Deficit Budgétaire

sur les vingt dernières années. _cette ouverture croissante, si elle atténue les effets d’éviction interne (le creusement du déficit public n’entraîne plus de hausse sensible des taux d’intérêt) accentue en revanche les effets d’éviction externe. _la théorie de l’équivalence ricardienne (Barro [1974]) condamne elle aussi le creusement conjoncturel des déficits, qui aurait pour seul effet de conduire les ménages à épargner. Cette théorie repose néanmoins sur des hypothèses fortes (que les

respectaient (Danemark, Estonie, Finlande, Roumanie..). -Le déficit public : Quand les dépenses d’un état (fonctionnement, équipement, redistribution) sont supérieures à ses recettes (impôts et taxes), il y a un déséquilibre du budget, appelé  « déficit public » Comparer le déficit public au PIB (donc la richesse produite) est une autre façon de se rendre compte de l’endettement d’un état. L’union européenne préconise un déficit public intérieur à 3% du PIB. Celui de la France dépasse 4% alors

dette. Elle résulte à la fois de la crise économique mondiale et de facteurs propres au pays : fort endettement (environ 120 % du PIB) en 2010, déficit budgétaire qui dépasse les 13 % du PIB. Cette crise a été aggravée par le manque de transparence dont a fait preuve le pays, lors de son entrée dans la zone euro, dans la présentation de sa dette et de son déficit, notamment par la levée de fonds hors bilan et par le biais d'instruments financiers mis au point par la banque d'investissement Goldman Sachs

qui ont entrainé l’endettement au niveau mondial des Etats. - Le déficit (12,7% du PIB) a surpris tous les membres du l’UE, car masqué par l’ancien 1er ministre. Il est du notamment aux fortes dépenses militaires, à l’ampleur du secteur public, et à la fraude fiscale. - Les agences de notations : Elles évaluent la situation économique, la stabilité financière et la politique budgétaire des Etats. Après dévoilement du déficit Grec, elles ont baissé leur notation sur la capacité de la Grèce à

conjoncture creusent les déficits publics partout en Europe. Le dérapage est particulièrement spectaculaire au Royaume-Uni, où le besooin de financement public dépassera 8% du PIB cette année. En France, les mesures annoncées vont officiellement le faire dériver vers 3,9% du PIB en 2009 (contre 2,7% prévus par le projet de loi de finances), mais l'OFCE le prévoit plus proche de 4,5%. Au-delà de 2010, les projections officielles restent pratiquement inchangées, avec un déficit repassant sous la barre

dépenses de l’état sont supérieures aux recettes ce qui se solde par un déficit budgétaire. Les déficits cumulés depuis des années font que la dette publique atteint aujourd’hui prés de 1100 milliards d’€. Les gouvernements actuels, conscients du problème mais également sous la pression de la politique européenne, mettent en place une politique de gestion de la dette et cherchent une meilleure maitrise de l’équilibre budgétaire. Conclusion Le budget est l’acte par lequel sont prévues et autorisées

travaux de cette auteur ont marqué la pensée économique du 20e siècle , la remise en cause qu'il fait de l'efficacité du marché a largement influencer les politiques économiques après la seconde Guerre Mondiale, régulierement accusé de creuser des déficits publics et de favoriser l'inflation la pensée Keynésienne est revenue dans l'actualité notamment avec les plans de relance des gouvernements européens destinés a lutter contre la récéssion économique . Sa principale idée est : l'équilibre de pleine

la mise en place de politiques Keynésiennes, un vif retour s’est opéré vers le modèle « ordo-libéral ». Si les Etats-Unis ou le Japon ont vu arriver des fonds pour relancer leur économie, l’Europe est restée sur son objectif de lutter contre les déficits publics. C’est ainsi qu’à une vitesse folle se sont propagés le recul de l’Euro et l’augmentation des dettes étatiques. Ainsi nous nous poserons la question suivante En quoi la zone euro se présente-t-elle comme une union monétaire fragile capable

ne cesse de se propager et risque d'exploser l'UE même pas vingt ans de sa création !!! Quatre mois auparavant, dès que le gouvernement du Parti socialiste eut été formé après que celui-ci eut accédé au pouvoir en Grèce, il a déclaré que le déficit budgétaire de la Grèce sera en 2009 de plus de 12 % de son PIB, ce qui sera de loin supérieur au plafond prescrit par l'Union européenne (UE) qui est de 3%, et c'est à ce moment là que le problème d'endettement de la Grèce apparaît au grand jour au vu

de même que la dette, "plus de 600 milliards d'euros", qui a un déficit de plus de 5 %, un déficit du commerce extérieur de 70 milliards d'euros, un chômage qui continue à s'aggraver. La dette publique française atteignait 1 833 milliards d'euros fin juin contre 1 212 milliards fin 2007, au début de la crise. Le gouvernement espère atteindre une hausse du PIB de 0,8 % en 2013, pour tenir son engagement de réduction du déficit public à 3 % du produit intérieur brut même si ces chiffres paraissent