Divertir Le Lecteur

Les œuvres littéraire ont donc un pouvoir critique sur la société. Les auteurs dénoncent des faits de société de leur époque depuis de nombreuses années ; ils cherchent à résister à un pouvoir, des habitudes de la société… tout en divertissant le lecteur. Cependant cette fonction de critiquer rencontre des limites. I- Certes, la littérature propose des œuvres qui ont pour principale fonction de critiquer : A- « Encriers » contre « canons » : moyen de dénoncer des faits de société. La

alors si la comédie est un pur divertissement. Plus précisément nous nous demanderons si la comédie a pour unique fonction d’amuser le spectateur ou le lecteur et de le détourner de ses soucis quotidiens et existentiels. Nous verrons tout d’abord que, certes, la comédie apparait comme un pur divertissement proposée aux spectateurs ou aux lecteurs, mais nous nous demanderons ensuite si, malgré tout, la comédie n’est pas aussi une critique sérieuse et pertinente de la société et des conduites humaines

quelle mesure les romans peuvent ils offrir aux lecteurs une peinture des êtres humains et de la société de manière à en favoriser la compréhension ? Intro : Le roman est un genre littéraire extrêmement varié qui perdure depuis des siècles. Il se définit comme « une oeuvre littéraire en prose d'une certaine longueur, mêlant le réel et l'imaginaire, et qui, dans sa forme la plus traditionnelle, cherche à susciter l'intérêt, le plaisir du lecteur en racontant le destin d'un héros principal, une

changer les choses). 3/ Qui connaît certaines limites Montrer que la nature de la littérature se prête au divertissement et qu’un texte chargé d’intention argumentative peut dérouter ou rebuter le lecteur. Ou même que la complexité de la littérature peut être un frein à la compréhension ou à l’adhésion du lecteur et que d’autres formes d’argumentation pertinentes existent, parfois plus populaires et donc touchant un public plus large : artistiques (musique, cinéma, beaux-arts) ou non (presse, télévision

successivement les plaisirs qu’offrent la littérature, l’aide qu’elle apporte à l’utilisation de la langue, son avantage pour l’homme et son but psychologique. Tout d’abord, certains pourraient penser que la littérature sert à divertir parce qu’elle permet de s’évader, de rêver ou d’oublier ses soucis l’espace de quelques heures. Il est vrai que certains livres ont pour caractéristiques d’être accessibles à chacun grâce à la simplicité du vocabulaire et de la syntaxe. Je pense

attitudes d'extraterrestres appelés "Adrèles" sont fortement poussées en ridicule et critiquées avant une dernier phrase qui nous dit que "les mœurs étaient le plus insidieusement semblables à celles des Terriens". Ce point de vue attire la curiosité du lecteur, il surprend, en effet ce sont bien des créatures imaginaires qui nous permettent de critiquer notre société. Enfin au niveau du destinataire, qui arrive à bien saisir le message que l'auteur tient à lui délivrer, pouvant être plus convaincant qu'une

un rôle à jouer dans la dénonciation des Plan choisi I) L’écriture, et l’art en général, est d’abord une esthétique. 1 - Le Beau La réception de l’art selon les goûts / La doctrine de l’art pour l’art (Les Parnassiens) 2- L’art : un moyen de se divertir Le théâtre /la danse 3 – L’art : un moyen de s’évader, d’échapper à la réalité La littérature jeunesse et la Fantasy (Harry Potter) II) Mais elle peut aussi, dans certains cas, devenir une éthique. 1- Sous un premier abord plaisant, message caché

qu’il y en a peut-être plusieurs et qu’il ne veut pas arrêter les lecteurs sur une seule. » Cette phrase d’Umberto Eco prononcée lors d’une interview dans Le Point est accompagnée d’une distinction entre deux types de lecture, sur laquelle il reviendra dans son ouvrage Lector in fabula. Le premier constitue ce qu’on appellera la lecture naïve, c’est-à-dire la première lecture d’une œuvre, liée aux premières impressions du lecteur ; le deuxième est tout simplement la relecture, ce qu’Eco nomme lecture

COMPTE-RENDU DE LA DISSERTATION SUR GARGANTUASUJET  : Le rire que Rabelais cherche à produire chez son lecteur est-il un masque ou un révélateur ? Vous répondrez à cette question en vous appuyant sur votre lecture de Gargantua . Au XVIème siècle les bienséances, le respect des convenances sociales, ne se sont pas encore imposées. Les fêtes médiévales, tel

est alors un des écrivains parmi les « Anciens ». Par contre, Charles Perrault affirme que « la belle antiquité fut toujours vénérable : Mais je ne crus jamais qu’elle fut adorable » vers 1 et 2. Il appartient alors aux « modernes ». Il invite le lecteur à regarder le futur et oublier le passé. Comme réponse à Charles Perrault, La Fontaine écrit un poème adressée à Huet, grand pourfendeur des « modernes » qui déclare que « près de ces grands noms notre gloire et petite » vers 43. Il fait partie