Existence

transcende l’immédiateté et qu’elle la juge. Cette existence c’est celle de l’esthéticien au sens de Kierkegaard, c'est-à-dire qui se contente de sensations. Evidemment l’esthéticien nie tout ce qui est du côté du général. Son existence n’a aucune unité. Elle apparaît comme une somme de moment disparate dont la variété même fait la valeur. Dans Les Caprices de Marianne de Musset, le jouisseur Octavio ne cesse de ricaner de Coelo qui veut inscrire son existence dans la continuité. Ottavio ne comprend pas

un poids individuel mais aussi un poids pour le reste de l’humanité. 3- l’autre, source de conflit : L’autre, dans la théorie sartrienne, induit une situation conflictuelle, menaçante. Il est considéré comme un danger car par son existence, il peut remettre en cause les actes qui me fondent car chacun de nous est un être intellectuel qui lutte pour que sa liberté s’incarne dans des actes qui construisent son essence, la pensée de l’autre, différente quant à moi, devient jugement de

La lucidité rend-elle pessimiste ? La conscience est un état d'esprit qui se présente comme un savoir, une connaissance. Elle se caractérise par le savoir, la certitude d'une existence ; la nôtre ou celle du monde entier. Est consciente toute personne ayant compris qu'elle existe et qu'elle fait partie de ce monde. Elle peut donc être étudiée sous différentes formes, en interactions avec différents éléments. Nous pouvons étudier la conscience en tant que connaissance de soi-même. Mais nous pouvons

qu'elle engendre, elle est omniprésente et éternelle. Elle contient tout, pas un atome n'existe hors d'elle.... Pour te connaître, il n'est nul besoin d'aide ; il n'existe pas d'obstacle non plus. Tout est submergé par le flot surabondant de Ton existence... La Réalité infinie, en sa plénitude, mais sans jamais sortir d'elle-même, irradie le monde. Mais pourquoi ne la discernons-nous pas comme tel et sommes-nous soumis à l'illusion, à l'angoisse et aux douleurs, asservis au corps et à l'ego ? ...Siva

altruiste, ni aucune morale. Comme un animal, son but est celui de son bien-être : " Dans sa logique brutale de paysan, il trouvait ce moyen excellent et naturel. " En effet, " il poussait seulement un homme pour se mettre à sa place ". S’il rêve à une existence " de paresseux " et de jouissances, la réalité est pour le moment bien loin de le satisfaire. Il vit misérablement et est désormais empêché de voir Thérèse seul à seule, et ces deux paramètres surtout, vont le pousser à se décider en faveur du crime

verbe le plus intense et le plus fortement connoté de ce poème : il n’évoque plus seulement cette faible atténuation de la perception du décor que l’on retrouve dans divers termes du poème, mais il implique un anéantissement total qui mène à la non-existence, une disparition complète de la vision. Enfin, « cette comédie » dénote le théâtre, déjà évoqué plus haut. Il évoque le dédain, déjà présent dans le ton froid et distant du poète par rapport au texte et accentué par le démonstratif à valeur déictique

d’être publiée. Les efforts de promotion devront être fourmis aussi bien pour la littérature écrite en langues étrangères - principalement le français chez nous - et pour celle en langues nationales. LA QUALITE DES ŒUVRES La littérature, depuis son existence, est régie par des normes à portée universelle. L’écrivain - quel qu’il soit de par le monde - doit s’y conformer. C’est avec dégoût que j’ai lu, dans la littérature congolaise écrite, certains poèmes que je trouve absolument aberrants. Il ne s’agit

river les êtres... L'irrationnel, la nostalgie humaine et l'absurde qui surgit de leur tête-à-tête, voilà les trois personnages du drame qui doit nécessairement finir avec toute la logique dont une existence est capable ». Correction : Abîme infranchissable envers le monde. Sentiments d’une existence injustifiée. L’absurde est un non-sens. Quoi qu’on fasse on retombe. L’Homme absurde c’est un homme qui sait que quoi qu’il fasse il meurt, mais il multiplie les petits bonheurs pour oublier un moment

connaissance: elle est plutôt le moyen par lequel je me donne, je me construis une identité. En tant que connaissance, elle ne peut donc être qu'en retard, en décalage perpétuel par rapport à mon effort sans cesse repris pour donner un sens cohérent à mon existence. De plus, pour que l'image que je me forme de moi-même soit cohérente, il est parfois nécessaire que je refoule certains aspects de mon passé qui seraient en désaccord avec cette image que j'ai de moi-même.

de rôle ou on peut crée sont propre personnage haut en couleur. On rêve qui lui arrive de grand aventure. Ce personnage correspond souvent a que long souhait être en réalité . Et ces a travers cette être idéalisé qu'on échappe a notre propre existence banal et sans intérêt. Parfois les rêves permette la réalisation de désirs refoulé.Comme la dit Freud, « Le rêve est la satisfaction d'un désir ». Le rêve nous permet donc de réalisé nos désirs les plus intime. Peut importe ce que sais. Il peut