Culture Dominante

Identité culture et socialisation 1. L’identité Ensemble de référents matériels sociaux et subjectifs par lesquels un acteur social se définit. Élément matériel de l’identité Passeport, pièces d’identité, L’état social Les Éléments subjectifs Est ce que vous êtes saurien gentilé méchant colérique sa fais référence a ses préférences personnel aussi Caractérisation de l’identité L’identité comme processus d’évolution personnelle et collective Identité individuelle Avec l’Age l’identité

de l’élitisme en font un universitaire au parcours atypique. Son modèle « encodage / décodage » est considéré comme une sorte de manifeste fondateur des Cultural Studies considérant que les cultures populaires ont des systèmes de valeurs et des univers de sens propres. Son apport majeur est de poser la culture comme un lieu de conflits et de réfuter l’idée d’une correspondance absolue entre le moment de la production (l’encodage) et celui de la réception (le décodage). 4.3. Le processus communicationnel

vision mécanique de la reproduction scolaire et donc de la reproduction sociale. L’école est aux mains d’une classe et cette classe l’utilise pour assurer la reproduction du système (analysé donc dans une perspective de conflit). L’école permet au dominant de perpétuer leur domination. L’idée de ces travaux là vient de l’ouvrage ＂L’école capitaliste en France＂1971. Ce qui faut retenir : L’idée de reproduction mécanique, de correspondance étroite entre système de production et système scolaire même

mais aussi symbolique, social et culture, permet à la bourgeoisie d’être une classe en soi, par l’affirmation de positions sociales et économiques dominantes. » ➢ Objectif des auteurs : « notre objectif est de décrire et d’analyser (…) les processus qui permettent de maintenir et de conserver les positions sociales dominantes. » Résumer thématique : ➢ Le temps : symbolisé par « la succession des générations pour assurer et légitimer leurs positions dominantes » (chap. 2 p. 81) et l’accumulation

demande une culture, des habitudes … bien précises : la culture dominante. Le plus souvent on la retrouve dans la culture des classes dominantes. C’est pourquoi l’inégalité des chances est causée par des différences de capital social et de capital culturel. De plus on retrouve une inégalité dans les mêmes catégories sociales : l’inégalité des chances selon le sexe. La culture dominante est celle qui demandé aux élèves pour réussir le mieux, elle s’acquière grâce au milieu social. Cette culture dominante

Pour certains tatoueurs, l'apprentissage se fait de pères en fils. Monde hiérarchisé, concept iemodo pyramidal b) de l'estampe au tatouage chaque maître tatoueur a un nom qui commence par hori. Estampes liées à l'image du monde flottant, monde culture jap: imaginaire iconographique présent dans les tatouages. Ukiode lié au kabuki (théâtre pop) les acteurs kabuki sont tatoués, ils inventent des manchettes de faux tatoos. Tradition du Suikoden:"au bord de l'eau", roman chinois traduit en jap au 18e

la société moule à ses fins. Au contraire, l’être humain est capable de par ses aptitudes à discerner et à décider : il peut changer ses conduites et même influencer la société dans laquelle il vit. Les personnes sont donc les créateurs de leurs cultures et de la société. Certains sont plus influencés par leur milieu culturel et social que d’autre qui y exercent plutôt une influence. De cette constatation on peut détecter un processus qui permet à l’homme de s’adapter à tout ce qui l’entoure. En

Dans le dictionnaire on définit la culture avec pls sens : - quelqu’un qui a une solide culture c’est quelqu’un qui a l’ens des connaissances acquises qui permettent de dév le jugement, le goût - L’ens des aspects intellectuels propres à une civilisation, à une nation - Si on oppose la culture à la nature, la culture est l’ens des formes acquise des comportements dans les sociétés humaines Ce qui important comprendre c’est que l’homme est un être de culture, il faut parler de processus d’hominisation

interne (IFACI), les entreprises et organisations qui pratiquent l’audit interne en donnent un panorama assez hétérogène. Sans doute l’IFACI traduit et contribue à promouvoir la pratique dominante qui peu à peu s’impose à tous, mais cette pratique est, par la nature des choses, fortement colorée par la culture des entreprises. Cette dimension culturelle se perçoit dans les formations, les organisations, les méthodes de travail, le vocabulaire. Tout en se rattachant à la même philosophie d’audit

« quantitativement » car elles sont liées à l’espace qui connaît une unification des cultures, des divers rapports à la culture hiérarchisés par leur relation à une culture légitime de référence ou à une culture dotée de la légitimité dominante. 2) « qualitativement » (de pouvoir culturelle et symbolique) car liées à la construction des légitimités concurrentes, à la mise en position de légitimité dominante d’une culture de classe ou de référence et au processus de construction de la démocratie culturelle