Déduction et induction

partir de Pappus d’Alexandrie, les dénommeront analyse et synthèse, et elles feront l’objet des troisième et quatrième règles de la méthode cartésienne. La distinction d’Aristote a toutefois une portée plus large et doit s’entendre comme celle de la déduction à partir des principes, et de l’induction des principes. Toute connaissance d’une conclusion déduite reconduit au problème de la connaissance des principes à partir desquels on déduit, pour autant que celle-ci ne saurait être elle-même, en dernière

analogiques est une épreuve dite « d'éduction des relations et des corrélats », en d'autres termes, l'enfant doit saisir les relations entre différents objets afin de déduire les caractéristiques de l'objet manquant. Donc les capacités d'induction et de déduction, ainsi que la mémoire de travail sont très sollicitées. Par ailleurs, rappelons que cette épreuve mesure l'intelligence fluide Gf puisqu'elle mobilise « des opérations mentales délibérées et contrôlées pour résoudre des problèmes nouveaux ou immédiats

connaissance scfique. Il y a dans cette démarche un présupposé d'abstraction. => l'inductivisme naif : à partir de cas particuliers, on généralise une loi = passage des faits aux lois. La déduction au contraire consiste à partir d'un principe tenu pour vrai on applique à des cas particuliers. Induction = on passe du concret à l'abstrait. L'inductivisme repose sur 3 exigences : (1) le nombre de constatations qui permet une généralisation doit être élevé , (2) les observations doivent être répétées

avons-nous à faire? :il y a souvent dans le texte deux types de structure argumentatif et deux seulement selon Aristote. Nous avons l'exemple qui va du particulier au général du fait à la règle et est donc une induction; et l'enthymème qui va du général au particulier et qui est donc une déduction. - L'intertextuel, l'intratextuel et le motif central Tout discours est toujours une réplique explicite ou non à d'autres discours, soit qu'il s'appuie sur eux, soit qu'il les réfute, soit qu'il les complète

hypothèse Hypothèse de type : Hypothèse générale (= Hypothèse théorique) : Représentation abstraite explicative et/ou prédictive de l’existence d’une relation entre deux faits ou deux ensembles de faits. 
1) Induction : formuler une hypothèse à partir de faits particuliers 
2) Déduction : prédire une hypothèse concernant des cas spécifiques à partir de théories, de principes
 Hypothèse expérimentale : Traduction de l’hypothèse théorique dans un cas concret précis
. Hypothèse statistique : Traduction

d’exception mais c’est un procédé de preuve dangereux (faux) et imprécis (mémoire déforme). Il devra être complété par des présomptions. Les présomptions de l’homme ou indices La juge tire le fait à prouver d’un fait voisin par induction ou déduction. Ne doit pas être confondu avec les P légales qui dispensent de preuve. Mais juste différence de degré et non de nature pour les P quasi légales qui sont souvent des P de l’homme qui se sont consolidées et généralisées par un phénomène de

stricti juris : Les exceptions sont d’interprétation stricte. La règle ne vaut que lorsque les exceptions ont un caractère ... exceptionnel ! Lorsqu’elles deviennent plus nombreuses que le principe lui-même, alors il convient de raisonner par induction et de dégager un nouveau principe général qui va reléguer le précédent au rang ... d’exception. 5. Cessante ratione legis, cessat lex : La loi privée de cause doit disparaître, ce qui signifie que la loi a vocation à remplir une mission ; si

raisonnement est à l’origine de nouveaux savoirs fondés sur l’expérience : la connaissance devient cumulative. L’induction est un raisonnement logique qui stipule que si les prémisses sont vraies, la conclusion est probablement vraie. Elle s’oppose à la déduction en tant que le raisonnement logique issu de celle-ci stipule que si les prémisses sont vrais, la conclusion est nécessairement vrai. L’induction va permettre à l’homme d’observer le monde et de déduire de ces observations un nouveau savoir, dans

et la géométrie qui soient entièrement exemptes de fausseté ou d’incertitude, pour en donner la  raison exacte, remarquons que nous arrivons à la connoissance des choses par deux voies, c’est à sa­ voir, l’expérience et la déduction. De plus, l’expérience est souvent trompeuse ; la déduction, au  contraire, ou l’opération par laquelle on infère une chose d’une autre, peut ne pas se faire, si on ne  l’aperçoit pas, mais n’est jamais mal faite, même par l’esprit le moins accoutumé à raisonner. Cette  opér

la conception de S.R. Suleiman, le roman à thèse se rapproche essentiellement de l’exemplum de la rhétorique classique 124 . Aristote distingue deux grandes catégories de la persuasion qui sont la persuasion par induction, ou l’argument par analogie (exemplum), et la persuasion par déduction (enthymême)125 . Dans le premier cas, qui nous intéresse en l’occurrence, l’orateur offre un exemple à son public, le plus souvent sous la forme d’une comparaison historique dont les conclusions peuvent être adaptées