Dangerosité Criminologie

personnes sont criminels chromosomiquement et que l’on peut trouvé un criminel par son physique car elles présentent des particularités. Ferri qui publie ne 1881 « sociologie criminel » et le 3eme Garofalo qui publie « criminologie » en 1885. Ils défendent l’idée d’une criminologie sociologique car la personne est dangereuse par rapport au milieu dangereux ou il vit. La sanction pénale ne repose plus sur l’infraction. La réponse pénal repose sur la notion d’état dangereux, en raison de son milieu

sanctions, malgré la grande tentation du législateur, notamment pour ce qui est des récidives les plus graves comme les crimes sexuels. Certaines législations ont tout de même institué des juges de la dangerosité : c’est le cas en Espagne. La France l’a écarté : elle appréhende toujours la dangerosité matérielle, non les comportement. Cet état dangereux doit donc s’apprécier à travers des éléments matériels précis. 2) Le juge doit interpréter restrictivement le texte pénal : L’article 111-4 précise :

pure -Criminalistique : constatation matérielle des infractions, identifications des auteurs et des victimes par le biais d’autres sciences que sont la biologie, la toxicologie, la médecine, la génétique…. Ø Science humaine et sociale -Criminologie : étude du crime -Sociologie criminelle : étude du phénomène criminel selon les faits sociaux, comment établit t’on une norme pénale -Politique criminelle : ensemble des procédés par lesquels le corps social organise la réponse au phénomène

PARLANT “ESPRIT ANORMAL”. IL CONSIDÈRE QU’IL FAUT RENONCER À LA NOTION DE RESPONSABILITÉ PÉNALE, ET LA REMPLACER PAR LA RESPONSABILITÉ SOCIALE, QUI REVIENT À L’EMPÊCHER DE NUIRE À LA SOCIÉTÉ. GAROFALO PARLE LE PREMIER DE CRIMINOLOGIE. CETTE ÉCOLE POSITIVISTE ÉTUDIE SURTOUT LA DANGEROSITÉ DES CRIMINELS. B. LE DÉTERMINISME PSYCHIQUE LE FACTEUR PATHOLOGIQUE EST ADMIS LORSQU’ON PARLE D’INFRACTION COMMISE SOUS L’EMPRISE D’UNE MALADIE MENTALE. LA MÉDECINE ÉTUDIE LA DÉMENCE PROPREMENT DITE MAIS AUSSI

composante. Le Vocable "Science Criminelle", regroupe les disciplines qui analysent le phénomène sous l'angle scientifique. Participent à ce regroupement, des sciences criminalistes telles que la Police Scientifique et la Médecine Légale, ainsi que la Criminologie. Quant à la "Politique Criminelle", elle correspond à l'ensemble des procédés par lesquels le corps social la réponse au phénomène criminel. De ce qui précède, il ressort que le DP s'articule autour de deux notions clés, à savoir L'INCRIMINATION

qu’utilisent les groupes de pression. C’est en 1970, que les des initiatives se prennent au niveau fédéral, de chaque état, et même local (arrêtés municipaux). Actuellement, ce sont les statistiques qui permettent aux deux camps de prouver la dangerosité ou l’utilité des armes. Les armes à feu, instruments qui servent à attaquer ou à se défendre par le biais d’un projectile en métal, sont-elles vraiment dangereuses ? Les Etats-Unis ont-ils un but en matière de sécurité à atteindre pour diminuer

encore plus complexe ➢ Les définitions académiques[34]  : Les définitions académiques du crime organisé (suivant la dénomination anglo-saxonne) ou de la criminalité organisée tout comme l’estimation de son étendue, son importance et sa dangerosité ne sont pas univoques[35] ; celles développés dans des pays où la criminalité organisée parait être la plus implanté ne font pas exception. La controverse sur ce que l’on doit entendre par ces termes est importante, ainsi que l’on récemment observé

| | | |1)      La criminologie, qui entretient avec le droit pénal des rapports | | | |étroits. | | | |La criminologie, science développée en Italie dès la fin du XIX e S., va | | |

de « science pénale », ou encore de « science criminelle ». En effet, le phénomène criminel n’intéresse pas que le juge : il intéresse aussi le médecin, le sociologue, mais aussi le psychiatre. 1)      La criminologie, qui entretient avec le droit pénal des rapports étroits. La criminologie, science développée en Italie dès la fin du XIX e S., va rechercher les causes individuelles et sociales des actes criminels et va étudier les comportements de ceux qui les commettent. Elle tente à analyser

l’hôpital Guillaume Régnier à Rennes, membre de l’Institut de Criminologie et Sciences Humaines (ICSH) à l’Université Rennes 2-Haute Bretagne Stéphanie Vernay Psychologue clinicienne au Centre Hospitalier Spécialisé Saint-Jean de Dieu à Lyon Loïck M. Villerbu Professeur de psychologie, psychopathologie et criminologie, directeur du Laboratoire de Cliniques Psychologiques, Psychopathologie et Criminologie et de l’Institut de Criminologie et Sciences Humaines (ICSH) à l’Université Rennes 2-Haute Bretagne