Dangerosité Criminologie

juridique, science molle mais qui s’attache à appréhender le phénomène délinquant. La politique criminelle qui est une discipline étudiant les procédés répressifs de lutte contre le crime et ceux destinés à assurer la prévention. Il existe la criminologie qui étudie les causes de la criminalité et les divers modes de traitement du délinquant et prévention de la récidive. Jumelée avec la psychiatrie, la psychologie. Il existe la criminalistique cad l’ensemble des procédés scientifiques de recherches

ainsi créer un article, l’article 64 qui mettra en place l’irresponsabilité pénale du fou, du dément. L’approche est ici juridique et non pas criminologique car le fous, même s’il est jugé juridiquement irresponsable continue de représenter une dangerosité pour l’ordre social, d’où la nécessité toujours présente d’une certaine neutralisation. L’article disait : il n’y a ni crime, ni délit lorsque le prévenu était en état de démence au temps de l’action. Certes cette disposition a le mérite, par rapport

Introduction Le phénomène criminel Durkheim avait relevé que le crime s’observe dans toute société. Et l’étude du phénomène criminel est l’objet d’une science qui est la criminologie. Elle est apparue à la fin du XIXème siècle avec deux auteurs fondamentaux : Lombroso et Garofalo. La criminologie n’est pas du droit. Depuis les années 70 on utilise les statistiques, annuellement publiées en France. Ces statistiques donnent une vision partielle de la délinquance : elles donnent les infractions qui

l’amélioration durable de leur état de santé. ... mais elles ne sont pas parvenues à faire diminuer l’usage de drogues illicites et l’abus d’alcool ni à limiter la polyconsommation de ces produits Durant ces dernières années, la perception de la dangerosité de certains produits comme le cannabis ou le tabac s’est notablement accrue, ainsi que l’appréhension des risques induits pour la santé et pour la collectivité. L’usage d’héroïne a même diminué avec la diffusion des traitements de substitution

pénitentiaire est donc contrôlée et encadrée au niveau étatique uniquement. Les prisons sont organisées par niveau de sécurité, selon la dangerosité du détenu. Ces niveaux sont classés de A à D, le niveau A représentant l’échelon de sécurité le plus élevé. Les prisons de moindre sécurité sont ouvertes, sauf pour les femmes qui, elles, ne sont pas classées par degré de dangerosité et sont toutes regroupées dans des établissements fermés. Le Canada divise aussi ses établissements pénitentiaires selon

constatation des infractions, la poursuite des infractions, l’instruction, le jugement. Le droit pénal des mineurs : droit pénal de fond + droit pénal de forme. Le droit pénal est en connexion avec des disciplines extra juridique : ce sont les criminologies. Il y a la criminalistique, la médecine légale, la psychiatrie criminelle. II. L’objet du droit pénal Le droit pénal s’intéresse à la criminalité : le crime est l’infraction, la délinquance ( : le vol ou les violences). En droit le crime est

Carine. Ventures, Lasne. Belgique. 1/08/2013 Résumé: "Ces femmes qui font le choix de ne pas avoir d'enfanté", in Psychologies magazine 117A/05b Consulter sur place Psychiatrie - justice - dangerosité SENON, Jean-Louis 1/06/2012 Résumé: "La psychiatrie à l'épreuve de l'insécurité sociale : la dangerosité ou plutôt la prédiction du risque de violence en toile de fond du débat psychiatrie-justice", in L'information psychiatrique vol.88 n°6 31H/03g Consulter sur place Protection jeunesse - jurisprudence

déterminé au condamné. Paragraphe 2 : Le droit pénal et les autres branches du droit Le droit pénal général c’est l’étude de l’infraction, du délinquant, et de la peine. Le droit pénal spécial c’est l’étude de l’ensemble des infractions. La criminologie c’est l’étude des causes de l’infraction. Le droit pénal est une matière de droit privé → juridictions qui condamnent les individus sont de l'ordre judiciaire. Mais relève également du droit public car la sanction va être infligée au nom de l’État

Flourke ( ?) qualifiait en son temps de « science pénale », ou encore de « science criminelle ». En effet, le phénomène criminel n’intéresse pas que le juge : il intéresse aussi le médecin, le sociologue, mais aussi le psychiatre. I - La criminologie La criminologie, science développée en Italie dès la fin du XIX e S., va rechercher les causes individuelles et sociales des actes criminels et va étudier les comportements de ceux qui les commettent. Elle tente à analyser et à établir les facteurs endogènes

criminelles. Ces sciences criminelles sont de précieux outils lors de l’élaboration des moyens d’actions contre la criminalité. Elles influencent la politique criminelle qui a pour objet l’étude des moyens de lutte contre le crime. Cependant ni la criminologie ni la pénologie ne sont des sciences exactes, elles vont aider le juge dans ses conclusions quand il doit chercher la peine. Elles vont aussi aider l’administration pénitentiaire lors de l’application de la peine. Et aussi le législateur quand