votre réflexion. Sartre, L'Etre et le néant « Je choisis non mon être, mais manière d’être. » Contre tous ceux qui nient la liberté sous prétexte que notre existence est déterminée par toute sorte de causes que nous ne maîtrisons pas, en un mot contre ceux qui invoquent le déterminisme pour mettre en cause l’existence de la liberté, Sartre fait remarquer que la liberté ne prend précisément de consistance qu’au

permettant au sujet de se connaitre et de connaitre la réalité dans laquelle il se trouve. I) Regard d’autrui Jeux de scène du miroir entre Estelle et Inès : Estelle vit mal son isolement au sein d’une salle sans un miroir, elle déclare douter de son existence lorsqu’elle ne peut se contempler. Superficielle, elle cherche sans arrêt le regard de Garcin qui ne lui accorde aucune importance. Inès pleinement consciente d’elle-même lui propose son aide. Or son homosexualité, entrave ses relations car Estelle

avait été voilé par l'ignorance, de même que la lune et les étoiles sont cachées par les nuages d'orage. Obscurci par des vagues incessantes de pensées trompeuses, l'esprit avait à tort divisé la réalité en sujet et objet, soi et autrui, existence et non-existence, naissance et mort, et de ces distinctions étaient nées des vues erronées. Il était dans la prison des sensations, du désir, de la saisie dualiste et du devenir. La souffrance de la naissance, de la vieillesse, de la maladie et de la mort

plus penser à quelque chose qui nous afflige, de nous détourner d’une réalité déplaisante. Cette réalité déplaisante n’est pas un mal circonstanciel, par exemple un deuil, un échec sentimental ou professionnel. C’est un malheur constitutif de notre existence. Notre condition est celle d’un être faible, mortel, exposé à la maladie, aux affres de la solitude, à de multiples soucis et de surcroît, privé du seul être qui pourrait le combler, entendons privé de Dieu. C’est donc celle d’un être « misérable

réussite (…) elle orne la vie, la complique, l’enrichit, est par son existence même une protestation contre l’uniformité démocratique’ pp.304-309 : (L’Ancien régime vit toujours)… mais en sursis p.305 : ‘la persistance vire à la survivance’ La noblesse longtemps exilée a été privée de toute chance d’adaptation à la France nouvelle. p.306 : elle se condamne elle-même, ‘consciente qu’elle est devenue de l’arbitraire d’une existence factice’ p.307 : la religion se laisse annexer et défigurer par la

La poésie nous accompagne dès notre plus jeune âge ; à la période de notre existence où l’insouciance et l’innocence nous permettent de savourer la joie de vivre en ignorant les difficultés de la vie, un premier apprentissage de la poésie s’offre à nous : on nous demande d’apprendre et de réciter des poèmes écrits par les plus célèbres auteurs. Ses textes laissent libre cours à l’imagination de l’enfant qui interprète et représente l’image mentale qu’ils créent en lui. Quel est alors le but de l’écriture

vieillir et elle se fait congeler pour être réveillé quand la médecine aura évolué. Quête d’identité : Tout au long du livre, Adam se chercher lui-même. Au début il est vide de vie et veut se tuer, puis Zeus-Peter le sauve et lui promet une meilleure existence en étant un objet sans penser. Il réalise qu’il veut vivre lorsqu’il rencontre Hannibal et Fiona et redevenir libre. Individualisme : Zeus-Peter est très égocentrique, il ne veut que se faire parler de lui et de son ‹‹art››, allant même à tuer et

Ensuite, comme on l’a remarqué en introduction, le monde l’esprit n’est pas moins réel que le monde matériel : les idées, sentiments, etc. que l’artiste expriment dans ses œuvres font partie de la réalité ; simplement, l’art permet de donner une existence sensible, de faire apparaître cette part de la réalité qui, d’abord spirituelle, ne se voit pas. En bref, il transforme les idées en choses matérielles, et en ce sens, leur donnent de la réalité. Le beau est « la manifestation sensible de l’Idée »

de vie psychologique propre et ne posséde pas le sentiment de son individualité. C'est pas les soins qu'il recoit que l'enfant commence à prendre conscience de lui meme. Il apprend alors que pour etre, il est totalement dépendant d'autrui, de son existence, de son jugement, de son approbation. Sartre en donne des exemples concrets. Tout ce qui semble faire un caractére (etre jaloux), tout ce qui semble faire une qualité qu'on se serait appropriée (etre intelligent), ou un deffaut qu'on revendique

contraire, d’autres philosophes comme le philosophe contemporain Comte-Sponville, pensent que la lucidité peut nous aider à accéder au bonheur en maîtrisant nos désirs. Selon celui-ci, la sagesse consisterait ainsi à être lucide vis-à-vis de notre existence et à renoncer à nos rêves. Cela n’est pas sans rappeler l’épicurisme. En effet, Epicure distingue différents désirs à maîtriser si l’on veut atteindre le bonheur, on peut voir qu’il distingue les besoins naturels et nécessaires (manger), aux besoins