Ddhc Morale

Section 2 : La sûreté érigée en précepte La sûreté est l’ancien mot pour désigner la sécurité, cette sécurité se décompose en deux éléments (Montesquieu) : * La sécurité matérielle ; objectif. * La sécurité morale, psychologique, « le sentiment, la certitude que l’on a de sa propre sécurité » (Montesquieu). L’art. 2 du CC, vise à donner aux citoyens la certitude, la garantie qu’une nouvelle loi ne viendra pas changer ces prévisions, le législateur ne viendra pas perturber les prévisions

Pourquoi Allemands ont ils si peur du suffrage universel et ns pas ? Retraite : peut on consulter les fcais ? Peut on faire un referendum sur cette q° la ? * A traiter du point de vue du droit (Pas du point de vue de la religion ou de la morale) Pour rendre intelligible une question on a besoin de plusieurs points de vue (pas QUE du dt) Toutes les questions seront abordées à partir d’un ensemble de textes juridiques (Constit, lois, traités, etc.) qui énoncent les principes autour desquels

juridiques (mais ces notions ne reflètent jamais parfaitement la réalité). Le droit part toujours du fait mais ce fait il va l’analyser à la façon juridique. En droit, la notion de personne renvoie à la fois à des personnes physiques et à des personnes morales (sociétés). Particularité : en droit, les animaux sont des choses, non pas des personnes. Donc l’animal ne dispose pas de capacité juridique, donc ne peut pas saisir de juridiction. LEÇON 1 - QU’EST-CE QUE LE DROIT ? Le mot droit est polysémique

cette finalité s’impose ds la sté. Déf morale. 1er limite : Machiavel : le but est moins que de maintenir une bonne sté que de se maintenir au pouvoir. Le prince est sans cesse menacé par des dangers, guerre, soulèvement du peuple, etc. L’art de se maintenir au pouvoir, ou d’y accéder. Logique de moyens. Néanmoins, difficulté pr lui de dénigrer totalement l’idée d’une finalité. Avoir, conserver les pouvoirs pr arriver à ses fins. La finalité n’est plus morale mais historique : conserver le pouvoir

LE DROIT RÉINVENTÉ PAR L’HOMME. D’autres personnes ont réfléchit et d’autres l’ont pratiqué. LA PHILOSOPHIE GRECQUE, UNE NOUVELLE DIMENSION DU DROIT. Ces gens là vont consacrer au droit de grand dvp. Le droit est indissociablement lié à la morale et à la politique. Ils vont le conceptualiser et l’inventer. Elle vient du fait qu’ils intègrent leur réflexion sur le droit dans un ensemble bcp plus vaste (la réflexion de la place de l’homme dans la cité et son organisation). Parmi les premiers

objectif :Comparaison du droit avec d'autres notions. A) Droit et morale. Il faut d'abord réfléchir à ce qu'il n'est pas. En général, la morale est l'ensemble des règles de conduites considérées comme bonne de manière absolue. Certains philosophes comme Kant (Fondements de la métaphysique des moeurs, doctrine du Droit) réfléchissent à cette notion de morale. Kant a établit une séparation nette entre Droit et morale. D'abord le Droit décide et tranche, autrement dit il est du coté

contraire 18 c. Le déterminisme est nécessaire à notre liberté 19 d. La facticité est la condition de la liberté 19 2. La liberté comme connaissance (Spinoza) 19 3. La liberté comme adhésion à soi (Bergson) 20 IV. Liberté et morale 20 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 20 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 20 C. La liberté : un mythe nécessaire ? 21 Conclusion 22 Annexe 23 Quelques idées supplémentaires 23 La liberté dans le roman 23

destinées à régir des rapports humains à l'intérieur d'un ensemble géopolitique et à un moment donné. Section 2 : les caractéristiques de la règle de droit La règle de droit diffère des autres règles de conduite qui ne sont pas du droit (règles de morale, religieuses, bienséance...), et qui ne sont pas sanctionnées. Le droit est intimement lié à la notion de règles. Il est fait de commandements, d'ordres, de prescriptions, ou d'interdictions. Les règles peuvent être discutées en justice. La règle

linéaments de la responsabilité moderne sous l’influence du droit canon. On va voir apparaître une responsabilité fondée sur la faute donc subjective. L’église est influente car elle introduit et développe la dimension morale de la responsabilité. Plus on développe la dimension morale de la responsabilité plus cela la rend subjectif et c’est à cette époque que va émerger un principe général de responsabilité sous l’influence de Domat. L’idée que tout fait quelconque s’il est fautif justifie la mise

Peut-on dire que toute règle de conduite qui régit la vie en société est une règle de droit ? Non. Exemple : tenir la porte, invitation à diner, (règle de bienséance), ne pas fumer en présence d’enfants (règle morale). Si je le fait on ne peut me sanctionner juridiquement, c’est ma morale qui sera atteinte, la bienséance. La distinction n’est pas toujours claire. Exemple : je joue au foot il y a des règles de jeu à respecter si faute et ensuite dommage il peut y avoir une sanction juridique. Frontière