Déduction et induction

et raisonnements. A) Vrais arguments. a) Déduction. Raisonnement qui prend appui sur du général vers le particulier. Un raisonnement déductif le plus parfait c’est le syllogisme : première phrase au présent de vérité générale et une deuxième phrase, donc la troisième est la conclusion. Le sophisme c’est l’inverse, c’est un faux syllogisme. Exemple : les chats sont mortels, Socrate est mortel, donc Socrate est un chat. b) Induction. Cas particulier vers la vérité. Un raisonnement

validation de l’hypothèse la plus probable. (=jugement clinique)». Psiuk, 2002. 56APPRENTISSAGE DU RAISONNEMENT • Ce sont les opérations mentales qui produisent de nouvelles informations à partir de données collectées: � questionnement � induction � déduction � anticipation � … 57APPRENTISSAGE DU RAISONNEMENT • S’appuie sur des théories médicales, psychologiques, infirmières (ex. des 6 champs disciplinaires), … • Et sur le recueil de données : • 1°) de données cliniques (ce qui est saisissable

psychométriques) ; • Finalement, existence de 7 facteurs d’intelligence d’après Louis Thurstone (1887-1955) :- Verbal (compréhension) ; numérique (calcul) ; spatial(représentation de configurations) ; mémoire (mémorisation) ; induction (traitement des informations); déduction (manipulation des représentations mentale); lexical (stock lexical). • De nos jours, échelles de Wechsler (1886-1981) de 1939.Psychologie sociale‌ Objectif : étudier les comportements, les émotions ou les pensées d’individus

œuvre de mécanisme psychologiques, tels que les raisonnements ou les jugements, capables de contribuer à la prise de décision ou à la résolution de problème. 3.1 Les raisonnements Les formes de raisonnement les plus communes sont les inductions et les déductions. Ces deux formes de raisonnements sont basées sur l’inférence. Par définition, l’inférence consiste à générer une information consécutivement à l’analyse d’une situation, pour cela l’individu fait fréquemment appel aux informations disponibles

ailleurs –le jour à Paris, la nuit à New York– et ce qui se passe maintenant ne se passera pas nécessairement plus tard ; autrement dit, les vérités particulières que nous livrent les sens, ou même les vérités générales que nous pouvons en tirer par induction (généralisation), ne permettent pas de fonder le caractère nécessaire qui permet de les établir comme des vérités universelles). Dans une connaissance on peut distinguer en effet le sujet qui connaît et l’objet qui est connu. Le sujet se représente

raisonnements logiques (déduction, induction, abduction): Montrez votre esprit d'analyse : Quels sont les prémices ? Quelles sont les règles qui s'appliquent ? Quelles en sont les conséquences ? - Quelles variables repérez-vous ? Comment ? - Quels invariants repérez-vous ? Comment ? - Les objectifs répondent à quelle logique ? Les critères d'évaluation obéissent à quelle logique ? - Quels éléments reliez-vous les uns aux autres ? - Qu'en déduisez-vous ? Comment vérifiez-vous vos déductions ? - A partir

une épreuve mettant en jeu l’intelligence fluide avec la résolution de matrices (forme d’intelligence qui permet la résolution de problèmes nouveaux dont le sujet ne possède pas de solution apprise. Elle fait appel au raisonnement logique : induction, déduction) et d’autres tâches évaluant l’intelligence cristallisée avec les épreuves de connaissances, vocabulaire et de comparaison (forme d’intelligence basée sur l’organisation des connaissances qui se développe tout au long de la vie). La Nemi-2

natures de preuves sont nombreuses mais 2 dominent : déduction : argument prouvée par la déduction. principe de la déduction est un principe descendant => donc. Je parle de quelque chose général et en déduis quelque chose de particulier. Induction : fonctionne par principe ascendant, par la conjonction « car ». en partant de quelque chose de particulier, j’en induis une caractéristique générale. Réflexion moins naturelle que la déduction. Plus riche intellectuellement mais pas sur de remonter

différentes échelles (générale, zonale, régionale et locale) et leurs principales articulations. 2.2. Objectifs de savoir-faire cognitif Au terme du second cycle, l’élève doit : • savoir conduire un raisonnement géographique par induction et/ou déduction sur la base des contenus des programmes ; • appliquer des principes, lois et théories géographiques dans des situations diverses ; • analyser un phénomène ou une situation géographique pour en mettre en évidence tous les éléments constitutifs

raisonner sur un mode inductif qui « part de la personne soignée ». Le réflexe de questionnement devant des indices, des signes et des symptômes enclenche le développement des opérations mentales telles que « [les] intuitions perceptives, [l’]induction, [la] déduction, [la] au cours de l’apprentissage du raisonnement clinique, l’élève infirmier développe l’habileté à “penser sa pensée”, c’est-à-dire la métacognition, qui le conduit obligatoirement vers la qualité et la performance. C’est le processus qu’il