Dom Juan Athée

philosophie de Locke, a peut-être donné aux convives de Frédéric II l’idée d’une « encyclopédie de la raison » dont l’orientation antireligieuse se devine aisément au regard des articles dont Voltaire entreprend la rédaction : « Abraham », « Âme », « Athée », « Baptême », « Julien », « Moïse » 3. Mais les relations entre Voltaire et le roi se gâtent peu après et le projet reste en l’état. Il ne sera repris que huit ans plus tard. Le premier signe de vie du Dictionnaire philosophique date de 1760. Le

personnelle. Tartuffe : au lieu de se taire, Molière provoque ses ennemis « dévots » en les attaquant directement. La pièce est aussitôt interdite, à tel point que le texte original a disparu. Dom Juan : Pièce à machines. Molière affiche sa soumission en reprenant une intrigue édifiante (le méchant athée puni à la fin par intervention divine), mais l’interprétation édifiante est déjouée par le duo farcesque (maître + valet) réintroduit de manière complexe : le valet cette fois ne triomphe pas, alors

était soumis à un pouvoir radical, voire très radical où la morale religieuse et les bienséances dominent et où les libertins étaient très mal vus, qui se situe entre la période de Théophile qui représente la naissance du libertinage et la période de Dom Juan, qui est la caricature de la société de la Cour sous Louis XVI. Mais ce régime politique extrêmement radical n’a pas empêché à la société libertine de survivre et de perdurer un siècle encore. Cette société, même cachée, a su se développer, depuis

mais comme une parole sacrée et immuable. Les médecins sont donc imbus d’eux-mêmes et archaïques (= dépassés, démodés). Molière a moqué à plusieurs reprises la religion dans Le Tartuffe (avec un faux dévot hypocrite) et dans Dom Juan (avec un libertin athée), ce qui lui a valu des « cabales » (complots contre lui). On peut donc considérer que la critique des médecins (assimilés à des prêtres qui abusent de la crédulité des patients) est une critique religieuse voilée (d’ailleurs, Béralde

Amédée Ozenfant, figure importante du purisme, avec qui il écrit, à l'occasion de sa première exposition de peinture, “le manifeste du purisme”, contemporain du cubisme mais ne partageant pas les même vues. Il fréquente alors de grands artistes (Braque, Juan Gris, Picasso, Lipchitz ) En 1920, Le Corbusier fonde avec Amédée Ozenfant la revue l'Esprit nouveau dans laquelle il fait paraître plusieurs articles fondamentaux sur l'architecture, il prend alors le nom de “Le Corbusier” et est plutôt connu comme

déclenche chez elle une maladie nerveuse. Son mari décide alors de s'installer dans une autre bourgade, siège de comices agricoles renommées, Yonville-l'Abbaye.Là, elle fait connaissance des personnalités locales, Homais, pharmacien progressiste et athée, le curé Bournisien, Léon Dupuis, clerc de notaire, Rodolphe Boulanger, gentilhomme campagnard.La naissance d'une fille la distrait un peu, mais bientôt Emma cède aux avances de Rodolphe.Elle veut s'enfuir avec son amant qui, lâche, l'abandonne.Emma

Cette peinture satirique était donc considérée comme dangereuse même si Molière, tout athée qu'il était, ne ridiculisait pas la piété. Ce qu'il explorait, à travers le cas d'Orgon, qui, esclave de sa foi, est manipulé, c'est le mécanisme de la croyance et comment il peut conduire à l'imbécillité et au crime. Tartuffe, lui, n'est qu'un escroc. Le type du faux dévot a été fréquemment attaqué par Molière (“Dom Juan”, 1665, “Le misanthrope”, 1666). La définition de la véritable piété : Molière était

L’étranger - Melancolia La peste -Aux morts de la nuit CORNEILLE du 4 L’illusion comique -Hernanie Le cid VOLTAIRE FLAUBERT - Candide Mme Bovary ZOLA MOLIERE - Thérèse raquin l’école des femmes Don juan LA MARTINE Le lac PLAUTE Amphitryon Le soldat fanfaron Baudelaire Biographie : Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867 (à 46 ans). En 1831, le lieutenant-colonel

découvre la connaissance, par l’exercice permanent d’une pensée tournée vers l’intérieur (Descartes). Pour Voltaire, un Dieu a ordonné ce monde nous laissant notre libre arbitre, mais contrôlerait, malgré tout, notre volonté. Se méfiant d’un matérialisme athée qu’il qualifiait de dangereux, lui s’affirmait comme un pur déiste. Et nous achèverons cette biographie qui ne peut que sillonner l’étendue de son œuvre par cette formule qui résume la pensée voltairienne : « Dans une République digne de ce nom, la

conventionnelle et de la sensualité bourgeoise normale, mais aussi avec un certain raffinement cultivé. Le libertin est donc un homme affranchi des conventions religieuses, et contestataire vis-à-vis des idées traditionnelles ; souvent un sceptique et un athée. La force et la diversité du courant libertinLe courant libertin s'exprime, tout au long du XVIIe siècle, avec une grande force et une grande diversité.On peut le trouver sous quatre types: libertinage social: la contestation sociale, la lutte