Dangerosité Criminologie

(dans une société donnée à un moment donnée). Ex : infractions fiscales, infractions routières. En droit pénal il y a une démarche scientifique pour comprendre les phénomènes criminels (criminalité) et une démarche pour comprendre les criminels (criminologie). Paragraphe I : Approche criminologique : la délinquance Comprendre cette évolution permet de comprendre l’évolution du Droit pénal. Le Droit pénal est sensible à la manière de gouverner. Il faut comprendre les enjeux du Droit pénal général

d’âge auquel il appartient. Évidemment, nous pourrions dire que ces dispositions peuvent être induites dès l’enfance, mais il n’en demeure pas moins que cette vulnérabilité peut se manifester à l’âge adulte, ce qui n’en rend pas moins manifeste la dangerosité, lorsque nous y joignons les traits de la personnalité ainsi que les étapes du développement29 autant chez l’adulte que chez les enfants. Donc, ce que nous pouvons comprendre de la position psychiatrique est que la vulnérabilité vient d’un conflit

Droit Pénal 20/09/10 Introduction Le phénomène criminel : Durkheim a relevé que le crime s’observe dans toute société. L’étude du phénomène criminel lui-même est l’objet d’une science, la criminologie, qui est apparue à la fin du 19ème siècle (Lombroso et Garofalo). Ce n’est pas du droit. Depuis les années 1970, on utilise les statistiques qui sont annuellement publiées en France. Elles donnent une vision partielle de la délinquance (infractions constatées et celles qui ont donné lieu à

infraction. Aussi, la toxicologie dans le cas d'empoisonnement. B) La criminologie Elle date de travaux réalisés par des savants italiens à la fin du XIXème siècle : Lombroso, Ferri et Garofalo. Le premier ouvrage écrit par Lombroso en 1876 "l'homme criminel". L'idée de ces auteurs était de déceler des signes extérieurs de délinquance. "La sociologie criminelle" en 1881, et la "criminologie" en 1885. Cette criminologie avait pour objet la science du criminel, du phénomène criminel, et des thérapeutiques

parahippocampique Autres structures = noyaux thalamiques limbiques hypothalamus (MM) Manque de sa spécificité : tend à inclure toutes les régions en fonction fait référence ç un système unique des émotions L'amygdale étude de cas / criminologie USA, Curtis, années 70 : homme arrêté pour plusieurs meurtres d'une extrême sauvagerie. Coupable n'a aucun souvenir de ses actes / ses meurtres. Appel très tôt aux criminologues. Curtis l'interroge et suppose une amnésie réactionnelle. Mais, ce

par le courant de pensée de la Défense sociale nouvelle, cette politique de la réinsertion-réhabilitation (contrairement à celle néo-classique de rétribution) élargit ses approches de la criminalité en ajoutant à l’approche pénale celles de la criminologie, de la psychologie clinique, de la sociologie, des statistiques. Ces nouvelles sciences criminelles sont mises au service d’une prévention et d’un traitement de la déviance, répondant ainsi à un besoin de cette époque : la reconstruction morale

travail collectif sur le délit. Les CIP expliquent : « Il paraît que le travail en collectif marche, certes, mais on n’est pas formé pour cela. On ne s’improvise pas animateur d’un groupe, et on n’est encore moins psychologues, experts en criminologie et en dangerosité », comme le suppose la circulaire et comme l’avait amorcé la direction interrégionale. Plus globalement, tout le monde s’accorde sur la mission principale des SPIP comme étant celle d’amorcer un travail sur le sens de la peine, puis

devant une juridiction, les menottes et entraves lui sont retirées. Lorsque le détenu est hospitalisé ou reçoit des soins à l’extérieur, il peut être fait usage de mesures de contrainte (comme les menottes). Ces mesures doivent être adaptées à la dangerosité du détenu et au risque d’évasion tout en assurant la confidentialité des relations entre le détenu et le médecin. Le port et l’usage des armes Les agents de l’administration pénitentiaire ne portent pas d’armes dans les locaux de détention sauf

l’idée que la responsabilité est la prise de conscience par l’individu délinquant de la nocivité de son acte pour la société mais également de la nocivité de son acte pour lui-même. Cette défense sociale nouvelle a instauré, sous l’influence de la criminologie, une thérapeutique criminelle qui va être basée sur le traitement du délinquant, plus précisément sur le traitement de sa personnalité et cela implique donc une individualisation de la sanction. C’est donc ici une pédagogie de la responsabilité

avec le DPS. Difficile d’avoir une vue concrète du DPG si on étudie pas le DPS. La criminologie est une matière qui dépend du DPS puisque la raison d’être de la criminologie est d’étudier les comportements des délinquants hors c’est le DPS qui définie les infractions et donc les délinquants. La criminologie travaille sur la matière fourni pas le DPS. Le DPS dépend lui aussi de la criminologie car la criminologie tente de comprendre le comportement délinquant afin d’inciter le législateur à prendre