Divertir Pour Instruire

dans les contes, des textes narratifs et descriptifs. 5) l’origine, le conte était transmis oralement. L'histoire commence toujours par "il était une fois". Souvent, une gestuelle accompagne les paroles du conteur. 6) Le conte a été créé pour divertir, instruire et faire réfléchir les auditeurs et/ou les lecteurs notamment grâce à la morale. 7) Le conte peut avoir plusieurs registres littéraires comme par exemple, le registre didactique ; merveilleux ; fantastique et même parfois dramatique lorsqu'une

sorte de recul vis-à-vis de la justice et parfois même un regard critique. De plus, le théâtre se sert de la critique afin de faire réfléchir les spectateurs mais il utilise également le rire. Effectivement, il se base sur les mots « plaire et instruire » du classicisme. Un enseignement est beaucoup plus facilement pris en compte par un interlocuteur lorsqu’il est abordé d’une manière « ludique ». Le rire est donc un moyen très efficace de faire passer un message, surtout dans le cas d’une pièce

jeune veuve correspond à un topos littéraire : celui de la veuve éplorée qui ne tarde pas à renoncer à sa peine. Cette fable est extraite du Livre VI, du recueil que le célèbre fabuliste classique La Fontaine (1621-1695) destinait au départ à divertir et à instruire le dauphin. Elle est inspirée de la fable en prose La femme pleurant son mari mort et son père la consolant de l'auteur Abstémius. Elle se présente comme une amplification versifiée de ce texte qui innove en présentant la morale avant le récit

narration ». De ces deux grandes formes inaugurales que sont la tragédie et la comédie découleront de très nombreux sous-genres (tragicomédie, drame, vaudeville...) Mais que vise la représentation théâtrale ? « Placet et docere » (plaire et instruire) • Plaire • Qu'elle relève du sérieux ou du comique, toute pièce tend à produire une émotion partagée collectivement. La diversité des genres théâtraux répond à celle des buts recherchés par les dramaturges. Mais pour la tragédie comme pour la

précise l attitude de l émetteur par rapport à cet énoncé, c-à-d son degré d adhésion, les nuances qu il apporte) Feindre l objectivité éviter les indices de subjectivité, chercher le terme précis pour donner : l illusion d un discours scientifique. Divertir: séduire le lecteur en illustrant son propos par des exemples ; l amuser par l ironie, la parodie, la satire, en ridiculisant les adversaires. Émouvoir: mettre ses sentiments en avant, avec lyrisme, pour émouvoir le lecteur à son tour. 2) Le recours

rivage de l'Oxus » puis dans la Persépolis ancienne. D'ancrer dès le début l'action dans des un espace imaginaire ou un passé lointain est une caractéristique du conte et permet à Voltaire d'utiliser la fantaisie pour faire évader le lecteur et le divertir. MENMON ET ZADIG SONT DES HUMAINS. De plus, Voltaire a aussi recours au registre merveilleux. Par exemple, il insère dans ses récits des éléments magiques comme la métamorphose de l'ermite dans Zadig décrite ainsi: « son habit d'hermite disparut;

les héros dont Esope est le père » : il imite la fable d'Esope Les deux Coqs et l'Aigle mais en ajoutant : « mon imitation n'est point un esclavage » cela signifie que celui ci ne fait pas qu'imiter mais ajoute de la poesis (création) (divertir pour mieux instruire) II Mais aussi un récit burlesque... Le registre épique (noble) est ici appliqué à un sujet trivial. Une parodie d'épopée De nombreuses allusions à la mythologie grecque, en particulier à la guerre de Troie « Troie », « Xanthe »,

plus importante dans la littérature. C'est le genre littéraire qui a le plus évolué. Par exemple au XVIIe siècle, le metteur en scène n'existait pas, il n'y avait que l'auteur. Les pièces étaient courtes et servaient pour beaucoup d’entre elles à divertir ou bien à faire prendre conscience du monde qui nous entoure. En effet, le théâtre est la représentation du monde qui nous entoure c'est pour cela que nous arrivons à nous identifier aux personnages tels que Lucinde dans un médecin malgré lui car

dans le « sermon » du renard. CONCLUSION On retrouve dans cette fable l’expression de l’idéal classique qui semble tout naturellement porté par l’apologue : « instruire et plaire ». Cette fable offre en effet un récit édifiant qui use tous les ressorts de la manipulation d’un sujet par un autre pour divertir le lecteur. Mais ce divertissement trouve bientôt sa justification dans le sermon du renard qui explicite la morale (que La Fontaine ne fait que généraliser) incitant effectivement

sont representés lors de grands evenements grandes fêtes religieuses ou civiques ou inspirés de grandes affaires qui réunissent la cité. Il n'y aurait pas spectacle sans spectateur. C'est pour cela que le theatre est la pour instruire ou faire reflechir mais aussi divertir. Jamais la place du spectateur ne se reduit au siége qu'il occupe, le spectateur n’a aucun rôle à jouer. Ce sont ses émotions qui jouent. Elles jouent par ses rires, ses larmes, ou même son indignation. Plusiers