De Amicitia

incluant aussi bien la tendresse que l’attirance physique. Mais la notion de réciprocité sera contestée. En philosophie, l’Amour est défini comme une union avec l’autre soit en le possédant continuellement soit en formant avec lui un tout. Le latin « amicitia » ou le grec « philia » définissent le mot Amitié. L’Amitié est un lien de sympathie et d’affection entre deux personnes qui ne repose ni sur l’attrait sexuel ni sur la parenté. L’amour et l’amitié sont deux sentiments qui se rapprochent et que

restent rebelles au concile, ils encourront l’excommunication privée, personnelle. Sous la pression publique, celle des amis et du seigneur de l'opposant, on recherche un compromis négocié. Le but ultime de la négociation est d'établir une paix ou amicitia entre les deux parties, c'est-à-dire de créer une relation positive remplaçant l'état de guerre qui existait auparavant. Le concile de Limoge montre une certaine détermination à vouloir cette amitié avec les laïcs à la ligne 39 du document3 « qu’ils

chevalier. Purement profane à l’origine, la cérémonie s’enrichit d’éléments religieux à partir de la fin du XIe siècle. Agnatique : relatif à la parenté par les hommes. Alleu : terre possédée en pleine propriété, ne relevant d’aucun seigneur. Amicitia : amitié jurée entre des personnes, physiques ou morales, de rang égal qui s’engagent à se prêter assistance. Ce lien constitue une relation positive, par rapport à la « fidélité » qui se limite souvent à l’absence de nuisance. Anachorèse : choix

Namque auaritia fidem probitatem ceterasque artis bonas subuertit; pro his superbiam, crudelitatem, deos neglegere, omnia uenalia habere edocuit. Ambitio multos mortalis falsos fieri subegit, aliud clausum in pectore, aliud in lingua promptum habere, amicitias inimicitiasque non ex re, sed ex commodo aestimare, magisque uultum quam ingenium bonum habere. Haec primo paulatim crescere, interdum uindicari; post ubi contagio quasi pestilentia inuasit, ciuitas immutata, imperium ex iustissimo atque optimo crudele

présence de ducs (l.5, l.8), à la tête de duchés. Contrairement à ce que rapporte Widukind, les relations entre les ducs et Otton Ier ne paraissent pas si simples. On peut parler d'une rupture entre la façon de gouverner d'Henri Ier qui repose sur les « amicitia » et celle d'Otton qui met davantage l'accent sur la supériorité hiérarchique du pouvoir royal, adoptant une ligne de conduite qui rappelle Charlemagne. Otton n'hésite pas, par exemple, à destituer les ducs lorsqu'ils lui résistent et les remplace

était légat de Scipion dans la troisième guerre punique (149-146). C’était un membre éminent du cercle intellectuel philhellène de Scipion et de ses amis ; Cicéron le tient pour le meilleur orateur de son temps. Il en fait le principal orateur du De Amicitia et un interlocuteur du De Republica. 3. Commentaire Introduction - L’auteur : Pendant les années 50, Cicéron se retira de la politique républicaine en pleine déconfiture. Il écrivit, entre autres, le De Republica, traité politique inspiré

supérieures, et explique la plante par l’animal, l’animal par l’homme… » (VOELKE. (1961), p. 46). C’est dire donc que l’amitié imparfaite s’explique à partir de l’amitié selon la vertu qui est la forme parfaite des relations humaines. Du latin « amicitia », le terme amitié renvoie à l’ensemble de rapports d'affection ou de sympathie qui s'établissent entre les personnes (cf. l’Encyclopédie électronique Microsoft® Encarta® 2009). En philosophie, l’amitié est définit comme une inclination élective

jovial ; mi sévère 3- Moi et les autres • Amitié = Accord où chacun devient soi-même à travers l’autre. Fusion aux raisons obscures « parce que c’était lui, parce que c’était moi ». De l’Amitié I28 inspiré de Lysis de Platon + Aristote + Cicéron De amicitia • Amour = derrière amitié. Eros est un besoin animal. Mariage une institution utile. Pas d’idéalisation ex : cocuage… • Voyage = image de la diversité humaine. Par observation, rencontre avec autrui ss se perdre. En Ita évite ses compatriotes

spécifique à la philosophie de Lucrèce ? Non, le thème de l’amitié est un thème important de la philosophie antique, aussi bien grecque avec la réflexion sur l'amitié dans le cadre de la politique chez Aristote ou Epicure, que latine avec le De amicitia de Cicéron, contemporain de Lucrèce. Par ailleurs, la mention du ruisseau et du haut arbre sous lequel les philosophes sont, ainsi que le « gramine molli », peut nettement faire penser au début du Phèdre de Platon, où Socrate s'écarte précisément

mutuelle. Parmi les anciens, Platon, Aristote, Plutarque, Lucien, Sénèque ont parlés de l’amitié ; parmi les modernes, Montaigne, Louis de Sacy, Madame de Lambert, Voltaire, Ducis et d’autres se sont exercés dans le même sujet. Laelius de Amicitia (Laelius, sur l'Amitié) est un traité philosophique de Cicéron, rédigé en 44 à la demande insistante de son ami Atticus1. Les relations entre les êtres humains et le sens de la vie constituent les principales interrogations de Cicéron dans ce traité2