Dogmatisme Et Rationalisme

dire qu’elle est syncrétique, dans un sens proche du polythéisme des valeurs revendiqué par Max Weber. Ce que Canguilhem combat en tant que philosophe, et avec quelle vigueur !, c’est l’unilatéralisme et ses divers avatars que sont le monisme ou le dogmatisme. Rien n’empêche, à son point de vue, d’être à la fois cartésien, spinoziste, kantien, comtien, marxiste et nietzschéen, voire même bergsonien, pour autant que ces diverses orientations de pensée soient ramenées au fond axiologique et judicatif qui

devient ainsi une réflexion sur l'homme idéal, une découverte de l'homme dans les œuvres antiques. Seule l'éducation va permettre à l'homme puis au jeune homme de développer son sens se la réflexion et de s'accomplir. Il s'agit aussi de rejeter tout dogmatisme au profit d'une liberté intellectuelle renouvelée, n'entrainant pas un rejet de la foi chrétienne pour autant. On retrouve chez les humanistes une certaine idée du stoïcisme: le cosmopolitisme. Le prince chrétien selon Érasme (1466-1536):

tire son nom dumouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connu sous le nom de Lumières. Il est souvent utilisé dans la littérature historique commesynonyme de XVIIIe siècle européen, car il été marqué par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences. L’image des "Lumières" était déjà fréquemment employéepar les écrivains et les penseurs de l'époque, convaincus qu'ils venaient d'entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison, la science et le respect

political Islam.8 He was an early mentor of Mohammed ‘Abduh, who is considered one of the founding figures of liberal Islam. Afghānī’s ideas were appealing to Muslim reformers because he extolled the virtues of Western science. He also insisted that rationalism and science were not Western imports but traditional elements of Islamic culture. This position, however, was viewed with suspicion and hostility by the more conservative elements of the religious establishment. In 1871 Afghānī was exiled from Turkey

étymologiquement «qui tient au dialogue» et désigne chez lui l’art d’interroger et de répondre, l’art de la vraie discussion. Il faut noter cependant que, si l’exercice de la philosophie ne peut se dispenser de la discussion (sous peine de sombrer dans le dogmatisme et perdre sa justification), toute discussion n’est pas nécessairement philosophique, loin de là: notamment celle qui se soucie seulement d’avoir raison contre un adversaire extérieur (comme un avocat lors d’un procès, ou toute personne qui utilise

1 Descartes face à la menace sceptique Descartes s’est consacré dans l’histoire de la pensée à une double tâche. Il a, d’une part, nourri l’ambition théorique d’expliquer tous les phénomènes présents dans l’ordre de la nature, guidée par une finalité pratique consistant à nous en permettre la maîtrise. Mais, à la différence d’autres pères de la modernité dans les sciences tels que Galilée, Huygens, Newton, Descartes a, d’autre part, voulu apporter des fondements fermes et solides au progrès

reproduction des inégalités Définir ainsi l’enseignement, c’est s’interdire de le comprendre 7° chapitre Philosophie de l’enseignement Empirisme et rationalisme Empirisme : esprit n’est au départ q »une table rase », et tt ce qu’il apprend lui vient du dehors, càd de l’exp. sensible et de l’éducation, modèle de savoir : l’info ( Rationalisme : on n’apprend jamais que ce qu’on savait déjà, exp. et enseignement ne font que « réveiller », modèle de savoir est la logique et la géométrie, dt chacun

Questionnement sceptique (moins un discours propre qu’une menace intérieure aux 2 autres). Les perso ne désignent pas un auteur ou une école déterminée. IX : D. reprend l’argument pour de Clarke[9] (porte-parole de Newton et théologien dont le rationalisme effraie les orthodoxes), mais cite également Malebranche (II) ; dans sa critique de l’anthropomorphisme de C. et l’usage aveugle de l’analogie auquel il doit consentir, D. défend les distinctions de Browne entre métaphore et analogie, analogie

à une adaptation des structures à la situation nouvelle. Les contestations débouchent assez souvent, notamment en France et aux Pays-Bas, à la formation d'Églises libres. Dans la diversité théologique, s'affirment trois courants principaux. Le rationalisme se mue en un libéralisme, qui est parfois proche de la maçonnerie et qui est très répandu chez les intellectuels et chez les notables ayant une influence politique et économique. Ce libéralisme affaiblit la vitalité religieuse (recul de la pratique)

les cours de théologie dogmatique professés par Schultz. Il lui préféra Martin Knutzen, qui était pourtant le disciple de ce dernier et ne se montrait pas moins soucieux que lui de concilier le piétisme en matière morale et religieuse avec le rationalisme philosophique de Wolf, inspiré de celui de Leibniz et mis, pour les besoins de l'enseignement, sous une forme systématique selon le modèle mathématique ; du moins inclinait-il davantage à la philosophie qu'à la théologie et possédait-il une réelle