Divertir Pour Instruire

Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d’en sourire ou même d’en rire. Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L’artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n’a-t-il pas des limites ? I. L’humour rend plus réceptif aux sujets sérieux 1. Qu’est-ce qu’un sujet « grave » ou « sérieux » ? Que faut-il entendre par sujet « sérieux » ou « grave » ? Sans doute

moins immense. Au Moyen-Age, les troubadours chantaient les épopées, la vie des héros, des rois et des princes. Les fables et les légendes servaient à divertir les gens tout en les instruisant. Quand l’école moderne n’existait pas encore pour nous apprendre à lire et à écrire, la famille et l’entourage étaient là pour nous éduquer et nous instruire. Quand une maman chante une berceuse à son enfant pour l’endormir, elle perpétue également la tradition orale. Tous ces exemples montrent la richesse de

correspondances multiples), autobiographique (comporte des éléments relatifs à la vie de l'auteur), engagé, didactique (théorie et techniques de l'enseignement) Les fonctions du roman : ● Divertir : Le lecteur prend plaisir à suivre le parcours des personnages. ● Dépayser : Faire évader le lecteur dans un autre monde. ● Instruire : Donner une image, et des connaissances sur une époque, une société, de l'homme, du monde. ● Faire partager ses convictions : roman didactique ou engagé. ● Poser des interrogations

accord avec ce dernier. Ainsi, ses pièces cherchent maintenant avant tout à plaire et divertir, ne prônant plus un châtiment automatique du coupable en fin de pièce.Rappelons que le théâtre est porteur de trois fonctions essentielles : plaire, instruire et émouvoir (placere, docere, movere). Or, le dramaturge qu’est Molière insiste bien sur le fait que son théâtre est construit avant tout pour plaire et divertir. Si l’on prend l’exemple des Fourberies de Scapin, on remarque aisément la volonté divertissante

un élément important des contes de Perrault. La plupart des histoires en effet, contiennent une morale. Vu que les histoires ont été écrites fin 1600, on pourrait partir du principe que la morale à la fin des contes servait à la base surtout pour instruire. Pour une personne qui lirait les différents contes au 21e siècle, ceci permettraient plus à faire prendre conscience de certains dangers ou à éduquer. Par exemple, si on décortique plus précisément la morale du Petit Chaperon rouge, on comprendrait

facteurs sont toujours au choix de l'auteur, mais il existe d'autre limite sur lesquelles l'auteur a moins de contrôle. Le risque de l'utilisation de la fiction afin d'en faire une argumentation est que le lecteur ne lise ce texte que pour se divertir, n'y voit qu'une fiction. Certains auteurs peuvent trop simplifier un message complexe, ou vouloir noyer la morale pour que le texte ne soit pas censuré, et dans ce cas celle-ci peut couler et passer à côté du lecteur. Le Petit Chaperon Rouge est

Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d'en sourire ou même d'en rire. Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L'artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n'a-t-il pas des limites ? I. L'humour rend plus réceptif aux sujets sérieux 1. Qu'est-ce qu'un sujet « grave » ou « sérieux » ? Que faut-il entendre par sujet « sérieux » ou « grave » ? Sans

Pour quelle raison? De quoi se compose le corps de la fable ? II QUESTION: #Caractérisez les personnages de cette fable et montrez comment la fable arrive à la fois à nous plaire et à instruire. Dans cette fable, l'agneau s'adresse au loup par la troisième personne du singulier («que votre Majesté ne se mette pas (...) » vers 10-11). C'est une grande marque de respect. Tandis que le loup, lui, parle a l'agneau par la deuxième

déroule dans un seul endroit) unité de temps ( la pièce se déroule en 24heures) unité d’action ( une action principaleIl s’agit de joindre l’utile à l’agréable : « plaire et instruire ». Molière pense par le rire faire prendre conscience des travers des hommes.III ŒUVRE1 Une comédie ballet · Divertir le roiLouis XIV est amateur de danse et de musique . Il multiplie les fêtes qui permettent de montrer sa puissance. Molière invente la 1er comédie ballet avec Lully

mœurs pas le rire Au XVII siécle Moliére est le roi des comédie et cependant , il reste profondément moraliste dans l’ame . Ainsi , il ne va pas faire ses piécce que pour faire rire . il voulait un rire honnéte il ne divertissait pas que pour divertir La critique du rire Dans ses comédies , il dénnonce le ridicule de la société Ils critique des défauts des hommes et par exemple , l’auveglement d’orgon qui doit attendre de voir son cher ami caresser sa femmme pour comprendre que ce dernier