Ecotaxe

réformes des sources de financement de la protection : l’objectif est de minorer les prélèvements sur les salaires (en partie responsables de la hausse du chômage) en élargissant l’assiette des ressources de la protection sociale (CSG en France, écotaxe en Allemagne) ; - Une activation des minima sociaux : il s’agit de prendre en charge dans la logique du workfare les nombreux exclus, en leur accordant un revenu minimum, tout en augmentant les contreparties exigées des allocataires (activités

via le fret fluvial ou le ferroutage*, et il s’agit de repenser en amont toute la nécessité et la pertinence de nombreux déplacements de marchandises. L'objectif de la France est de développer les autoroutes maritimes et ferroviaires, d’imposer une écotaxe aux poids lourds, etc. Les déplacements doivent avant tout être orientés vers la réduction de l’utilisation de l’automobile et de l’avion, et limités à leur stricte nécessité le cas échéant. Le matériel des entreprises de transport et le Développement

entreprises et les particuliers. Pour les inciter à alimenter ces flux retours, les pouvoirs publics de certains pays, comme la France, ont déjà instauré des taxes : taxe ADEME (sur les produits d'emballages, payée par les entreprises), écotaxe (sur les produits électro-ménagers, payée par ceux qui les achètent). Dans ces deux cas, ce sont les entreprises qui jouent le rôle du percepteur et qui reversent à l'état, qu'elles n'aient ou qu'elles n'aient pas répercuté le coût de la taxe à ses

incitatif et si elle repose sur des activités clairement définies. Elle devrait en plus permettre un ajustement automatique des activités polluantes en minimisant le coût social net. Mais, il y a deux problèmes, l'assiette et le taux de la taxe. Une écotaxe devrait être assise sur les dommages environnementaux causés par les agents économiques. Mais certaines pollutions comme celle de l'eau est difficilement évaluable. Il y a aussi le problème de la fixation du taux. Soit on cherche à augmenter les ressources

d’attirer les entreprises dans ce sens : ¤ Les labels : qui certifient que les produits répondent aux normes et qui favorisent le développement durable dans les organisations. ¤ Les écotaxes : c’est une taxe qui reporte sur celui qui pollue le coût de la pollution. Elle est sensée responsabiliser les entreprises. ¤ Il a été adopté dans le cadre du protocole de Kyoto en 1997, le principe du droit à polluer

calcul de production. A court terme, le producteur est incité à moins produire, donc ça réduit les productions polluantes. A moyen et long terme, le producteur peut être encouragé à utiliser des techniques de pollution plus propres pour minimiser son écotaxe. En même temps, le côté positif est que c'est une nouvelle recette fiscale pour l'Etat, qu'il peut utiliser pour avoir une politique environnementale et réparer les dommages causés. Il peut aussi affecter ces recettes nouvelles à la réduction de la

écologiques Considérer la satisfaction du consommateur comme tel n’est pas le but du système économique mais plutôt améliorer la qualité de vie des biens et services destinés aux consommateurs. Ceci a une influence sur de nombreuses industries (ex : écotaxes). Prise de conscience de la rareté des ressources naturelles, du coût croissant de l’énergie, du degré accru de la pollution, du risque de destruction de l’environnement.  Montée en puissance de la grande distribution et application des grands

en vertu du principe du pollueur-payeur, qui fait assumer la charge financière de la prévention, de la réduction et de la lutte contre la pollution au pollueur. Dans cette optique, les équipements et produits polluants sont plus taxés (par des écotaxes) que des produits dits écologiques. Une redevance pour pollutions diffuses est par exemple versées par les distributeurs de pesticides et de semences pré-enrobées. L'assiette de cette redevance est basée sur une liste de substances actualisée chaque

écologique) en dégonflant massivement les ''consommations intermédiaires'', entendues au sens large – transports, énergie, emballages, publicité – sans porter atteinte a la consommation finale. 2) Intégrer dans les coûts de transport – par des écotaxes appropriées – les nuisances engendrées par cette activité. 3) Relocaliser les activités. Notamment en remettant en question le volume considérable des déplacements d'hommes et de marchandises sur la planète. 4) Restaurer l'agriculture paysanne

raréfaction, comme par exemple les terres rares ou le tungstène qui sont paradoxalement de plus en plus demandés par l'industrie, en raison notamment de l’expansion des nouvelles technologies. Ce modèle pourrait être favorisé par le développement des écotaxes, l'augmentation des coûts de l'énergie et des matières premières. Même s’il n’est pas encore connu de tous, ce n’est pas un phénomène nouveau, certains pays comme le Danemark l’expérimentent depuis plus de 30 ans. Ce modèle alternatif est difficile