Contre Révolution Néoclassique

différence fondamentale entre l'économique et la chrématistique. La chrématistique (de khréma, la richesse, la possession) est l'art de s'enrichir, d’acquérir des richesses. Selon Aristote, l'accumulation de la monnaie pour la monnaie est une activité contre nature et qui déshumanise ceux qui s'y livrent : suivant l’exemple de Platon, il condamne ainsi le goût du profit et l'accumulation de richesses. Le commerce substitue l’argent aux biens ; l’usure crée de l’argent à partir de l’argent ; le marchand

à plus ou moins long terme. En conséquence, l’Etat ne doit pas intervenir sur la marché sous peine de perturber son fonctionnement. Le marché est capable de s’autoréguler. Ce paradigme est défendu par les théoriciens du libéralisme économique (néoclassique et néolibéraux). Le paradigme de la régulation externe du marché (ou paradigme de l’ordre organisé) : Ce paradigme postule que le marché n’est pas toujours capable de se réguler lui-même et que s’il faut accepter le principe de l’économie

positive peut pleinement recourir à la démarche scientifique. Le débat sur ce qui doit être dépend des objectifs qui sont assignés à la société ainsi que des priorités établies entre ces objets. La science économique peut expliquer comment lutter contre l’inflation ou le chômage mais ne peut dire s’il faut le faire ou s’il faut donner la priorité à l’un ou à l’autre. L’économiste peut donner son avis sur cet arbitrage mais cet avis n’est qu’une opinion dépendante d’un jugement de valeur différent

2. L’analyse de la production → La théorie de la valeur → La division du travail → La loi des débouchés → La théorie quantitative de la monnaie 3. La répartition → La théorie du salaire → La théorie de la rente → La théorie de l’intérêt B. Les néoclassiques 1. Le calcul à la marge 2. Le modèle de marché et l’équilibre général 3. Une démarche normative C. Les différentes écoles libérales 1. L’Ecole de Chicago ou le courant monétariste 2. L’Ecole de l’Economie de l’Offre 3. L’Ecole de l’Economie Publique

2. L’analyse de la production → La théorie de la valeur → La division du travail → La loi des débouchés → La théorie quantitative de la monnaie 3. La répartition → La théorie du salaire → La théorie de la rente → La théorie de l’intérêt B. Les néoclassiques 1. Le calcul à la marge 2. Le modèle de marché et l’équilibre général 3. Une démarche normative C. Les différentes écoles libérales 1. L’Ecole de Chicago ou le courant monétariste 2. L’Ecole de l’Economie de l’Offre 3. L’Ecole de l’Economie Publique

pays |-La croissance et le développement doivent s’accompagner d’une intervention de l’Etat pour lutter contre les | |industrialisés sur le long terme : l’émergence de l’Occident s’est appuyée sur les sciences et les techniques |lacunes du marché : les principales sont les externalités et les biens collectifs. | |depuis la révolution industrielle, qui ont autorisé une forte progression de la productivité du travail, du |-La croissance à long

n’ont plus d’argent pour prêter, l’investissement baisse, baisse de la production. 1er : L’école classique : Le courant classique se développe vers 1770 et domine la pensée éco pendant près d’un siècle. C’est donc dans le contexte de la révolution industrielle et de l’essor du capitalisme qu’il s’inscrit. L’origine de la valeur des biens est un concept fondamental dans l’explication des divergences entre les ≠ écoles de pensée. Les auteurs classiques mettent la valeur travail au cœur de

réaction contre les règles strictes de la littérature classique et de la philosophie des siècles antérieurs. En France, le romantisme est une conséquence directe à la Révolution française. On assiste à l'arrivée de la révolution industrielle et à une transformation de la société. Le Romantisme est lié à un sentiment de révolte. Il est un engagement social et politique. La révolution d’origine technique en induit d’autres : une révolution de la pensée, une révolution de l’esprit, une révolution sociale

l'émergence d'un art moderne qui se développe par l'intermédiaire des premiers marchands d'art et des mécènes privés. Sommaire 1 Histoire 1.1 1800-1815: apogée et déclin du Néoclassicisme 1.2 1815-1840: le Romantisme 1.3 1840-1860: Réalisme contre Académisme 1.4 1860-1880: L'impressionnisme 1.5 1880-1900: du Néo-impressionnisme au Fauvisme 2 Les genres 2.1 Le portrait 2.1.1 Le portrait officiel 2.1.2 Le portrait de société 2.1.3 Le portrait intimiste 2.2 Le nu 2.3 Le paysage 2.4

Michel-Ange et il faut souligner la vigueur du dramatisme de cette sculpture. Elle n’est ni embellie ni atténuée, elle montre la souffrance de la scène telle quel. Accueillie avec enthousiasme en Italie, cette sculpture s’opposait aux préceptes néoclassiques alors en vigueur à Paris. Coulée en bronze par Victor Thiébaut, elle fut installée dans le jardin des Tuileries face à une copie en bronze du Laocoon. [...] Elle est indépendante c’est-à-dire qu’elle ne fait pas partie d’un décor