Dangerosité Criminologie

volonté peut être influencé par sa santé, sa situation sociale, ses caractéristiques propres à chaque individus. Et donc pour que la peine soit juste, il faut l'individualiser, ne plus agir par des peines déjà prévues. B/ La criminologie 1) Apparition de la criminologie Elle est apparue au XIXeme siècle, en Italie. a) Lombroso Il est médecin et il développe la théorie du criminel-né. Pour cela, il étudie les caractéristiques morphologiques des délinquants et après regroupement, il dresse

judiciaire des personnes dangereuse ou encore à une surveillance de sûreté. L'entrée en vigueur n'a pas été précisé et ne devrait donc pas rétroagir. La peine privative de liberté doit être supérieure ou égale à 5 ans. Une expertise établie la dangerosité. Une commission pluridisciplinaire des mesures de sûreté doit être consultée (mais elle n'est pas pluridisciplinaire : préfet, chef de la gendarmerie, directeur régional de l'administration pénitentiaire, représentant des associations de victimes

mené des études sur le traitement des conjoints violents au Québec et en France. Ginette Larouche et Louise Gagné, «Où en est la situation de la violence envers les femmes dans le milieu familial, dix ans après les colloques sur la violence?», Criminologie, 23, 2,1990, p. 26. Gouvernement du Québec, Une politique d'aide aux femmes violentées, ministère des Affaires sociales, Québec, 1987, p. 10. Linda MacLeod, Espoirs et déceptions dans le domaine des femmes battues: progrès, dilemmes et perspectives

importt. Dvt répression au dela drt pénal nazie ou soviétique dvt de politique totalitaire défaut école + notion de danger sle d’être importt. L’école + a favoriser l’essor de réhabilitation pr cela il faut connaitre la persnalité repose en terme de dangerosité témibilité et l’adaptabilité sle qui est faible. Selon persnlité réponse nature pénale st pr élimination y compris physique Crime passionnelle mesure de sureté indiv peut dangereux slement. Ces mesures de sureté travailler ante delictum ex concerne

de criminalité : anthropométrie, céphalométrie (intelligence) etc. La corporéïté devient pièce à conviction, un signalement à partir duquel on peut connaître le sujet qui l’incarne. L’anthropométrie entretiendra de nombreuses relation avec la criminologie au travers du projet d’identification et de fichage des individus. La contestation par les sociologues, et en particulier par Emile Durkheim, de ce primat du biologique dans l’explication du fait social va aboutir au rejet de la corporéïté vers

un ultime recours, élimination des personnes irrécupérables = réclusion criminelle à perpétuité. • Les mesures de suretés : Ce sont des traitements ou des précautions (médicaux, soins psychiatriques) prises contre l’état dangereux (la dangerosité) de certains individus qu’il faut soigner, surveiller, isoler … Dans les mesures de suretés on trouve les traitements des alcooliques dangereux, les cures de désintoxications qui peuvent être imposés aux usagers de stupéfiants. Pour les mineurs

idologique , biologique voir climatique. Ds lors que lauteur na pas le choix, la rponse de la socit nest plus la peine mais la mesure de sret. Ce nest pas la commission dune infraction et encore la responsabilit qui commandent la raction sociale mais la dangerosit ou ltat dangereux de lindividu , aussi connu sous lappellation de terribilit Au XIX s, ces mesures de sret pouvaient tre assez drastiques par ex, limination physique, internement vie des dlinquants dhabitude (catgorie considre comme la plus dangereuse)

répressif. Le droit pénal est soupçonné de mettre en danger les libertés individuelles en contrôlant à l'excès les individus. Depuis de longues années, d'autres disciplines prétendent s'emparer du champ pénal : la sociologie, la psychiatrie, la criminologie. Elles cherchent à apporter d'autres réponses au phénomène criminel. Ces disciplines se posent en alternatives du droit pénal. Il existe des mouvements abolitionnistes notamment en ce qui concerne la prison. La criminalité, objet du droit pénal

pour réunir des preuves et découvrir les auteurs des infractions ( la police scientifique qui s’intéresse aux circonstances de l’infraction, la médecine légale pour déterminer l’heure d’un décès ). Ensemble des circonstances de l’infraction. ● La criminologie : étude les causes de l’infraction et étudier la personnalité du délinquant, explique la nécessité d’incriminer tel acte. ● La politique criminelle : étudie les divers moyens de lutte ( préventif ou répressif ). Le Droit Pénal : L’articulation

monde extérieur. Dès ce moment, il dépend totalement de son agresseur qui devient son seul modèle. La troisième est la phase de « libération » où le danger est réactivé par le dénouement proche. À partir de cet instant, l’otage ne voit plus la dangerosité du ravisseur. Ainsi, il devient hostile envers les forces de l’ordre et va même tenter de protéger son agresseur contre eux. Enfin, la dernière, celle de « séquelle », parfois discrète, parfois évidente lorsque l’otage se met à insulter ceux-là