Critique De La Faculté De Juger Le Genie

œuvres sont les mines ou les entrailles de l’esprit humain. »,on ne peut s’empêcher de penser que Chateaubriand défend sa propre position d’auteur romantique rejeté au sein du cercle littéraire. Mais il s’agit aussi de bien comprendre la place du génie dans l’histoire littéraire. Elle désigne traditionnellement les ouvrages et les manuels proposant un parcours historique de la littérature ainsi que son évolution diachronique. C’est dans cet enchaînement dans le temps des œuvres littéraires que Chateaubriand

l’art et quel intérêt il porte n’a pas de réponse évidente. Seulement, l’art n’a de sens que s’il s’adresse à un public sans pour autant qu’il ne le flatte forcément. A la question « Qu’est-ce que le beau ? » Emmanuel Kant répond dans la critique de la faculté de juger ce qu’est le beau car il fait l’objet d’un jugement de goût, avant tout, désintéressé. C’est alors que nous pouvons nous demander si la beauté de l’art dépend du jugement que l’on porte sur une œuvre. Nous verrons que beauté et art sont

sur leurs désirs, on considère que ceux ci ne les trompent pas. Or, nos désirs peuvent être de mauvais guides, et s’instruire de nouvelles choses « qu’on n’aime pas savoir » permet de renforcer son esprit critique. Alain reproche donc à cette idée d’empêcher le développement de l’esprit critique de l’individu en lui supprimant l’accès à la culture dans de nombreux autres domaines dont il ne connaît rien et sur lesquels il n’a donc pas d’opinion valable. Reprenons l’exemple de l’individu qui, dès son

Qu’est ce que le beau ? Un œuvre d’art est elle nécessairement belle ? Qu’est ce qu’une œuvre d’art ? Est-ce que l’artiste est celui qui étudie la technicité dan l’art ? L’art obéit-il à des règles ? Qu’est ce que le génie/talent artistique ? Qu’est-ce que le génie ? Qu’est-ce que le talent ? L’artiste n’est –il que celui qui imite la réalité ? Est-ce qu’il dévoile une vérité, celle qui ne peut pas s’appréhender dans la réalité. L’artiste n’est-il qu’un imitateur ou plutôt un créateur 

goût en tant qu’il exprime volontairement ou involontairement une disposition qui prend la forme d’un don propre à une personne qui soit confirme un statut social enviable ou une aspiration à un telle statut. En effet, plusieurs ont l’habitude de juger la sensibilité et l’esprit d’une personne sur la base de son « goût » — ses préférences et sa façon d’être — qu’il s’agisse d’une personne qui nous est étrangère, ou qu’il s’agisse de quelque ami dont le goût déçoit au point que nous soyons enclins

monde (Heidegger) 1 8. L’art est expression des idées et de l’esprit 1 C. Le bien 1 1. L’art au service de la libération suprême (Schopenhauer) 1 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 1 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 1 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 2 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 2 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 2 Annexe 2 Résumé 2 La question de l’imitation de la nature 2 Toute une partie de l’art imite la

24 8. L’art est expression des idées et de l’esprit (Hegel) 25 C. Le bien 26 1. L’art au service de la libération suprême (Schopenhauer) 26 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 27 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 28 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 28 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 28 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 31 Annexe 32 Résumé 32 L’art imite-t-il la nature ? 35 Toute une partie de l’art imite la

La philosophie telle que Socrate la cultive n'est donc pas tout d'abord expression d'une pensée achevée, elle est d'abord examen par soi-même de ses propres pensées, et mise à l'épreuve de ce que l'on pense ou de ce que l'on croit penser, afin de juger si le contenu des thèses auxquelles on adhère est conforme ou non au principe même de la raison et ne contient aucune contradiction. De ce point de vue la philosophie se caractérise par un effort de cohérence de la pensée avec elle-même. Cet effort

La philosophie telle que Socrate la cultive n'est donc pas tout d'abord expression d'une pensée achevée, elle est d'abord examen par soi-même de ses propres pensées, et mise à l'épreuve de ce que l'on pense ou de ce que l'on croit penser, afin de juger si le contenu des thèses auxquelles on adhère est conforme ou non au principe même de la raison et ne contient aucune contradiction. De ce point de vue la philosophie se caractérise par un effort de cohérence de la pensée avec elle-même. Cet effort

d'intérêt → censure Mais grande erreur de Platon, l'art n'est pas tout le temps imitatif (= art de création) (L'art de l'imitation de la la vanité) A quoi bon refaire le même art ? L'art académique imite des courant artistique déjà existant. Critique platonienne : Pour Aristote, l'art est Catharsis ( → la purge) L'art (surtout le théâtre) nous purge de nos passions. Il permet de vivre nos passions à fond par procuration. Nous les vivons le temps de la représentation. La représentation de