Consentement Non éclairé Du Contractant

parties ont réellement voulu s’engager. Il faut vérifier leur consentement. Il faut s’assurer que les parties étaient aptes à vouloir. Il faut donc vérifier leur capacité à s’engager. Il faut vérifier ce qu’ont voulu les parties. Cela revient à s’interroger sur l’objet de l’engagement. Ces quatre éléments sont imposés dans le code civil à l’article 1108 : « Quatre conditions sont essentielles pour la validité de la convention : le consentement, la capacité de contracter, un objet certain qui forme la

négociation des volontés des parties. Le contrat doit comporter des intérêts pour les 2 parties contractantes et ne pas léser une partie par rapport à l’autre. Durant la période de formation du contrat, les parties doivent respecter les conditions de l’article 1108 du Code civil ; ainsi que l’ordre public et les bonnes mœurs conformément à l’article 6 du Code civil. Ces obligations sont impératives pour tout contractant. Plusieurs questions peuvent se poser concernant les pourparlers, les avant-contrats

conditions sont essentielles pour la validité du contrat : le consentement de la partie qui s’oblige, sa capacité de contracter, un objet certain qui forme la matière de l’engagement et une cause licite dans l’obligation ». Le consentement : est obligatoire pour que le contrat soit valable. Il doit être libre et éclairé. Si le consentement est vicié, le contrat encoure la nullité (prononcée par un juge, demandée par celui dont le consentement a été vicié ou par un tiers). Incapacité : mineurs (sauf

l’acte unilatéral crée des liens juridiques, autrement dit des obligations ; ils sont donc tous les deux des actes juridiques. Les différentes volontés en cause sont celles des parties au contrat. Ceux qui s’engagent sont donc les « contractants », « co-contractants » ou « partie au contrat ». ACTES JURIDIQUES CONVENTIONS ACTES UNILATERAUX Actes juridiques bi ou multilatéraux 2) Le contrat est une convention génératrice d’obligations Le terme convention est une expression

contracter ou non Liberté de choisir son cocontractant Liberté de définir le contenu du contrat Il existe cependant des exceptions au principe de la liberté contractuelle : Respect de l’ordre public et des bonnes mœurs Contrat imposé par la loi (contrat d’assurance pour une voiture) Contrat d’adhésion (ex : le contrat de transport par la SNCF, où le cocontractant ne peut qu’accepter ou refuser de signer le contrat avec les clauses proposées par l’offreur). Cocontractant non choisi (SNCF)

juridiques de la violation de la bonne foi.Sous-section1 : la mise en œuvre de la responsabilité contractuelle.Sous-section2 : la réparation du dommage issu de la mauvaise foi.ConclusionIntroduction :Ulpien écrivait « Dolo malo ait pretorpactum se non servatarum » qui veut dire que le préteur ne fera point exécuter les conventions faites de mauvaise foi. Le contrat est l’un des actes juridiques qui caractérise les transactions qui se nouent entre les membres de la société. Il est considéré

en priorité au contrat d’adhésion. Il n’est pas interdit au contractant faible d’introduire des clause spécifique voir renégocier certaines clause. Ex : négocié le prix d’un forfait opérateur qui propose de nouvelles offre moins chère. 2) les conditions générales L’ensemble des petites règles écrites, est des stipulations contractuelles imposé en bloc par un contractant à un autre, elles sont rédigées par avance par un contractant et ce pour un nombre indéfini de contrat. Elles sont valable

parce qu’il a librement consentis. Des lors, le consentement devient une condition d’existence pour toutes les conventions. Mais pour que le consentement d’un individu produise des effets de droit, il doit satisfaire à deux exigences majeures : la lucidité et l’intégrité. La première signifie que le consentement n’est valable que pour celui qui le donne en connaissance de cause et le second, plus complexe exige que le consentement soit libre et éclairé ; en d’autres termes, il doit être exempt de vices

I/ Le consentement, pierre angulaire du contrat A) Le consentement est une force qui légitime historiquement le contrat →Révolut° = consécrat° de l'autodéterminat° de chaque individu-l'homme possède des droits fondamentaux (cf DDHC) → Ses droits, libertés sont inaliénables mais peuvent être aménagés, restreints, contraints – le contrat devait les protéger → Transactions sur droits-libertés : par consentement ou pour préserver le bien-être général. B) La caractérisation du consentement à contracter

librement donné de ses membres trouvent un écho dans la théorie de l'autonomie de la volonté : chaque contractant est libre de contracter, comme de ne pas contracter (donc de conserver sa liberté) et ne s'oblige que par son consentement éclairé aux termes de la convention. En revanche, une convention passée valablement devra être exécutée, conformément à la maxime pacta sunt servanda, la volonté des contractants devant être d'autant plus respectée qu'elle a été donnée librement. En France Influence supposée