Dieu Est Mort Nietzsche

NIETZSCHE Ulysse Vangulick, M1 Illu Pour Nietzsche la liberté commence d'abord par une forme d'esclavage, c'est-à-dire un dévouement avec lequel on se soumet à des règles arbitraires que l'on s'impose nous même : ce sont les valeurs. Dans la parabole des trois métamorphoses d' « Ainsi parlait Zarathoustra », Nietzsche décrit un processus de transformation métaphysique de l'homme : d'abord chameau qui engrange les savoirs, les

toujours prisonniers du monde des illusions figuré par la caverne, risque sa vie. « Et si quelqu'un tente de les délier et de les conduire en haut, et qu'ils le puissent tenir en leurs mains et tuer, ne le tueront-ils pas ? ». Songeons au procès et à la mort de Socrate : toute vérité n'est pas bonne à dire. Comment priver l'illusionné de son bonheur, qui, pour lui, est réel, pour nous, purement fantasmatique ? Comment se faire entendre par l'adepte de la secte la plus absurde si celle-ci lui procure du

qu’elle sait, qu’elle en sait tjr bcp plus qu’elle ne croit = Théorie de la Rémiscence Nietzsche appelle la Volonté de Puissance= l’énergie vitale propre à chacun, n’est, elle non plus, pas conscient. Problématique II : la Culture L’art : Pr Platon acquérir l’immortalité dès cette vie c’est avoir des enfants et créer des œuvres L’art c le résultat de cette lutte acharnée que l’hom mène contre la mort et l’anéantissement Paul Klee : L’art ne reproduit pas le visible, il rend visite Baudelaire :

libération de la puissance du désir humain universel ? Toutefois, ne peut-on pas espérer une autre puissance du désir, que celle proposée par la vie économique sans frein de notre mondialisation, afin que le désir ne se transforme pas en désir de mort, et donc de mort du désir ? 2 Bibliographie : Platon : « Le Banquet ». Léon Robin : « La théorie platonicienne de l’amour ». Julia Kristéva : « Histoires d’Amour ». Ferdinand Alquié : « Le désir d’éternité ». Charles Fourier : « La liberté en amour » (textes

ou un sentiment qui fait entrevoir comme probable la réalisation de ce que l’on désire. La conscience de l'écoulement du temps peut donc être une source de motivation et pousser l’homme à agir en se fixant des objectifs ou en réalisant ses rêves. La mort est la fin de toutes les possibilités et l’existence permet donc d’exploiter ces possibilités. L’Homme serait donc fier de ses accomplissements personnels. Se pose alors la question suivante. Faut-il considérer que la conscience du temps qui passe

concept): La conséquence de cette ambivalence de l'unité de l'individu (sens absolu, sens relatif) est l'ouverture sur un concept à l'extension très large.L'individu au sens absolu, c'est l'un des extrêmes de la chaîne des êtres. C'est l'atome ou c'est Dieu. L'Atome, chez Démocrite, c'est l'être même. Chez Spinoza, la substance divine dès la première partie de l'Éthique se caractérise comme étendue mais impérissable; comme unique puisque deux substances, au sens strict, cela est scandaleux à la fois d'un

| |3.13 Kant - Définition du mal | |3.14 Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling | |3.15 Nietzsche | |3.16 John Rawls - Théorie de la justice | |3.17 Norman Spinrad

PATRICK BEAUDOIN LA FONCTION CULTURELLE DE L'ART CHEZ LE JEUNE NIETZSCHE ET SON ABOUTISSEMENT AVEC LE SURHOMME Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures de l'Université Laval dans le cadre du programme de maîtrise en philosophie pour l'obtention du grade de maître es arts (M.A.) FACULTE DE PHILOSOPHIE UNIVERSITÉ LAVAL QUÉBEC 2007 Patrick Beaudoin, 2007 Remerciements Je tiens à remercier tout particulièrement Madame Marie-Andrée Ricard, pour sa patience et son soutien. Ce mémoire

| |6 Nominalisme | |7 Questions fondamentales | |8 La question : « Qu'est-ce que “ Dieu ” signifie ? » | |9 Dieu est-il connaissable ? | |9.1 Les religions et les sciences | |10 Annexes

l’intervalle entre la vie et la mort au niveau de la « zoé » (c'est-à-dire de la vie purement biologique), on peut ensuite la voir tout à fait autrement si on se place du côté du « bios », c'est-à-dire du côté des différents types de vie. Mais, au sein même de ces différentes définitions de la vie, nombres d’interprétations sont possibles : du coté de la zoé, on peut tout à fait remettre en cause la définition de la vie comme étant le temps entre la naissance et la mort, et, dans le bios, c’est encore