Egalite Face Aux Risque Naturels

contemporains, de l'Angleterre à la Russie, qu'il y a une communauté de civilisation en Europe. Le Code ferait partie d'un patrimoine commun. Au XVIIème et XVIIIème siècle, pensée commune qu'il existe un Droit Naturel, universel et intemporel, et le Code Civil apparait comme Droit Naturel. cf. Napoléon Bonaparte: "Ce qui est bon pour le peuple français est bon pour les autres peuples". Cette citation n'est pas à prendre dans un sens nationaliste mais universaliste. Depuis Avril 1792, France

affaire de conviction. Il existe donc plusieurs types de légitimité. La légitimité démocratique est liée à la modernité : elle incarne les idées de liberté et d’égalité de droit. La légitimité démocratique postule que les hommes soient égaux en droit, égalité politique d'exercer son droit. L’indépendance américaine de 1776, conception de la démocratie et constitution américaine de 1787, compléter par la DDHC de 1789. Les régimes monarchiques est une légitimité traditionnelle en vertu de ce principe les

particulier : j’échange ma force, ma liberté naturelle contre la sécurité. C’est dans mon intérêt (cela me permet de survivre) et dans l’intérêt de l’État (cela lui permet de survivre c'est-à-dire de ne pas se dissoudre dans des guerres incessantes). Rousseau – Emile, III « Nulle société ne peut exister sans échange, nul échange sans mesure commune et nulle mesure commune sans égalité. Ainsi, toute société a pour première loi quelque égalité conventionnelle, soit dans les hommes, soit dans

même origine géographique, une même langue, une même religion, des mêmes mœurs, les mêmes coutumes… Ce genre de thèse va donner naissance à des thèses nationalistes, racistes qui va se développer à la fin du XXème siècle en France et en Allemagne. Face à Fichte, un français : Ernest Renan. Il écrivit : Qu’est-ce qu’une nation ?. Selon lui les facteurs objectifs ne sont pas les plus importants : c’est la volonté des hommes de vivre ensemble, de partager des épreuves, un passé, un futur ensemble.

notion d’état de nature chez Hobbes et chez Locke et la manière dont ces conceptions influent sur leur théorie de la société politique. L’état de nature : un postulat nécessaire mais risqué ? Alors que le monde est bouleversé par les Grandes découvertes des XVème et XVIème siècle qui ont mis les européens face à des sociétés indigènes vivant de manière archaïque ; alors que la guerre civile fait rage en Angleterre ; alors que les échanges et le commerce entre nations se développent, des théoriciens

premier de nos gestes face aux objets naturels. Nous pouvons ainsi nous demander si les choses nous appartiennent, et nous appartiennent seulement, lorsque nous les avons digérées, autrement dit lorsque nous arrivons au résultat final de l’acte d’appropriation. Ne pourrait-ce pas être le cas, déjà, lorsque nous les avons mangées, ou lorsque nous les avons fait bouillir, lorsque nous les avons ramenées chez nous ou lorsque nous les avons ramassées ? La question, posée ainsi, risque bien de ne pas trouver

sont des états contraires. Si l’un des contraires s’entend de plusieurs manières, l’autre s’entend de plusieurs manières également. Or la justice pour Aristote peut s’entendre à la fois comme légalité, c’est à dire respect de la loi, et comme égalité. En conséquence l’injustice renverra à la fois à l’illégal et à l’inégal. « Sont injustes et l’homme qui transgresse la loi et celui qui se montre cupide et manque à l’égalité ». Seront considérés comme injustes l’acte qui brise l’ordre de la loi

ménages de faire face financièrement aux conséquences des risques sociaux, c'est-à-dire aux situations pouvant provoquer une baisse des ressources ou une hausse des dépenses (vieillesse, maladie, invalidité, chômage, charges de famille,...).La protection sociale a donc à la fois des objectifs matériels (permettre aux individus de survivre quand ils sont malades, ou âgés, ou chargés de famille nombreuses, par exemple) et des objectifs sociaux (réduire l'inégalité devant les risques de la vie et assurer

faire toucher du doigt les modifications capitales intervenues depuis un demi-siècle et surtout depuis 15 ans , dans quelques chapitres importants : - celui du nom de famille, - celui du mariage et du divorce, - celui de la filiation légitime et naturelle, - celui de l'autorité parentale, - celui des successions et des libéralités, - et enfin la cerise sur le gâteau celui tout à fait nouveau et à la mode du pacte civil de solidarité (loi du 15 novembre 1999) venant en parallèle et en complément de

enjeux humains, sociaux et écologiques de la croissance. La conception dominante de la croissance économique se réduit souvent à ne prendre en compte que les biens et services produits, en négligeant d’autres dimensions : l’état du patrimoine naturel, la préservation de la santé humaine, la qualité de vie, etc. Cela se vérifie à travers l’instrument même de mesure de la croissance qui sous-estime les activités non marchandes ou souterraines, la production immatérielle, les conséquences sociales