Divertir Le Lecteur

avec ce qui se passera. « Raconter bien, ça veut dire : de façon à être entendu. On n’y parviendra pas sans un peu d’artifice. Suffisamment d’artifice pour que ça devienne de l’art ! ». Cette citation amène la question de l’échange entre auteur et lecteur, elle pose le problème de ce qui permet à l’écrivain de faire un témoignage du passé efficace. On distingue cette notion de dosage que l’écrivain doit parvenir à saisir (« un peu » ; « suffisamment ») entre récit artistique et récit historique. L’écrivain

disait en effet « Ce qui vient au monde pour ne rien troubler ne mérite ni égard ni patience » et selon Jean-Paul Sartre « La vraie littérature a pour but de changer – le monde, le lecteur. Elle colporterait donc des idées […] La 'mauvaise' littérature est celle que l'on consomme rapidement, pour passer le temps, se divertir, dont l'on ressort le même » (Qu’est ce que la littérature ? , 1947). Tout d’abord, la littérature dénonce et remet en cause certaines choses comme dans « l’Enfant » (1828, Les

au vers 7, l'auteur reprend la fable éponyme de La Fontaine publiée au XVIIème siècle. La fable est destinée à divertir mais elle doit également renplir une fonction didactique, ce qui signifie qu'elle doit également instruire. Pour ce faire, la fable doit possédé un caractère imagé et illustratif qui lui permet de rapporter des situations concrètes et précises afin que le lecteur puisse les imaginer facilement. Dans la fable que nous étudions, le dialoque entre le chêne et le roseau permet de

que pure fiction ? « Il m'a raconté tout un roman , donc un mensonge », selon Stendhal. Tout roman ne serait donc que mensonge? A son origine, le roman s'appuyait avant tout sur l'imaginaire. On nous disait qu'il avait pour but de divertir ses lecteurs à partir d'une histoire inventée. Mais depuis le 19eme siècle , il accentue davantage son rapport au réel, jusqu'à affirmer que son rôle principal est de retransmettre la vérité. Même si le roman s'inspire de faits réels, n'est-il point pour

distingue de l’épopée et du conte de par sa lecture personnelle et non  orale. Genre prépondérant, le lecteur y trouve son bonheur dans l’intérêt qu’il lui porte celui-ci apportant divertissement, réflexion ou rêve. Mais l’intérêt du roman est-il, comme le suggère le romancier Tahar Ben Jelloun de mieux cerner la réalité ? Nous pouvons voir dans un premier temps qu’il est vrai que les roman permet au lecteur de découvrir et comprendre une réalité. Cependant dans un second temps nous pouvons voir que l’intérêt

l’antiquité que nait le théâtre au Vème siècle av. J.C. L’action était représentée en plein air, par quelques acteurs masqués (seulement des hommes). Aristote codifie les genres de drame en deux grands genres dramatiques. La comédie à pour but de divertir mais également de corriger les mœurs de la société par le rire. Terence ou Plaute sont deux des dramaturges célèbres de cette époque et de ce genre. La Tragédie peut être qualifiée de genre contraire car elle a pour but d’inspirer crainte et pitié

« Depuis toujours, l’affaire du théâtre, comme d’ailleurs de tous les autres arts, est de divertir les gens. » Partagez-vous cette opinion de Bertold Brecht ? Vous répondrez en vous appuyant sur les œuvres étudiées cette année mais aussi sur votre culture personnelle. Plans possibles pour la discussion 1. Un plan dialectique en deux parties (cf. rédaction ci-dessous) I. L’affaire du théâtre est de divertir les gens (= plaire) a. en les faisant rire b. en leur racontant une histoire

critiquer la société. Pour cela, nous allons d’abord montrer que le premier intérêt du conte est de plaire (grâce à sa fantaisie) au lecteur, ensuite nous prouverons que ce n’est pas un récit si insignifiant pour enfin parler de la force argumentative du conte. Dans un premier temps, nous allons voir que l’un des intérêts du conte est de plaire au lecteur, ce qui va faciliter l’obtention de son adhésion. Tout d’abord, le conte est un genre littéraire qui plait à tous, et qui

assigner une fonction pédagogique afin d’éduquer le lecteur. En premier lieu, la vocation du romancier est, comme l’a énoncé Guy de Maupassant dans sa préface Pierre et Jean , de « donner une image exacte de la vie » de manière à en dévoiler « le sens profond et caché ». Pour ce faire, il fera des descriptions réalistes en ne sélectionnant que les éléments en fonction du sens qu’ils permettent de construire et de communiquer au lecteur. Dans Madame Bovary, Gustave Flaubert nous fait une

culturels pittoresques ou décalés : Il s'agit par là de divertir, de plaire ou de captiver l'attention du lecteur parfois de façon un peu osée, comme le manifestent par exemple l'épisode des oreillons ou les récits des malheurs de la vieille. De plus, le recours à un récit imaginaire permet de varier les types de personnages : L'auteur peut composer son histoire et ses personnages selon ses visées pour mieux diriger la réflexion du lecteur. Ainsi, Le lecteur s'intéresse aux personnages, aux rebondissements