Deficit Budgétaire

limites que l’on peut attribués à la protection sociale est sans doute l’évolution du déficit du régime général qui inclut la sécurité sociale et l’assurance maladie. En effet, si on s’intéresse à son évolution, on s’aperçoit que le déficit est négatif depuis 1995 sauf pour les années 99 à 2001. Il va même jusqu’à atteindre 11,6 milliards d’euros en 2004 et est d’aujourd’hui environ 8 milliards d’euros. De plus, les déficits les plus importants sont concentrés sur les branches maladie et vieillesse. Ainsi

coûts. Aujourd'hui, chaque pays possède un taux (décidé par des agences de notations) qui définit le pourcentage de l'intérêt à rembourser. En regroupement toutes les obligations, ce taux sera plus bas, et il sera plus facile pour des pays en large déficit, comme la Grèce, d'emprunter et de ne pas s'enfoncer encore et encore. Cette mise en place montrerait aussi la solidarité présente entre les pays membres de l'UE. l'UE étant une puissance économique, seulement si touts les pays s'entraident. Il

et facilitera la mise en œuvre des réformes.» 2 Pas de nouvelles hausses d’impôts En 2010, le gouvernement grec est parvenu à réduire le déficit budgétaire de 5 points, malgré une contraction du PIB de près de 4 %. Mais il sera difficile de faire baisser encore le déficit sans des réformes budgétaires de fond. D’après les prévisions, le déficit budgétaire se chiffrerait à 9 % cette année, contre un objectif programmé de 7½ %. «Un des constats auxquels nous sommes parvenus en 2011, c’est que nous

française au sens de Maastricht a augmenté de 400% en 20 ans de 1990 à 2010 ! Elle atteint 1600 milliards d’Euro en 2010 et ne cesse d’augmenter de façon continue. Nous le savons bien l’Etat français a deux responsabilités : d’une part réduire son déficit budgétaire tout en respectant les accords de Maastricht, d’autre part relancer la croissance économique. Qui stagne depuis bien des années. Comme l’indique le document 1, l’Etat intervient directement ou indirectement dans l’activité économique sous forme

diminution. Pour combler le déficit budgétaire, l’Etat doit augmenter les impôts. Les clients des restaurants ainsi que les restaurateurs et les employés payeront plus d’impôts. Mais les autres catégories de gens qui ne vont pas aux restaurants payeront eux aussi. Il y a donc deux effets notables suite à la baisse de la TVA une augmentation de salaire pour les salariés du secteur de la restauration qui induit une réduction du chômage et une augmentation de l’imposition suite à un déficit fiscal plus important

au Sao Bento Palace à Lisbonne, le 28 avril 2010. AFP / F. Leong Par Altin Lazaj Il semble que la crise grecque se propage dans la zone euro avec le Portugal pris à son tour dans la tourmente des marchés financiers en raison de l'ampleur de ses déficits. Le Portugal a subi mardi 27 avril une dégradation de la note de sa dette par l'agence Standard & Poor's. Cela a suscité la crainte d'une contagion de la crise grecque à ce pays. La note de la dette à long terme du Portugal a été abaissée de deux

intérêts de cette dette. Elle résulte à la fois de la crise économique mondiale et de facteurs propres au pays : fort endettement (environ 120 % du PIB) en 2010, déficit budgétaire qui dépasse les 13 % du PIB1. Cette crise a été aggravée par le manque de transparence dont a fait preuve le pays dans la présentation de sa dette et de son déficit, notamment par la levée de fonds hors bilan, par le biais d'instruments financiers mis au point par la banque d'investissement Goldman Sachs2. Ce qui fait la spécificité

pdb en juin et juillet), et l’objectif de 4% fixé pour 2007 paraît hors d’atteinte. Sous la pression du FMI, les autorités turques poursuivent une politique budgétaire rigoureuse : surplus primaire de 6,2% du PIB en 2005 et 6,6% en 2006, déficit budgétaire réduit à 1,7% en 2005 et 0,7% en 2006, après 7,1% en 2004. L’objectif d’excédent budgétaire primaire de 6,5% PIB a été reconduit pour 2007. Il sera plus difficile à atteindre en période électorale. Compte tenu du système de change flottant, la livre

solutions à l’échelon européen (II). I. La crise de l’euro conséquence des crises des Etats membres. A. Une pluralité crises étatiques… - Fin 2009 après les élections législatives, le gouvernement de Georges Papandréous annonce que le déficit budgétaire de la Grèce et la dette publique dépasseront respectivement l0% et 113% du PIB. Pour 2010, la dette devrait attendre plus de 130% du PIB. Le taux des obligations grecques atteint 7,1% soit plus de 4 points que les obligations allemandes. L’Allemagne

ses finances. On s'aperçoit aujourd'hui que son déficit public est de 15 % par an, avec une croissance négative, et que la dette publique va exploser de façon exponentielle de 15 points par an environ. Le cas de l'Espagne est tout à fait différent. Avant la crise, ce pays avait une dette publique faible, en dessous de 60 % du PIB, avec un excédent budgétaire. Le problème, c'est qu'elle a enregistré un fort recul de son PIB et une explosion des déficits avec la crise. La dette espagnole était en 2009