Culte Jeunesse

le catholicisme est aux protestants, à savoir un culte ridicule et irrationnel dont les participants attendraient un résultat immédiat sans expérience intime avec dieu. Il y a là 2 erreurs que seule une religion évoluée est morale et que la magie automatique n’est pas un signe de primitivité. Durkheim accepte les idées de Smith que la religion primitive est une église qui exprime les valeurs de la communauté et la différence entre rite comme culte de ses dieux et les autres rites qui sont magiques

La religion cherche, comme la philosophie et les sciences, à répondre aux questions les fondamentales que se posent les humains. De plus, elle a pour but de donner du sens à l’existence humaine et à la réalité en général. Par exemple, lorsqu’une personne décède, nous sommes dans la peine et souvent la question qui se pose c’est : <<Pourquoi ?>> Donc, il est approprié de dire que la religion apporte des réponses à toutes les angoisses, à toutes les << inconnues>> de l’existence

dernier y distingue trois étymologies possibles du terme – et de nos jours la chose n’a toujours pas été nettement tranchée. Thomas d’Aquin évoque d’abord l’hypothèse de Cicéron : l’homme religieux serait celui qui « repasse » et « relit » (relegit) le culte divin : on peut évoquer le scrupule de l’homme qui revient sur ses pensées et ses actes. On peut aussi – mais les autres étymologies semblent fantaisistes – penser à celui qui ré-élit (reeligit – reeligere) dieu comme le bien suprême qu’il a délaissé

d'opinions, de conditions de vie ═˃ Voltaire dresse un constat de la diversité humaine mais il atténue les différences « petites nuances » l.15. - Entre les rites religieux de la ligne 17 à 23 : * Différentes façons de célébrer Dieu → Lieu de culte différent entre les Catholiques et les Protestants. * Différences de vêtements des prêtres → Robe de toile blanche pour les Catholiques et manteau de laine noire pour les pasteurs Protestants. * Différences de langue : Le Latin à l’Église pour les

donc la religion désignerait à l’origine et étymologiquement le scrupule, le soin méticuleux, la ferveur inquiète (religiosité de l’esprit qui ne se retrouve pas seulement dans le fait religieux) ; dans ce sens, le mot convient bien à l’exercice du culte, à l’observance des rites. Le mot s’est fixé dans ce sens pour désigner l’expérience et la manipulation du sacré ; il signifiait donc d’abord l’attitude que requiert la religion puis a glissé des dispositions subjectives aux réalités objectives ;

III- En réalité, en forçant quelqu'un/un peuple à lui ressembler, à se conformer à son système de valeurs, il l'empêche de rester lui-même, le dénature, lui enlève de sa personnalité. Tout d'abord, imposer un mode vie à un peuple est un danger pour l'environnement. Par exemple dans Réflexions sur l'esclavage des Nègres de Condorcet, les européens, en amenant du matériel et en voulant imposer leur civilisation, ont fait disparaître l'harmonie « primitive » qui existait entre les Africains et la

d’application immédiate. Par son action, il détruit les Edits de Nantes et De Nîmes (ou paix d’Alès). En un long préambule et 12 articles, il concerne les ministres (pasteurs) et les pratiquants de la RPR (religion prétendue réformée), il interdit tout culte public, toute charge sacerdotale et la transmission de la religion protestante dans tout le Royaume de France. Le texte est plusieurs fois tronqué, les articles 5-6-9 sont des clauses où l’Etat veut encourager les ministres à se convertir (facilité

des fonctions liturgiques (=Ensemble du culte public (rites, prières, chants) rendu à Dieu). C'est le démos qui, à travers ses instances politiques (Assemblée, Conseil des Cinq-cents, tribunaux), fixe le calendrier religieux (culte des dieux et des héros, fêtes, cérémonies, sacrifices), engage les travaux de construction ou de réfection des édifices (temples, autels, monuments divers, statues), juge les actes impies, autorise ou non l'entrée d'un nouveau culte.. Le citoyen athénien ne se comporte

décelions dès l'âge du bronze des traces de tel dieu. Les nombreux personnages des gravures rupestres, armés de haches, et surtout de haches géantes, ainsi que les nombreuses représentations de haches seules (par ex. dans la tombe de Kivik) témoignent du culte d'un dieu, symbolisé par une hache de combat, ou s'en faisant un attribut. De même, les nombreuses offrandes de haches, qui remontent jusqu'à l'âge de la pierre, permettent de supposer qu'il s'agit ici d'une très vieille tradition. Kuhn nous incite

est bien évident qu’il n’est pas sexué. On peut donc se demander pourquoi la plupart des grandes religions s’en sont faites une représentation exclusivement masculine. Comme le rappelle le dossier de ce numéro, il n’en a pas toujours été ainsi. Le culte de la Grande Déesse a précédé celui de « Yahvé, seigneur des armées », et les déesses occupaient une place de choix dans les panthéons des premières civilisations. La masculinisation du clergé est sans doute l’une des principales raisons de ce renversement