Enthalpie de réaction

isobare, ∆H = QP = C P dT . Pour un gaz parfait, H = U + PV = U (T ) + nRT donc H (T ) . On en déduit la 2ème loi de Joule : l’enthalpie d’un gaz parfait ne dépend que de la température et dH = C P dT soit ∆H = C P ∆T . Transformation monobare – Enthalpie En dérivant H (T ) = U (T ) + nRT par rapport à la température on obtient : dH d U = + nR dT dT C P = CV + nR Soit C P − CV = nR appelée relation de Mayer. C γnR nR En posant γ = P > 1 , on obtient également CV = et C P = (relations à connaître)

sulfureux 12 I.3.3 Réglementations 14 CHAPITRE II : MODELISATION ET SIMULATION DU CONVERTISSEUR SO2/SO3 II.1. Etude bibliographique 19 II.1.1 Les réacteurs catalytiques 19 II.1.2 Etude thermodynamique de la réaction 20 II.1.3 Etude cinétique de la réaction 23 II.1.4 Méthode de résolution 23 II.1.5 Modélisation 24 II.1.6 Calcul des pertes de charge 33 II.2. Modélisation des lits catalytiques 34 II.2.1 Modèle cinétique 34 II.2.2 Modélisation du 1er lit 35

est variable (de 822 a 955 m). -5- Illustration 2: Site de Grand'Maison Avantages et inconvénients. Avantages Inconvénients Technologie éprouvée Limitation des sites adaptés (nécessité d'un dénivelé) Flexibilité et délai de réaction rapide (quelques Coût d'investissement croissant secondes à quelques minutes) raréfaction des sites disponibles avec la Durée de vie très importante (>40 ans) Empreinte environnementale forte: modification des paysages, impact sur

expliquerons cette méthode avec ce dernier gaz, mais elle peut aussi se faire avec de l’éthane ou du GPL. Il s’agit d’une réaction avec de la vapeur d’eau à environ 900°C pour produire du dihydrogène et du dioxyde de carbone. La réaction a lieu en deux étapes: Le bilan global de la réaction est: Le CO2 et le H2 sont ensuite séparés et on obtient le produit voulu. Cette réaction est endothermique (d’autant plus qu’il faut que l’eau soit chaude) et produit un gaz responsable de l’effet de serre

BIBLIOGRAPHIQUES…………………………………………….. 55 LISTE DES ABREVIATIONS BARR : Bacille acido-alcoolo-résistant CDC : Centers of Disease Control CMI : Concentration minimale inhibitrice OMS : Organisation Mondiale de la Santé PCR : Polymerase chain reaction PVD : Pays en voie de développement SIDA : Syndrome immunodéficitaire acquis UB : Ulcère de Buruli VIH : Virus de l’immuno deficience humaine WHO : World Health Organization LISTE DES FIGURES Figure 1 : Carte d’Afrique montrant la

Pour tracer les différentes enthalpies libres standard de formation, qui s’écrivent : ∆fG° = ∆fH° – T ∆fS° On a supposé que l’enthalpie standard de formation ∆fH° et que l’entropie standard de formation ∆fS° sont indépendants de la température. A.1.1.2 La courbe relative au CO2(g) est celle qui ne fait pas intervenir de changement d’état c'est-à-dire pas de changement de pente. La courbe 1 représente l’enthalpie libre standard de formation de CO2(g). A.1.1.3 La réaction de formation de l’oxyde de

traite des causes d'altération des différentes méthodes des de que conservation de celles-ci. !l traite également de la cadence des produits, laquelle permettra de dimensionner les entrepôts .. Un calcul des besoins de froid à partir des enthalpies entre les états initiaux et finaux des processus de réfrigérateur est faire dans le chapitre Il. Une description detaillèe des systèmes de production et une ~ ". ~ ~ 1 classification des équipements existants sont faites dans le chapitre

Nmn - mnyau > 0. E correspond a l’énergie libérée au cours de la réaction : Zprotons + Nneutrons  noyau. C’est donc l’énergie qu’il faut fournir au noyau pour le decomposer en A nucleons. 5 Figure 1. Diagramme d’Aston (stabilisation du noyau par nucléon en fonction du nombre de masse). Cette figure montre un maximum de stabilité pour les atomes de nombre de masse voisins de 100 et laisse prevoir deux deux types de réactions nucléaires : Exercices d’application : Ex. 1 – La masse du noyau

(nano vient du grec νανός qui signifie nain) toute particule solide dont le diamètre est inférieur à 100 nanomètres. Leurs origines sont diverses. On peut ainsi distinguer celles d’origine naturelle et anthropique qui proviennent de combustion, de réactions « gaz solide », de condensation d'une vapeur et d'évaporation suite à une pulvérisation d'une solution liquide d'un sel. Celles d'origine anthropique sont souvent considérées comme des déchets telles les nanoparticules provenant de la combustion

comme carburant dans un moteur diesel mais avec incorporation de gazole. - l'EMHV (ester méthylique d'huile végétale), qui est obtenu en faisant réagir de l'huile de colza ou de tournesol avec de l'alcool méthylique. On utilise pour cela une réaction portant le nom d'estérification et qui se présente schématiquement comme cela :  Acide + alcool => ester + eau      En l'occurrence pour l'EHMV il s'agit d'une transestérification et en bout de