Eloge Paradoxal Guerre

des fictions, façonner nos rêves, créer des produits industriels. Finalement, l’imagination a envahi tous les domaines. Analyse du document 2 Ce deuxième document est un extrait du Salon de 1859, écrit par Baudelaire. Le poète y procède à un éloge très célèbre de l’imagination, présentée comme la reine des facultés. Le passage est composé de trois paragraphes sur lesquels nous nous appuierons pour l’analyse détaillée. Paragraphe 1 Trois idées dominent : •  éfinition de l’imagination : son

rejeter celui qui n’appartient pas au même groupe culturel que nous est paradoxal car on considère quelqu’un comme sauvage quand on est soi-même sauvage. Explication à partir de la notion d’humanité… pour beaucoup de peuples ( primitifs), leur groupe constitue l’humanité donc tout le reste n’est « pas humain ». 4) mais même les peuples pourtant plus développés ont agi de la même façon…référence à la seconde guerre mondiale et au massacre des indiens par les espagnols. ( des êtres apparemment

malheur aussi intense. Opposition matériel/ intellectuel, population uniquement matérielle aucune occupation sur le spirituel ou le psychologique. Très raisonnablement => ironique, prisonnier du quotidien. Cet incipit parait quelque peu paradoxal dans la mesure où la description d’Oran et le portrait de ses habitants semble peu susceptible d’attirer et de retenir le lecteur. L’antithèse, cependant, structure le texte car les événements dont le narrateur annonce le récit en suivant chronologiquement

ironique. → Et il se sert de manière paradoxale de l’image du théâtre (« public », « théâtre ») pour lui conseiller une comédie sociale subtile qui consiste à feindre de ne pas vouloir participer à la comédie sociale, d’avoir trop de travail pour cela : il lui faut donc « se cacher au public, éviter le théâtre ». → Enfin, il termine sa remarque de manière encore plus brillante en évoquant deux grands avocats qui n’ont pas besoin de toute cette mise en scène paradoxale, qui peuvent aller dans le monde

malheurs au cercueil M’a donné tant de gratitude Que je ne puis sans déplaisir Permettre que la servitude Prenne une heure de mon loisir Ici on constate une antithèse entre « sans déplaisir » et « servitude ». Le poète veut exprimer le plaisir paradoxal de la servitude dans l’amour. Cette antithèse exprime la contradiction du sentiment amoureux et l’instabilité. Au niveau des rimes, notons 2 rimes suivies, du type AA et 4 rimes du type ABAB. Une autre façon d’exprimer les contraires et le mouvement

de la guerre sont liés. Champ sémantique de la pourriture jusqu'à celle de la parole (dents abîmées) vs dents blanches des vivants (33,239,86). Monde comme amour et langage : puzzle à reconstituer. Textes qui reflètent l'époque et la dépasse aussi ! « La crosse en l'air » parle des républicains espagnols contre les nationalistes. « Le Dîner de têtes » est contre le colonialisme. L'enfant évadé narre un véritable fait divers. « Barbara » parle des bombardements de Brest alors que la guerre n'est

qui s’entrecroisent et peuvent rester inachevées (Matamore retrouvé après plusieurs jours). L’histoire principale est enlacée par des histoires secondaires. Cette inconstance de la diégèse est renforcée par l’inconstance amoureuse des personnages (éloge de l’infidélité par Clindor : V, 3). Cette instabilité confine même au tourbillon sur la fin de la pièce lorsque Pridamant et le lecteur avec lui ne savent plus ce qui ressort de la réalité ou de la fiction. Transgression de la règle des trois unités

tirée du héro antique qui est exceptionnel par ses exploits = héro se surpasse par force physique et spirituelle .Courtoisie ou fin'amor = codes en matière d'amour. Comment le héro mythique est-il mis en scène ici? Paragraphe 1= champs lexi de la guerre: 'heaume, haubert armer, bataille' = monde médiéval, registre épique, exploit guerrier. Similitude entre mythe de Thésé et T et I + Minautore et Morholt+ héro antique et médiéval. Enumération montre pitié et peur = 2 sentiments que provoque tragédie

ce qu’ils sont. Nombreux sont les obstacles qui m’en empêchent” (Sextus Empiricus, Contre les mathématiciens, cf Les Présocratiques, Pléiade, p. 989). Cette grandeur de l’homme -unique estimateur, juge de toutes choses- est l’effet paradoxal de sa misère. Le plus bel exposé de la pensée de Protagoras nous vient ironiquement de Platon lui-même : Protagoras, 320 c-328 d. L’homme étant pour lui-même la suprême énigme, le rationalisme protagoréen ne peut penser l’origine de l’humanité que

mouvement, a produits : tandis qu’à la vérité ce sont ceux que nous avons altérés par notre artifice et détournés de l’ordre commun, que nous devrions appeler plutôt sauvages… […] Ils ont leurs guerres contre les peuples qui sont au delà de leurs montagnes, plus avant dans la terre ferme, guerres au cours desquelles ils combattent tout nu, n’ayant d’autres armes que des arcs ou des épées de bois effilées par le bout, à la façon des lames taillées de nos épieux. C’est une chose étonnante que la