Constitution Gardien

révision de la C°. Section II : la population Population : ensemble des individus vivant à demeure sur un territoire. Exclus les expatriés et inclus les clandestins L’Etat et sa population globale : les nationaux et les étrangers Article 34 de la Constitution : indique que c’est à la loi de décider si un individu peut avoir la nationalité ou pas. Grande capacité de choix du législateur. La population étrangère : droits moindres et devoirs moindres que pour les nationaux. Traité sauvegarde des droits

présence sera mise en valeur à la suite d’observations et d’hypothèses, puis par l’exhibition des principes du DELF et, enfin, par la délimitation des locutions qui le composent Bibliographie sommaire : ‘Code civil’ : Ed. Dalloz ; J. Godechot : ‘Les constitutions de la France depuis 1789 ; Ed. Flammarion. I. Observations et hypothèses Cette présence est, d’abord, montrée par le biais d’observations et d’hypothèses, puis par la délimitation des locutions clés. A. Observations Elles sont faites sur la

le représentant du roi, à la fois agent judiciaire, militaire et financier du royaume. Si le comte corrompd ou laisse corrompre les coutumes, le roi doit intervenir (pour écarter mauvaises coutumes et préciser les coutumes douteuses)car il est le gardien des coutumes. Portée: -Le roi va intervenir: -par des déclarations de coutmes (intervention ponctuelle du roi qui fait préciser par écrit des coutumes contestées) -par l'Ordonnance de Montilz-les-Tours par laquelle le roi ordonnera en 1454

engagement international. En droit constitutionnel, il s’agit d’un engagement international soumis à l’approbation du gouvernement. Il existe deux types d’accords sont distingués : Les accords en forme solennelle désignés à l’article 52 de la Constitution de 1958 par le terme "traités", sont conclus au nom des chefs d’Etats. En France, ils sont signés soit par le Président de la République. Ils sont toujours ratifiés par le Président de la République. Les accords en forme simplifiée sont conclus

dans les litiges administratifs a permis l’apparition d’un droit administratif ( au sens strict), seul un juge spécialisé pouvant créer un droit spécialisé, ce que les juridictions judiciaires n’auraient pas su, ou voulu, faire. La Constitution de l’An VIII créa le Conseil d’Etat qui, à côté de son rôle législatif, était conçu comme le grand conseil juridique de l’Administration. Il va donc tout naturellement être consulté par l’administration sur les réclamations présentées par les administrés

devant la justice et apparaissant comme un abus de pouvoir aux yeux des parties. Au-delà de ces considérations quantitatives, un nouveau type de contrôle du juge émerge. La montée en puissance du juge est aussi sa faculté actuelle de s’ériger en gardien des principes démocratiques, à travers notamment la création du Conseil Constitutionnel en 1958. C’est aussi l’autorité récente et croissante des cours de justice européennes : l’autorité de la Cour de Justice des communautés européennes(CJCE) est

de Droit, et le Code serait le lieu où on trouverait le Droit. Si Code source du Droit, jurisprudence et la coutume ne pourront plus être constitutives d'une source du Droit. Codification impliquait changement politique qui pouvait toucher la constitution même du Droit. Abolition de privilèges. On considère qu'incertitude du droit est le mal de l'Ancien Régime, inhérent à lui, codification devra s'accompagner d'un changement du régime politique. Section première: Le mal endémique de l'insécurité

relations entre l’état et les citoyens. La constitution = la loi fondamentale. Etude des lois constitutionnelles, des lois d’application. Etude des coutumes = procédé oral de normativité ne nécessitant pas d’écrit. Il y a 3 ordres juridiques : l’ordre judiciaire (avec la cour de cassation comme cour suprême), l’ordre administratif (avec le conseil d’état comme cour suprême) et l’ordre constitutionnel chargé de vérifier si les lois respectent la constitution (avec le conseil constitutionnel). Les 3

électeurs 51 B. L’encadrement des élus 52 Chapitre 3 : La Constitution, le pouvoir constituant, le contrôle de constitutionnalité 54 Section 1 - Les déclarations des droits 54 §I. Existence générale des déclarations des droits au préambule 54 §II. Le cas de la France contemporaine 56 Section 2 - Les formes des règles constitutionnelles 57 §I. Le critère de supra-légalité et la distinction souple/rigide 58 §II. Les constitutions écrites en forme solennelle 58 §III. Les lois ordinaires

lecteurs. la notion de souverainet populaire La souverainet nappartient plus la Nation mais aux citoyens ( Rousseau) en pratique cette conception na jamais t applique.(cest bien dommage) Toutefois cette notion a t insre dans la Constitution de 1793 mais cette Constitution na jamais t mise en pratique. On parle du caractre inalinable de la souverainet (on ne peut pas acheter une part de souverainet) Cette notion postule lexistence de procdure de dmocratie directe ou semi directe Lors de son vote