Coopetition

globalisés et ouverts, les entreprises ayant pour la majorité des activités hors de leur territoire d’origine, il devient impossible de pratiquer une politique d'IE restreinte à un pays. L'IE n'est pas que la compétition, elle est aussi fondée sur la coopétition entre les acteurs économiques (c’est- à-dire une coopération et un échange d'information sur certaines activités et une compétition sur d’autres). L'exemple de l'industrie pharmaceutique est intéressant : des entreprises peuvent être concurrentes

sans risque pour les banques qui pourraient perdre le contrôle de la relation client. Ils nécessitent également le partage de la valeur créée entre les acteurs. Cette association a une dimension à la fois coopérative et compétitive. Le terme de coopétition traduit cette situation, les risques de désintermédiation, c’est-à-dire de perte de contrôle, sont élevés. Cerna 22 La banque de détail en France : de l’intermédiation aux services Nathalie Daley Conclusion Les mutations des conditions

Economie d’échelle : * 90s : BIG THREE créent une centrale d’achats commune. * ↑externalisation et contrats de très longue durée avec les sous-traitants. * Leur permet d’I = TRW et ACDelco. * COOPETITION : Ford-PSA, Ford-Mazda, Chrysler-Daimler. * Mutation géographique : * Délocalisation des sous-traitants dans les Maquiladoras. * Fermetures des vieilles usines : 21usines pr Ford de 1970→1990. *

sino-américain s'élevait à 23 milliards de dollars ; le deuxième déficit après le Japon pour les États-Unis. Aujourd'hui, les entreprises ne sont plus en compétitions planétaires mais en compétition/coopération, d'où ce néologisme, forgé à Davos de ''coopétition''. DMC va investir dans une usine de tissus imprimés de Hong Kong ; en échange, son partenaire chinois China Dyeing Works va entrer dans son capital et devenir actionnaire de référence. Acer, le fabricant de PC taïwanais, lié à IBM, déjà implanté

leur terme ; d’autre part, les acteurs économiques ont besoin de ces cabinets pour intégrer des projets d’innovation. Finalement, il y a bien dans ces situations « intégration culturelle » au sens de Fréry (1997) : le recours à des pratiques de « coopétition » est possible car, en cas de trahison, l’individu serait progressivement exclu des projets à venir. En d’autres termes, dans ce type de réseau, il est ration- nel d’être honnête car l’effet réputation d’un comportement opportuniste pourrait se

marché, mais si la capacité stratégique est forte, on peut réussir. Analyse statique : l’analyse doit évoluer. La photographie doit être faite régulièrement. Le rôle des pouvoirs publics. Approche libérale. Absence de notions de coopération. La coopétition est possible. Exemple Microsoft/Intel. Interrogation sur la notion d’industrie. Cette notion est très vague. Ferrari et Dacia : même industrie , même concurrence Structure concurrentielle de l’industrie de la BD : slidesLa dynamique de la concurrence

l’essor de la sous-traitance, des partenariats et des alliances, qui esquissent ensemble ce que l’on appelle la désintégration verticale. La notion de filière doit dès lors tenir compte des coopérations transversales, des synergies, des logiques de coopétition, etc. afin de mieux appréhender la complexité des réseaux de production. L’analyse de filière contemporaine s’enrichit ainsi d’autres approches comme celles de chaîne globale de valeur et de supply-chain. Le concept de filière a ainsi fortement

métier de spécialiste. 6.6 La stratégie d’association de marque = COBRANDING a) Définition = alliances entre marques  c’est un phénomène très tendance. Ils se mettent ensemble mais il y a toujours un esprit de compétition. b) Avantages : «coopétition» Augmenter la lisibilité Contrer un concurrent Réaliser des économies d’échelle Coup médiatique Partage des compétences Différenciation Partage des risques c) Désavantages : Conjuguer les images et les valeurs des marques Non compréhension

les entreprises sont des relations de compétition : il n’a pas tenu compte que les entreprises maintenant travaillent de plus en plus ensemble et passent des accords de coopération. Brandenburger et Nalebuff mettent un place un autre modèle de coopétition (compétition et coopération). Exercice sur Zara : Composante politique : construction Européenne. Composante économique : cout des matières premières, main d’œuvre, concurrence, cout de transport, fiscalité, baisse du pouvoir d’achat, chômage

responsabilités. * Les joint ventures entre FMN  * Création d’une filiale commune entre deux concurrents d’un même secteur d’activités * Relation marquée par une certaine ambivalence : entre la coopération et la compétition : coopétition. * Risque élevé d’incompréhension entre les partenaires, donc de rupture * Les joint ventures entre une FMN et une firme locale * Création d’une filiale commune entre une FMN et une firme locale pour pénétrer un marché de cultures