Deficit Budgétaire

de compensation pèse lourd au budget de l'état En 2011, le soutien aux produits pétroliers, au sucre et à la farine devrait coûter à l'Etat entre 41 et 45 milliards de DH. A elle seule, l'enveloppe de compensation représente le montant du déficit budgétaire pour l'année 2011. En absorbant 20% du Budget de l'Etat, la compensation pèse presque aussi lourd que le plus budgétivore des ministères. On pensait que le cru 2008, avec ses 31,5 milliards de DH de charges relatives au soutien des produits

s'aperçoit aujourd'hui que son déficit public est de 15 % par an, avec une croissance négative, et que la dette publique va exploser de façon exponentielle de 15 points par an environ. C'est une situation tragique. Le cas de l'Espagne est tout à fait différent. Avant la crise, ce pays avait une dette publique faible, en dessous de 60 % du PIB, avec un excédent budgétaire. Le problème, c'est qu'elle a enregistré un fort recul de son PIB et une explosion des déficits avec la crise. La dette espagnole

du pouvoir d’achat des citoyens et la poursuite du processus de diversification du tissu productif avec le rétablissement progressif des équilibres macroéconomiques. Ainsi, la Loi de Finances 2013 table sur un taux de croissance de 4,5% et un déficit budgétaire ramené à 4,8% du PIB. Au regard de la conjoncture économique internationale marquée par la persistance de la crise dans la zone euro, l’instabilité des cours mondiaux et la régression de la croissance mondiale, l’atteinte de ces objectifs

ses déficits publics, ne doit pas dépasser 60% de son Produit Intérieur Brut. Or les dépenses en tant de crise économique sont généralement plus grandes que les recettes. La situation semble irréversible pour l’instant, à moins d’invoquer des politiques budgétaires drastiques. La soutenabilité de la dette fait aujourd’hui l’objet de débats vigoureux, et l’endettement de nombreux pays dans le monde semble être une situation catastrophique. Or le problème est structurel : en France, les déficits publics

budget neutre : pas conçu pour telle ou telle catégories - budget équilibré : D=R il ne doit y avoir n'y déficit n'y excédent; respecté jusqu'au début 20°s. Influence de la pensée interventionniste lié à la 1er GM et à la crise de 1929 et 2nd GM → En parralelle se developpent les théories de JM Keynes (1883-1946). qui prône l'équilibre économique et qui autorise un déséquilibre budgétaire ponctuel pour relancer l'économiesur les bonnes périodes. Cette politique a été mise en place après la 2nd

riches : La France va taxer les plus riches DÉFICIT :  La France va créer une taxe "exceptionnelle": à hauteur de 3%, elle touchera les revenus du travail et du capital dépassant les 500'000 euros. Le gouvernement français va créer une taxe «exceptionnelle» de 3% sur les revenus du travail et du capital dépassant 500’000 euros (573'000 francs) par an, a annoncé le Premier ministre, François Fillon. Cette taxe sera en vigueur jusqu’au retour du déficit public français dans les normes des traités

Exercice 8. Sujet 1 : dominante – économique mots clés – hausse du déficit budgétaire, relance de l’activité économique. I) Une politique budgétaire active (de type Keynésien) soutient l’activité économique (soutient la demande globale (la consommation, l’investissement, les exportations) favorise la production et l’emploi) II) La croissance économique permet de résorber le déficit budgétaire (l’augmentation des rentrées fiscales grâce à la croissance (TVA, impôt sur le

élevés dés lors qu’ils veulent se refinancer sur les marchés. La crise grecque commence le 16 octobre 2009 quand le nouveau gouvernement concède que le déficit budgétaire dépasserait les 10%, en 2009 la Grèce avait un déficit budgétaire de 14%. La dette publique atteindrait 115% du PIB. Puis en février 2010, la Grèce est placée sous surveillance budgétaire par la Commission. Le 11 avril 2010, l’Eurogoupe décide d’accorder une aide de 110 milliards d’euros à la Grèce. Une partie de l’aide est fournis par

dépenses de l’Etat n’était alors pas considéré comme une variable susceptible d’influencer le niveau d’activité de l’économie. L’analyse de l’économiste britannique John Maynard KEYNES a modifié cette conception en soulignant l’impact de la politique budgétaire sur le niveau d’activité économique d’un pays. En effet, selon les keynésiens, l’Etat a un rôle important à jouer dans la régulation des cycles économiques surtout en moment de crise. C’est ainsi qu’une augmentation des dépenses publiques engendre

actuelle de la Grèce ? Alors que l'ancien gouvernement annonçait un déficit public de 6% du PIB, Georges Papandréou, à peine arrivé au pouvoir en octobre 2009, découvrait un déficit de 12,9% et une dette publique à 115% du PIB, alors que la limite fixée par Bruxelles est de 3%. II. Comment en est on arrivé là ? Cette crise a été déclenchée par la révélation en décembre dernier par le nouveau gouvernement grec d’un déficit public beaucoup plus important qu’annoncé jusque-là. Faisant redouter