Divertir Pour Instruire

auteurs français comme Molière. La comédie classique Sous l’impulsion de Richelieu, le théâtre classique naît en France à partir de 1635. Les théoriciens, comme l’abbé d’Aubignac, définissent les règles qui se rendent efficace, pour émouvoir et instruire le spectateur. La comédie, en dénonçant les travers humains, n’est pas un simple divertissement : Elle a une visée morale. Elle échappe alors partiellement aux critiques des religieux et des moralistes, l’accusant de détourner les hommes de leurs

théâtre se dénoue seulement par la mort mais aussi par la guérison. Le théâtre n’a donc pas pour seule vocation de représenter le mal sur scène. Au XVIIe siècle, Corneille, Racine et Boileau, redéfinissent le théâtre comme étant propre à émouvoir ou instruire le spectateur. Le théâtre vise donc aussi le plaisir du spectateur en le faisant rire, l'instruisant ou en cherchant à l'émouvoir. En effet, le théâtre vise le plaisir du spectateur en le faisant rire, c’est le cas des farces. Dans La farce

En analysant la mise en scène, on essaie de comprendre ce qu'a voulu transmettre le metteur en scène et dans quelle ambiance veut-il nous plonger, ce qui nous amène à un autre principe fondamental du théatre qui est la réflexion. 3) Au delà de divertir les spectateurs, le théâtre fait réfléchir. En tournant à la dérision les défauts humains, chacun de nous peut se reconnaître dans certains personnages. La représentation des pièces permet d'introduire une réflexion sur des questions sociales qui

Les œuvres de fiction sont-elles efficaces pour argumenter ? Depuis des siècles, les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs œuvres. Cette volonté didactique s'affirme particulièrement au siècle des Lumières, époque à laquelle la diffusion du savoir apparaît comme primordiale, la publication de L'Encyclopédie en est peut-être l'exemple le plus représentatif. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations

entre l'auteur et le lecteur Conclusion Que cherche -t-on dans un livre ? Certains livres nous apportent la connaissance, d''autres nous font rêver ou nous associent aux sentiments,de leur auteur La lecture peut nous instruire mais doit aussi nous divertir. La diversité de la lecture est importante et un bon roman policier ou un livre plein d'humour sont tout aussi nécessaires

maintenant nous demander, en quoi cette fable est-elle un texte argumentatif efficace ? En première partie, nous verrons le coté divertissant de cette fable, puis dans une deuxième partie, nous verrons que cette fable a pour but d’instruire. I) Divertir Comme de nombreuses fables, Le Chat et le Renard a un shéma narratif simple l’introduction v1 à 6; le nœud v7 à 17; le dénouement v18 à 32 et la morale v34 à 36. Dans l’introduction on apprend beaucoup au sujet des caractères du chat et du renard

doute pas que vous ne regardiez favorablement des inventions si utiles et tout ensemble si agréables ». Cette prière, adressée au dauphin, est, pour lui, une façon de se demander si les oeuvres à caractère argumentatif peuvent à la fois plaire et instruire. Autrement dit, les récits engagés sont-ils un moyen d’enseigner à la fois efficace et distrayant ? Pour répondre à cette question, nous verrons tout d’abord en quoi certains aspects de l’écriture inventive peuvent parfois amoindrir la portée d’un

étudier comme les autres écrites par La Fontaine avait pour but de divertir et d’instruire, souvent en critiquant la société avec une morale à la fin de l’histoire. De ce fait l’auteur a une double visée,  le récit avec le schéma narratif et la morale avec l’argumentatif Après avoir analysé ce schéma narratif, nous étudierons comment à partir d’une histoire assez banale, La Fontaine arrive avec cette fable cherche à instruire le lecteur et à donner une leçon de morale sur l’imagination et le dur

offre à Gargantua. L’auteur vient également critiquer les rois belliqueux et la guerre de conquête à travers le personnage de Picrochole. Enfin, Gargantua est une œuvre comique, placée sous le signe du rire, qui cherche à divertir le lecteur. Ce point est d’ailleurs l’une des nombreuses raisons qui m’ont fait choisir cette œuvre. En effet, la tonalité comique et le rire sont omniprésents et dans la démesure grâce à la dimension parodique, du roman de chevalerie et

Devos après lui, de ne pas évoquer les « choses graves » sur le mode sérieux, mais de prendre le parti d’en sourire ou même d’en rire. Peut-on aborder les questions graves sur le mode humoristique ? L’artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n’a-t-il pas des limites ? I. L’humour rend plus réceptif aux sujets sérieux 1. Qu’est-ce qu’un sujet « grave » ou « sérieux » ? • Que faut-il entendre par sujet « sérieux » ou « grave »