Dangers De La Rhétorique

la ville, allégorie: zone libre, quitter la ville occupée, «laisser-passer» b) L'homme face au malheur -Réflexion sur la réaction de certains hommes face au malheur, au danger: se battent mais cherchent le repos à un moment, pour avoir une raison de se battre: «à quoi sert-il qu'il se batte?» question rhétorique, §1

l’ordre moral Avec l’idée qu’une société ne peut être stable tant que la misère persiste Lien entre la misère et le crime Fin du paragraphe : misère à l’origine du mal 4ème paragraphe : il conclue en répétant sous forme de métaphore et en nommant le danger qui menace la République : l’anarchie Montre le lien entre la misère et l’anarchie (cf parallélisme) 2) Des arguments de plus en plus précis Un appel vibrant à la justice sociale dès le 2ème paragraphe insistance sur l’objectif civilisateur

société est privée de toute référence à des repères communs. La dynamique de l’individualisme moderne serait donc la concrétisation de ce que Max Weber[1] avait appelé « la guerre des dieux ». C’est l’existence même du lien social qui est ici mise en danger. Les auteurs rappellent que c’est déjà cette logique que Tocqueville[2] identifie comme une possible dérive des sociétés démocratiques. Cette seconde partie de l’ouvrage vise à répondre aux questions attenantes au pluralisme des cultures. Le pluralisme

études sémiologiques, qui s'inspirent des méthodes de la linguistique structurale, les études thématiques, inspirées à la fois par la psychanalyse littéraire d'un Charles Mauron et par la philosophie des éléments d'un Gaston Bachelard, et les études rhétoriques qui marquent un renouvellement de la stylistique d'un Charles Bally à partir d'une réflexion neuve suf les fonctions du discours littéraire. Il semble que dans ce volume Gérard Genette ait pris soin de ne pas prendre parti dans les querelles qui

I ntroduction : Fils de rhétoriqueur, Marot devient poète de cours et va multiplier les pièces de circonstances (naissance, victoire, évènements de la vie). Prisonnier au châtelet pour avoir « mangé le lard en carême » (1520), Marot en grand danger d’être torturé risque même d’être brûlé. Il appelle au secours de son ami, le poitevin Léon Jamet. Comme en Poitou, Léon se prononçait Lion, notre poète adapte spirituellement à son propre cas la fable du Lion et du Rat de La Fontaine. Dans cet

indispensable pour rester humain. - Ulysse parle la parole par le chagrin (chant X, v.378). - Ulysse se parle à lui-même, à voix haute (chant X). II – Les ambiguïtés de la parole. A – Ulysse et l’habileté à parler. - Ulysse est l’inventeur de la rhétorique : c’est l’art de bien parler, de mettre a parole au service d’un but pratique. - Ulysse est l’ancêtre des sophistes, des rhéteurs. Il a la métis (l’habileté, la ruse, l’intelligence) : c’est la maîtrise des moyens pour parvenir au but qu’on s’est

veut pas que la femme ait un minimum de supériorité. Pour la femme, l'homme  est comme un livre ouvert dans lequel elle peut tout voir.  « Si l'on défend point aux femmes la musique, la peinture, le dessin, pourquoi  leur interdirait­on la littérature ? » C'est une question rhétorique « si » exprime  l'hypothèse et « pourquoi » ils expriment la défense des femmes. Elle montre  que la femme possede des droits dans le domaine de l’art pourtant on lui interdit  la littérature qui est une autre forme d'art.    2) Défense de la femme 

l’usage de l’imparfait à valeur itérative. La société troglodytique semble aux antipodes de la civilisation du XVIIIème siècle par ses coutumes et sa proximité avec la nature ; un espace mythique est ainsi défini, ce que suggère l’interrogation rhétorique initiale. Cet effet est redoublé par l’inscription du conte dans une fiction épistolaire prétendument orientale, que la mention finale du lieu et de la date d’énonciation est chargée de consolider. Enfin, le conte de Voltaire fait dialoguer le héros

reine de Palestine : parce que Rome s’opposait à son mariage Titus dût renvoyer Bérénice chez elle, « invitus, invitam » : malgré lui, malgré elle.La tragédie naît toujours de l’affrontement de deux impératifs inconciliables. Titus ne peut mettre en danger sa mission à la tête de Rome au nom de la passion qui l’unit à Bérénice. La pièce aurait donc pu procéder par revirement et coups de théâtre pour unir et éloigner progressivement les deux personnages. Or Racine choisit au contraire de supprimer tous

de la guerre excessif : « guerre, ravageuse, morts, blessés graves, crève de famine, torture, viols, … » qui dépeint la Terre comme le lieu de tous les vices et corruptions ; ce qui est paradoxal car l’action se situe en enfer. - la rhétorique employée avec en particulier l’oxymore : « la torture ronronne » (ligne 11) majore le cynisme le transformant en humour noir. - un vocabulaire quantitatif majorant la noirceur de la vie terrestre : « quinze guerres, un bon